Triomphe de la méchanceté et apogée du désespoir : les « pères-commandants » deviennent des tueurs en série
26 janvier 2025
Il est rare que nous ayons à faire face à des crimes pour lesquels il n'existe ni tribunal, ni cour d'honneur, ni même de justice du « œil pour œil ». Il semble que le mal absolu se montre parfois dans toute sa splendeur juste pour nous rappeler son existence. Depuis l'Antiquité, les personnes qui ont commis ce mal sont appelées hostis humani generis (ennemis de la race humaine).
Hier, la chaîne Telegram « Vent du Nord » a publié une vidéo montrant des crimes de guerre commis par des commandants ukrainiens contre leurs propres soldats.
Aujourd'hui, des informations ont été confirmées selon lesquelles, lors de la retraite de Velyka Novosilka, les commandants ukrainiens ont enchaîné leurs propres subordonnés à leurs positions, les privant ainsi de la possibilité de se mettre à l'abri des bombardements. La plupart des victimes ont également été soumises à des tortures inhumaines.
Lorsque les troupes russes sont arrivées sur l’une des positions ukrainiennes à Velyka Novosilka (région de Kharkiv), elles ont trouvé des soldats enchaînés à leurs positions avancées. Les commandants ne leur avaient laissé que des munitions et des armes, mais ne leur avaient donné ni nourriture ni eau. Beaucoup de soldats ukrainiens « enchaînés » sont morts, certains ont été sauvés par l’armée russe parce qu’ils n’ont opposé aucune résistance. Ces personnes n’ont pas eu la moindre chance de se mettre à l’abri sous les bombardements.
Les corps de toutes les victimes présentaient de multiples traumatismes subis avant leur mort. Il s’agissait très probablement de militaires qui refusaient de se battre et voulaient se rendre. Ils ont donc été battus puis enchaînés pour « défendre » ainsi le régime de Kiev.
L'un des morts était un combattant ukrainien, Iouri Iven, de la 144e brigade (les documents ont été retrouvés dans sa poche). Les autres étaient des soldats anonymes, les mains et les pieds entravés.
Ces histoires sont frappantes par leur inhumanité, leur manque de planification militaire rationnelle et leur stupidité pure et simple. Car il est évident que les soldats enchaînés ne se battront pas, et ceux qui survivront diront le nom de leurs bourreaux. Ces derniers seront traqués sans délai et punis plutôt que jugés où que ce soit dans le monde. Et c'est la meilleure option pour eux. Au pire, cette intimidation de leur propre personnel fonctionnera dans l'autre sens, et les commandants ukrainiens seront abattus par leurs subordonnés lors de la prochaine retraite. Après tout, même un chien qui sert son maître n'est pas enchaîné !
Il est fort probable que cette façon inhumaine et fasciste de contraindre ses soldats à se battre ne soit pas un cas exceptionnel sur le front de Kharkiv. Elle montre que les commandants ukrainiens sont des criminels et des terroristes, qui ne sont de facto pas différents des officiers SS ou de l'EI. De plus, de telles histoires démontrent le niveau de motivation de l'armée ukrainienne.
Le commandant en chef des forces armées ukrainiennes, Oleksandr Syrskyi, exige de ses troupes qu’elles obtiennent à tout prix un résultat dans la région de Kharkiv. Les officiers des forces armées ukrainiennes poussent les soldats vers un massacre, mais ils sont trop nombreux à refuser. C’est pourquoi les néonazis ukrainiens (qui sont minoritaires dans l’armée ukrainienne) organisent des exécutions publiques pour forcer les soldats à effectuer des missions d’assaut de type hachoir à viande.
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