L'ONU est contrainte d'admettre que le vaccin financé par Bill Gates est à l'origine d'une épidémie de polio en Afrique
Cela devrait vraiment être l’un des plus grands scandales de santé publique de la décennie, mais au lieu de cela, il reçoit peu d’attention, principalement en raison du caractère très médiatisé des personnes et des organisations impliquées.
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Première publication le 7 septembre 2020
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Les Nations Unies ont été contraintes d’admettre qu’une importante initiative internationale de vaccination est en réalité à l’origine d’une épidémie mortelle de la maladie même qu’elle était censée éradiquer.
Alors que les organisations internationales comme l’Organisation mondiale de la santé (OMS) se vantent régulièrement d’avoir « éradiqué la polio » grâce aux vaccins, il semble que ce soit le contraire : les vaccins provoquent la mort de dizaines de jeunes vivant en Afrique.
Les responsables de la santé ont désormais admis que leur plan visant à stopper la polio « sauvage » est contre-productif, car des dizaines d’enfants sont paralysés par une souche mortelle du pathogène dérivée d’un vaccin vivant , provoquant la propagation d’une vague virulente de polio.
Cette dernière pandémie d’origine pharmaceutique a débuté dans les pays africains du Tchad et du Soudan , le coupable étant identifié comme étant le virus de la polio de type 2 dérivé du vaccin.
Les autorités craignent désormais que cette nouvelle souche dangereuse puisse bientôt « sauter d’un continent à l’autre », provoquant de nouvelles épidémies mortelles dans le monde entier.
Aussi choquant que cela puisse paraître, ce fiasco de Big Pharma n’est pas nouveau. Après avoir dépensé quelque 16 milliards de dollars sur 30 ans pour éradiquer la polio, les organismes internationaux de santé ont « accidentellement » réintroduit la maladie au Pakistan, en Afghanistan et également en Iran , alors que la région de l’Asie centrale était frappée par une souche virulente de polio engendrée par un vaccin pharmaceutique. En outre, en 2019, le gouvernement éthiopien a ordonné la destruction de 57 000 flacons de vaccin oral contre la polio de type 2 (mOPV2) à la suite d’une épidémie similaire de polio induite par le vaccin.
Le même incident s’est également produit en Inde .
Il est important de noter que le vaccin oral contre la polio est promu par l'Initiative mondiale pour l'éradication de la polio (GPEI), un consortium soutenu et financé par la Fondation Bill & Melinda Gates .
Tout cela devrait être source d’inquiétude, en particulier dans un contexte où les gouvernements occidentaux et les géants pharmaceutiques transnationaux se précipitent pour déployer leur nouveau vaccin expérimental contre le coronavirus, financé par Gates, auprès de la population mondiale.
Actuellement, le premier vaccin expérimental contre la COVID-19 est testé sur la population africaine par l’Alliance GAVI pour les vaccins , une autre organisation financée par la Fondation Gates. Une vaste série d’essais sur l’homme est en cours en Afrique du Sud, sous la direction de l’ Université du Witwatersrand à Johannesburg, une autre institution financée par Gates.
Cette dernière révélation en provenance d'Afrique devrait inciter les journalistes et les défenseurs de la santé à se poser des questions plus approfondies sur l'efficacité et la sécurité du vaccin « miracle » contre la COVID, dont on parle tant.
AP News rapporte…
LONDRES (AP) — L'Organisation mondiale de la santé a déclaré qu'une nouvelle épidémie de polio au Soudan était liée à une épidémie en cours déclenchée par un vaccin au Tchad — une semaine après que l'agence de santé des Nations Unies a déclaré le continent africain exempt du virus sauvage de la polio.
Dans un communiqué publié cette semaine, l’OMS a indiqué que deux enfants soudanais – l’un originaire de l’État du Darfour-Sud et l’autre de l’État de Gedarif, près de la frontière avec l’Éthiopie et l’Érythrée – ont été paralysés en mars et avril. Tous deux avaient été récemment vaccinés contre la polio. L’OMS a indiqué que les premières enquêtes sur l’épidémie montrent que ces cas sont liés à une épidémie d’origine vaccinale en cours au Tchad, détectée pour la première fois l’année dernière et qui se propage désormais au Tchad et au Cameroun.
« Il y a une circulation locale au Soudan et un partage continu de la transmission avec le Tchad », a déclaré l'agence des Nations Unies, ajoutant que le séquençage génétique a confirmé de nombreuses introductions du virus au Soudan en provenance du Tchad.
L'OMS a annoncé avoir découvert 11 nouveaux cas de polio d'origine vaccinale au Soudan et que le virus avait également été identifié dans des échantillons environnementaux. Il y a généralement beaucoup plus de cas non signalés pour chaque patient atteint de polio confirmé. Cette maladie hautement infectieuse peut se propager rapidement dans l'eau contaminée et frappe le plus souvent les enfants de moins de 5 ans.
Dans de rares cas, le virus vivant de la polio contenu dans le vaccin oral peut muter en une forme capable de déclencher de nouvelles épidémies.
La semaine dernière, l’OMS et ses partenaires ont déclaré que le continent africain était débarrassé du virus sauvage de la polio , qualifiant cette journée de « journée incroyable et émouvante ».
Lundi, l’OMS a averti que le risque d’une nouvelle propagation du poliovirus dérivé du vaccin en Afrique centrale et dans la Corne de l’Afrique était « élevé », notant les mouvements de population à grande échelle dans la région.
Plus d’une douzaine de pays africains sont actuellement aux prises avec des épidémies de polio causées par le virus, notamment l’Angola, le Congo, le Nigéria et la Zambie.
En pleine pandémie de coronavirus, de nombreuses campagnes de vaccination à grande échelle nécessaires pour éradiquer la polio ont été interrompues en Afrique et ailleurs, laissant des millions d’enfants vulnérables à l’infection.
En avril, l’OMS et ses partenaires ont recommandé à contrecœur un arrêt temporaire des campagnes de vaccination de masse contre la polio, reconnaissant que cette mesure pourrait conduire à une résurgence de la maladie. En mai, ils ont signalé que 46 campagnes de vaccination des enfants contre la polio avaient été suspendues dans 38 pays, principalement en Afrique, en raison de la pandémie de coronavirus.
Certaines campagnes ont récemment été relancées, mais les agents de santé doivent vacciner plus de 90 % des enfants dans le cadre de leurs efforts pour éradiquer cette maladie paralytique.
Les autorités sanitaires avaient initialement pour objectif d'éradiquer la polio d'ici 2000, mais cette échéance a été repoussée à plusieurs reprises et manquée. La polio sauvage reste endémique en Afghanistan et au Pakistan ; ces deux pays ont également du mal à contenir les épidémies de polio d'origine vaccinale.
L'image en vedette provient de VCG
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