La première étude mondiale évaluée par des pairs sur les bienfaits anticancéreux de l'ivermectine, du mébendazole et du fenbendazole publiée dans une revue réputée
De : https://www.naturalnews.com/2024-10-16-study-anti-cancer-ivermectin-mebendazole-fenbendazole.html
Par Ethan Huff le 16 octobre 2024
Les Drs William Makis, Paul Marik, Ilyes Baghli et de nombreux autres scientifiques et médecins de la Frontline COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC) ont réalisé une étude de recherche phénoménale qui a le potentiel de sauver la vie de nombreux patients atteints de cancer qui, autrement, subiraient des traitements conventionnels comme la chimiothérapie et la radiothérapie qui menacent de les tuer, et non de les guérir.
Dans un tweet sur la nouvelle étude, le Dr Makis a remercié les auteurs principaux Baghli et Pierrick Martinez pour ce qu'il a décrit comme un « travail incroyablement inspiré » sur ces puissants médicaments réutilisés qui sont arrivés au premier plan de la médecine alternative à la suite de la « pandémie » de coronavirus de Wuhan (COVID-19).
« J’espère que cet article évalué par des pairs posera les bases d’un tout nouvel avenir pour le traitement du cancer », a écrit le Dr Makis dans le tweet.
« Beaucoup d’entre vous savent que j’ai aidé des milliers de patients atteints de cancer avec de fortes doses d’ivermectine, de mébendazole et de fenbendazole. Nous commençons déjà à constater des succès incroyables avec ces médicaments réutilisés. »
(En lien avec cela : N’oubliez pas de consulter également ce rapport que nous avons publié l’année dernière sur les effets synergétiques de l’association de l’ivermectine et du fenbendazole comme traitement prophylactique et thérapeutique du cancer.)
Les injections d'ARNm contre le COVID-19 ont « fait s'effondrer » l'oncologie conventionnelle, déclare le Dr Makis
Après le lancement de l’opération Warp Speed, les cancers turbo ont commencé à augmenter à un point tel que le système médical, et en particulier le domaine de l’oncologie, n’était plus en mesure de gérer le volume important de patients cancéreux malades et mourants qui ont développé la maladie après avoir été vaccinés contre le COVID.
Le Dr Makis décrit ce phénomène comme « l’effondrement » de l’oncologie traditionnelle, qu’il impute directement au déploiement de « vaccins à ARNm contaminés, contre la COVID-19 ».
« La plupart des oncologues ont abandonné leur serment d’Hippocrate, ont administré des vaccins à ARNm contaminés à tous leurs patients atteints de cancer et ont eux-mêmes pris les injections d’ARNm », écrit le Dr Makis.
« Certains oncologues ont maintenant développé des arrêts cardiaques induits par l'ARNm, des caillots sanguins et des turbo-cancers. D'autres sont déjà morts subitement. Ces oncologues ont enterré leur tête dans le sable et ont abandonné tout ce qui fait un bon médecin compétent. »
Pour remédier à ce problème tout en stoppant la propagation du cancer turbo, il est conseillé aux individus d'arrêter de prendre tous les « vaccins » contre la COVID. Si une personne est déjà atteinte d'un cancer, le nouvel article de Makis et al. recommande ce qui suit :
Ivermectine
Cancers de bas grade :
Dose de 0,5 mg/kg de poids corporel 3 fois par semaine
Cancers de grade intermédiaire :
Dose de 1 mg/kg de poids corporel 3 fois par semaine
Cancers de haut grade :
Dose de 1 mg/kg de poids corporel à 2 mg/kg de poids corporel par jour
Mébendazole / Fenbendazole
Cancers de bas grade :
Dose 200mg/jour de mébendazole
Cancers de grade intermédiaire :
Dose 400mg/jour de mébendazole
Cancers de haut grade :
Dose de 1 500 mg/jour de mébendazole
Dose de 1 000 mg / trois fois par semaine de fenbendazole
Sur X / Twitter, une personne nommée « GinaH » (@ginahens1) a raconté comment elle avait payé ces médicaments en espèces et les avait pris en parallèle d'une chimiothérapie, d'une immunothérapie, d'une intervention chirurgicale et d'une radiothérapie parce que son diagnostic était terminal – « mais cela a fonctionné », dit-elle.
« Cela signifie-t-il que le cancer est une maladie parasitaire ? », a demandé un autre, notant que l’ivermectine, le mébendazole et le fenbendazole sont tous utilisés pour traiter les parasites.
« Enfin, une percée dans le domaine principal », a écrit un autre, se réjouissant du fait qu'une étude comme celle-ci ait finalement été publiée dans une revue réputée et évaluée par des pairs. « Attendez qu'ils découvrent que l'HCQ (hydroxychloroquine) détruit les carcinomes pulmonaires. »
« C'est incroyable que ces médicaments fonctionnent et qu'ils auraient pu sauver autant de vies, et pourtant des gens ont été déportés pour avoir dit ça ! », a exprimé un autre.
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Les sources de cet article incluent :
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