Les réseaux mondiaux et la pression pour un CONTRÔLE COMPLET : Décrypter le pouvoir derrière la pandémie de COVID, l'arnaque du changement climatique et les systèmes alimentaires toxiques
https://www.naturalnews.com/2025-06-25-global-networks-and-push-for-complete-control.html
SD Wells 25 juin 2025

- Concentration du pouvoir des entreprises et du pouvoir financier
- Une étude suisse de 2011 a révélé que 147 sociétés, principalement en Europe, contrôlaient 40 % de la richesse mondiale, avec la banque Barclays au centre.
- Un petit noyau interconnecté d’institutions financières domine les décisions économiques et politiques à l’échelle mondiale.
- Réseau COVID-19 : orchestré par des acteurs d'élite
- Une
enquête allemande de 170 pages a révélé qu’un groupe soudé de 20 à 30
personnes dirigeait la réponse à la pandémie, notamment :
- Angela Merkel, Tedros Adhanom Ghebreyesus (OMS), Bill Gates (BMGF) et Klaus Schwab (WEF).
- Organisations clés : OMS, GAVI, Wellcome Trust, Fondation Rockefeller, Big Pharma et WEF — tous largement financés par Gates.
- La Fondation Bill & Melinda Gates est au centre, influençant la santé mondiale, les médias et les politiques.
- Une
enquête allemande de 170 pages a révélé qu’un groupe soudé de 20 à 30
personnes dirigeait la réponse à la pandémie, notamment :
- Agenda climatique : banques centrales et financiarisation de la nature
- Mark Carney (ancien membre de la Banque d’Angleterre, envoyé spécial des Nations Unies pour le climat) et Michael Bloomberg ont dirigé le groupe de travail sur les informations financières liées au climat (TCFD).
- Le Green Finance Institute (GFI) et la Glasgow Financial Alliance for Net Zero (GFANZ) poussent les banques à appliquer des politiques « net-zéro », soutenues par Larry Fink de BlackRock et le WEF.
- La Terra Carta et l'Initiative pour des marchés durables (SMI) du roi Charles III visent à financiariser la nature, en exigeant 5 000 milliards de dollars par an pour les politiques climatiques.
- Contrôle alimentaire et la Grande Réinitialisation
- La Fondation Rockefeller, la Fondation Gates et le WEF jouent un rôle central dans la monopolisation de l’agriculture via les brevets OGM, les aliments synthétiques et les obligations d’agriculture « durable ».
- Le « Great Reset » du WEF vise à réformer la production alimentaire, en promouvant la viande cultivée en laboratoire et les régimes à base d'insectes sous couvert d'action climatique.
- La consolidation des entreprises (par exemple, Bayer-Monsanto) garantit le contrôle de l’élite sur les chaînes d’approvisionnement alimentaire mondiales.
Le réseau COVID-19 : un réseau d'influence
Le dossier de 170 pages du Club Der Klaren Worte a identifié plus de 7 200 connexions entre 6 500 entités, ciblant des personnalités comme le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus (OMS), Angela Merkel et des organisations liées à Bill Gates, telles que GAVI et le Wellcome Trust. Le rapport allègue que ces acteurs ont piloté les politiques de lutte contre la pandémie tout en marginalisant la dissidence. « La Fondation Bill & Melinda Gates apparaît parmi les principaux acteurs du réseau de la pandémie de COVID », a écrit l'auteur anonyme, soulignant ses liens avec le financement des médias et le programme de « Grand Reset » du Forum économique mondial. Des institutions comme l'OMS et l'Université Johns Hopkins étaient des maillons clés de ce réseau présumé.
Mark Carney, ancien gouverneur de la Banque d'Angleterre et envoyé spécial des Nations Unies pour le climat, illustre parfaitement l'intersection entre finance et politique climatique. En 2015, il a co-fondé avec Michael Bloomberg le Groupe de travail sur la publication d'informations financières liées au climat (TCFD), qu'il a ensuite étendu à des initiatives telles que la Glasgow Financial Alliance for Net Zero (GFANZ). Ses détracteurs, comme l'analyste Dan Fournier, affirment que ces efforts privilégient les intérêts des élites : « Les liens de Carney avec les élites bancaires mondiales ne devraient laisser planer aucun doute quant à la situation économique désastreuse » des nations qui se conforment à de tels programmes. La GFANZ, soutenue par Larry Fink de BlackRock et l'Initiative pour des marchés durables du prince Charles, gère aujourd'hui 47 000 milliards de dollars d'actifs, accélérant ce que certains qualifient de « financiarisation de la nature ».
Le lien entre l'alimentation et la « Grande Réinitialisation »
Les fondations Rockefeller et Gates, aux côtés du Forum économique mondial (FEM), influencent depuis longtemps les systèmes alimentaires mondiaux par le biais d'initiatives comme GAVI et de partenariats agro-industriels. Les critiques mettent en garde contre le renforcement du contrôle des chaînes d'approvisionnement sous couvert de durabilité. En 2020, le prince Charles et le FEM ont dévoilé « La Grande Réinitialisation », présentée comme une réforme économique post-pandémique, mais décriée par les sceptiques comme une volonté de centralisation. La Terra Carta de Charles, un manifeste de 2020, appelait à l'intégration des « droits de la nature » dans l'économie – une vision que certains associent à une dérive technocratique.
Des réponses à la pandémie au financement climatique, un ensemble récurrent d'institutions et d'individus – Barclays, Gates, Carney, le Forum économique mondial – semblent exercer une influence disproportionnée sur les systèmes mondiaux. Si leurs partisans affirment que ces réseaux impulsent les réformes nécessaires, leurs détracteurs y voient une dangereuse consolidation du pouvoir. Alors que le débat sur la « Grande Réinitialisation » fait rage, la tension entre action collective et autonomie individuelle demeure un défi majeur du XXIe siècle.
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