Ce décryptage de la grande affaire des vaccins Covid est absolument remarquable AVANT QUE TOUT NE RECOMMENCE
- Obtenir le lien
- X
- Autres applications

@ResilientsTv !). À écouter et partager sans modération
.Quel aura été le mythe le plus toxique concernant la crise du Covid-19? Pour moi, c’est celui selon lequel il n’existait qu’un seul récit “sensé”, celui que nous ont servi autorités politiques et médias traditionnels.
Un récit qui parlait d’un virus d’origine strictement naturelle, “comme son génome le prouve” (Le Monde), d’une épidémie terrible, d’un nombre de morts “jamais vu depuis 100 ans” (RTS),
de masques salvateurs, de restrictions indispensables des libertés: “les confinements, ça marche très bien, on l’a vu!” (Didier Pittet).
Ce récit nous disait aussi que les traitements bon marché étaient pires qu’inefficaces: dangereux, voire mortels, causant des dizaines de milliers de morts: 17’000 morts “a minima” (Mediapart). Leurs promoteurs étaient des “druides” à moitié fous.
Seuls les traitements coûteux et sous brevet « fonctionnaient », par une heureuse coincidence pour leurs marchands.
Surtout, les vaccins, très efficaces, “de haute qualité”, “parmi les plus sûrs qu’on ait jamais eus” (Alain Berset), en un mot parfaits, nous sauveraient.
Il faudrait, donc, naturellement, vacciner tout le monde, y compris les enfants. “On ne s’en sortira pas sans vacciner les enfants” (Antoine Flahault).
Ceux qui rechignaient à se vacciner étaient “des irresponsables”, au point de ne plus être “des citoyens”. Il s’agissait, donc, de “les emmerder” (Macron). On les “emmerda”, donc.
Ce récit-là était présenté comme le seul récit crédible, toute autre lecture de événements relevant de ce fameux “complotisme” porté par des gens qui “ne croient pas en la science” et sont souvent “racistes et misogynes” (Trudeau).
Ce dogme de la vérité unique, fruit du “consensus des experts”, était pourtant une complète fabrication.
Il existait en réalité un autre récit tout aussi sensé, bien mieux sourcé, et partagé par une communauté de médecins et scientifiques qualifiés, souvent parmi les plus cités de leur spécialité.
Il nous parlait d’un virus issu de recherches dangereuses en laboratoire, qui, pour une grande majorité de la population, ne tuait pas beaucoup plus qu’une grippe, l’année 2020 n’étant pas plus mortelle que d’autres années récentes.
Il nous disait que les confinements, et tous les autres signes de cette obsession frénétique pour le contrôle des individus n’étaient pas seulement liberticides, ils étaient sans fondement scientifique solide, et terriblement toxiques pour la société humaine.
Les masques ? En population générale, ils ne servaient à rien, ou à presque rien, et n’étaient pas sans risques. Les traitements bon marché n’étaient pas moins efficaces que les traitements coûteux, et souvent bien plus sûrs.
Les vaccins, expérimentaux, n’étaient pas les sauveurs promis à la population : beaucoup moins efficaces et beaucoup moins sûrs qu’annoncés, ils ne permettaient pas de bloquer la transmission du virus.
Pour cette raison, contraindre, séduire ou culpabiliser des gens en parfaite santé pour qu’ils se vaccinent, surtout des enfants et adolescents que le virus ne tuait presque jamais, n’avait aucun sens.
Deux récits radicalement opposés, donc, chacun à peu près cohérent en apparence. L’un de ces récits, le premier, a été promu massivement dans les médias traditionnels et dans les sphères politiques tout au long de la crise.
L’autre récit, le second, alors qu’il était porté par des experts de renommée mondiale, a été activement censuré, et ceux qui avaient le culot de le défendre ont été persécutés.
Le mot n’est pas trop fort quand on considère que médecins et scientifiques ont perdu, du jour au lendemain, leur carrière, parfois leur profession, pour avoir refusé de raconter un récit auquel ils ne croyaient pas. Nous sommes en 2025, cinq ans après.
- Obtenir le lien
- X
- Autres applications
Commentaires
Enregistrer un commentaire