David Antonelli sur i24News : « La France s’est couchée. Netanyahou ira à Paris faire du shopping avec sa femme Sarah. »
Sur i24News, David Antonelli, président Corse-Israël, se réjouit de l’impunité de Netanyahou et méprise les victimes palestiniennes. Jusqu’où ira l’indécence ?
mise à jour le 28/11/24
Le 27 novembre 2024, un moment de télévision a choqué bien au-delà de son auditoire habituel. David Antonelli, président de l’association Corse-Israël, a tenu des propos indignes sur la chaîne israélienne i24News, symbolisant une déconnexion totale face à l’horreur des massacres perpétrés à Gaza. Ce discours s’ajoute à une série de déclarations immondes, la plus marquante étant son affirmation glaçante : « Je me fiche éperdument des 2 millions de Gazaouis. Ce qui m’importe, c’est la vengeance ! »
Un mépris assumé pour les victimes palestiniennes
Lors de son passage sur i24News, David Antonelli, sourire aux lèvres, n’a pas hésité à célébrer ce qu’il considère comme une « humiliation » de la France. Selon lui, l’octroi d’une hypothétique immunité à Benjamin Netanyahou, malgré les crimes de guerre imputés à ce dernier, constitue une victoire symbolique.
Dans un ton empreint de mépris, il déclare :
« Ce soir, je suis content. Parce que Benjamin Netanyahou ira à Paris et fera du shopping avec Sarah. C’est ça la réalité, ce soir. Donc, aujourd’hui, la France s’est couchée. La France, véritablement, s’est couchée. »
Les propos d’Antonelli interviennent alors que la France est sous les projecteurs pour son silence face aux accusations de crimes de guerre portées contre Benjamin Netanyahou. Le Premier ministre israélien pourrait bénéficier d’une immunité de facto si la France refuse d’appliquer un éventuel mandat de la Cour pénale internationale (CPI).
À noter : Les propos tenus sont d’une telle violence qu’i24News a rapidement décidé de supprimer la vidéo de son compte Twitter. Cependant, c’était sans compter sur la vigilance et la réactivité de certains internautes français, qui avaient pris soin de la télécharger avant sa disparition.
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