Trump exige la démission de Powell et cite le parjure devant une commission sénatoriale comme « cause »
Hal Turner 5 juillet 2025
C'est officiel : le président Trump a appelé le président de la Réserve fédérale, Jerome Powell, à démissionner immédiatement sous peine d'être destitué pour parjure devant le Congrès.
Le déclencheur ? Une reconstruction secrète du siège de la Fed, d'un montant de 2,5 milliards de dollars, façon Versailles moderne, cachée au public, financée par les contribuables et niée sous serment. Ce que Trump vient de révéler n'est pas seulement la corruption d'un seul homme, mais le noyau corrompu de l'État profond financier. Et il ne pose pas de questions. Il déclare la guerre.
Alors que les Américains luttaient contre l'inflation, les licenciements et l'anxiété économique, la Fed de Powell construisait discrètement une forteresse luxueuse. Des plans divulgués confirment la présence de jardins sur les toits, d'ascenseurs privés et de réfectoires exécutifs revêtus de marbre. On a dit au public qu'il s'agissait d'une « mise à jour nécessaire ». Sous serment, Powell a nié cette opulence. Mais aujourd'hui, des documents provenant de son propre système prouvent le contraire. Il ne s'agit pas d'une rénovation. C'est une trahison gravée dans la pierre.
L'homme qui a brisé le silence ? Bill Pulte, directeur de l'Agence fédérale de financement du logement. Un lanceur d'alerte venu de l'intérieur. Pulte a révélé la dissimulation avec des preuves tangibles, contredisant le témoignage sous serment de Powell. Et maintenant, c'est toute l'institution qui est exposée – pas seulement le palais, mais la culture de tromperie qui l'a construite. Ce n'était pas seulement le scandale de Powell. C'est le masque de la Fed qui tombe, révélant sa véritable nature : un cartel déguisé en gouvernement.
Mentir au Congrès n'est pas une erreur administrative, c'est un crime fédéral. Tout citoyen qui se parjure devant une commission sénatoriale risque la prison. Powell le fait et s'en sort libre et aisé. C'est ce deux poids, deux mesures que Trump vient de briser. La Fed n'a jamais été véritablement fédérale. C'est une institution privée, dirigée par des personnalités influentes non élues, dénuées de toute loyauté envers le peuple américain. La dénonciation de Powell est le premier domino d'un effondrement attendu depuis longtemps.
L'ultimatum de Trump est clair : démissionner, faire face à des poursuites pénales ou être démis de ses fonctions. Ce n'est pas une posture. C'est la ligne à suivre. L'ère de l'immunité bancaire est révolue. L'économie américaine ne sera plus dictée par des financiers mondialistes se faisant passer pour Dieu. Le président met la Réserve fédérale au pas, non pas par vengeance, mais par rédemption. Pour chaque travailleur écrasé par l'inflation, chaque petite entreprise ruinée par les hausses de taux et chaque citoyen à qui l'on a menti, justice est faite.
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