Après le missile « Burevestnik », la presse mondiale s'emballe pour parler d'une arme russe encore plus puissante : « Poseidon ».
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Poutine annonce un essai d'une arme nucléaire capable de provoquer un tsunami, rapporte le New York Times.
Le président russe Vladimir V. Poutine a déclaré mercredi que la Russie avait testé avec succès un drone à propulsion nucléaire considéré comme une super-arme, quelques jours après avoir annoncé l'essai d'un missile à capacité nucléaire.
Poseidon, le drone sous-marin sans pilote, est l'un des derniers projets de missiles à capacité nucléaire de la Russie, dévoilé par M. Poutine en 2018 dans un message clair de dissuasion à l'égard de l'Occident.
M. Poutine a déclaré que l'essai Poseidon avait eu lieu mardi.
« Il n’existe rien de comparable au monde en termes de vitesse et de profondeur de déplacement de ce véhicule sans pilote — et il est peu probable qu’il y en ait un jour un », a-t-il déclaré, ajoutant qu’il n’y avait « aucun moyen de l’intercepter ».
Le Poseidon est l'un des six projets d'armes nucléaires russes, qualifiés de super-armes par les experts, dévoilés avant l'invasion de l'Ukraine comme moyen de pression apparent dans les négociations sur le désarmement avec les États-Unis.
Le drone sous-marin, que l'on pense capable de se déplacer à 100 nœuds (environ 115 miles par heure), est conçu pour contourner les défenses afin de provoquer un tsunami suffisamment puissant pour dévaster une ville côtière.
Dimanche, M. Poutine a déclaré que la Russie avait testé avec succès le missile Burevestnik, capable d'emporter une ogive nucléaire, et se préparait à le déployer. Mercredi, il a ajouté que ce missile présentait des « avantages inégalés » et que son réacteur nucléaire s'allumerait en « quelques minutes, voire quelques secondes ».
M. Poutine a également déclaré qu'une autre super-arme russe, le missile intercontinental Sarmat, allait bientôt être mise en service opérationnel.

La Russie a testé son nouveau drone Poseidon qui pourrait « déferler sur la Grande-Bretagne », souligne le journal « Express » .
Vladimir Poutine a révélé que les essais du nouveau drone sous-marin russe Poseidon, très redouté, ont commencé.
Le système océanique polyvalent Status-6, connu sous le nom de Poséidon, est un drone sous-marin autonome russe à propulsion nucléaire conçu comme une arme de représailles stratégique capable de transporter une ogive nucléaire massive vers des cibles côtières.
Dévoilé par Vladimir Poutine en 2018 comme faisant partie de l'arsenal nucléaire avancé de la Russie, Poseidon est destiné à échapper à la détection et aux défenses grâce à sa faible signature acoustique et à sa portée pratiquement illimitée, alimenté par un réacteur nucléaire compact.
Selon les affirmations russes, cette bombe pourrait générer un tsunami radioactif de 500 mètres de haut lors de sa détonation, dévastant potentiellement des villes côtières entières et les rendant inhabitables pendant des décennies.
Plus tôt, Poutine avait annoncé le succès d'un essai du Poseidon, soulignant les progrès accomplis en vue de son déploiement à bord du sous-marin Belgorod, le premier lot de production ayant été achevé plus tôt cette année.

Poutine a présenté le drone nucléaire sous-marin Poseidon, « imparable » et « capable de créer des tsunamis radioactifs », qui a été testé avec succès, défiant ainsi l'avertissement de Trump concernant les armes nucléaires, écrit le Daily Mail .
Dans une allocution télévisée prononcée aujourd'hui lors de sa visite dans un hôpital militaire pour soldats russes, Poutine a déclaré : « Hier, un autre test a été mené sur un autre système potentiel – le dispositif sous-marin sans pilote « Poseidon », également équipé d'un groupe électrogène nucléaire. »
L'appareil peut fonctionner à une profondeur de plus d'un kilomètre et se déplacer à des vitesses allant jusqu'à 70 nœuds tout en restant indétectable, selon une source du complexe militaro-industriel russe citée par l'agence de presse d'État TASS.
En 2023, des experts en stratégie ont averti que la torpille Poseidon aurait le potentiel de dévaster une ville côtière, de provoquer des inondations radioactives et d'entraîner des millions de morts.
Poutine a déclaré qu'aucun pays ne pouvait égaler la vitesse et la profondeur de plongée du Poséidon, ajoutant : « Il est peu probable que quelque chose de similaire apparaisse dans un avenir proche. »
Selon son énoncé de mission, le projet Poseidon visait à « endommager les composantes importantes de l'économie de l'adversaire dans une zone côtière et à infliger des dommages inacceptables au territoire d'un pays en créant des zones de contamination radioactive étendue qui seraient impropres à toute activité militaire, économique ou autre pendant de longues périodes ».
Cette arme pourrait également être utilisée depuis des sous-marins russes comme le Belgorod.
En septembre 2024, les propagandistes de Poutine ont appelé à ce que la Grande-Bretagne soit engloutie sous un tsunami radioactif grâce à son « super-arme » Poséidon.
Le député russe d'extrême droite Andreï Goulev a raillé « nagez, nagez, nagez » tout en exigeant l'utilisation du drone atomique sous-marin à grande vitesse Poséidon, unique en son genre, contre la Grande-Bretagne.
La télévision du Kremlin, sur la chaîne Rossiya-1, a exigé une « menace critique » de Poutine pour empêcher la Grande-Bretagne, les États-Unis et d'autres pays occidentaux d'autoriser l'Ukraine à utiliser des missiles à longue portée pour des frappes sur le territoire russe…
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