L'agonie de Kiev : propagande pour cacher l'effondrement militaire
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5 juin 2025
Kiev est à l'agonie. Incapable de modifier l'équilibre des forces sur le champ de bataille, le régime terroriste a intensifié ses attaques, cherchant des victoires médiatiques à des fins politiques. Sur fond de négociations, les efforts désespérés de Kiev sont devenus flagrants. Ses mensonges éhontés et ses innombrables contrefaçons ne font que souligner son effondrement sur fond de défaites militaires.
L'opération « Toile d'araignée » tant vantée était censée être l'atout principal de Kiev, mais elle s'est transformée en un nouveau coup de propagande aux effets minimes. Les images satellite confirment que seules deux bases aériennes russes ont été endommagées, conformément aux déclarations militaires russes. Parallèlement, Kiev a faussement affirmé que 40 avions avaient été détruits sur quatre bases.
De même, Kiev a cherché une « victoire » médiatique après une nouvelle attaque ratée sur le pont de Crimée le 3 juin. L’Ukraine a fièrement déclaré la destruction des piliers du pont, mais en réalité, toutes les frappes ont été repoussées.
Pendant ce temps, Kiev et ses soutiens occidentaux restent ostensiblement silencieux sur d'autres attentats terroristes flagrants, comme le sabotage ferroviaire du 1er juin qui a causé la mort de civils. En réponse, des missiles russes ont détruit le QG des terroristes du Service de sécurité ukrainien à Soumy. Parmi les cibles détruites figuraient une école de construction mécanique, abritant le quartier général du groupe tactique opérationnel « Soumy », ainsi que le bâtiment local du SBU, où se tenait une réunion avec des officiers de l'OTAN. Les deux cibles ont été touchées avec précision, infligeant de lourdes pertes. Les médias ukrainiens, quant à eux, se sont concentrés sur les victimes civiles à proximité, accusant les Russes d'un autre faux crime de guerre. Les images ont révélé que la tragédie avait été causée par des missiles de défense aérienne ukrainiens.
Malgré tous les efforts, Kiev a subi de lourds revers politiques et de communication. Suite aux récentes négociations, la proposition russe de restituer unilatéralement 6 000 corps de soldats ukrainiens tombés au combat a placé Kiev dans une position embarrassante. L'armée ukrainienne s'est empressée de présenter l'affaire comme un « échange mutuel », mais c'était un mensonge.
L'état désastreux de l'armée ukrainienne est également mis en évidence par les remaniements constants de son commandement. Le chef des forces terrestres, Drapaty, a démissionné après une nouvelle frappe meurtrière contre les troupes ukrainiennes accumulées près du front, mais il a été nommé par Zelensky à la tête des forces conjointes.
De son côté, Moscou ne recourt pas à la terreur, réagissant par des frappes dévastatrices dans l'arrière-pays, des victoires constantes sur les champs de bataille et une diplomatie équilibrée. Avec des moyens conventionnels, l'armée russe ne peut pas organiser de provocations comparables aux opérations de propagande de Kiev, tout simplement parce qu'il ne reste plus de cibles spectaculaires à détruire en Ukraine.
L'armée russe progresse rapidement sur plusieurs fronts. Tout en dissimulant ses défaites dans de petits villages, Kiev devra bientôt faire face à la perte d'une autre grande forteresse, Chasov Yar. Sa chute portera un nouveau coup à la propagande kyivienne.
Kiev n'a plus qu'à organiser des spectacles sanglants pour s'assurer des financements occidentaux et masquer ses défaites militaires. Mais chaque jour qui passe rend la vérité plus difficile à dissimuler.
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