La curcumine pour prévenir le cancer de l'intestin
https://www.naturalnews.com/2025-07-03-how-curcumin-could-revolutionize-bowel-cancer-prevention.html

Malgré les preuves croissantes des effets anticancéreux de la curcumine , la médecine conventionnelle reste réticente à l'adopter. Parallèlement, les taux de cancer colorectal explosent chez les jeunes adultes, une tendance inquiétante que l'oncologie conventionnelle n'a pas réussi à expliquer ni à inverser. La vérité est claire : la nature offre des solutions efficaces, mais la corruption et la cupidité les retiennent enfouies.
Points clés :
- La curcumine, le composé actif du curcuma, perturbe les cellules souches cancéreuses, empêchant la croissance et la récidive des tumeurs.
- Des études en laboratoire et sur des animaux montrent que la curcumine prolonge la durée de vie et ralentit la progression du cancer à des doses réalisables grâce à des suppléments.
- L’augmentation des taux de cancer de l’intestin chez les jeunes adultes coïncide avec le déclin des régimes alimentaires traditionnels et l’essor des aliments transformés – des facteurs ignorés par les autorités sanitaires traditionnelles.
- La curcumine s’attaque au cancer à la racine, en s’attaquant à l’inflammation chronique et à la suppression génétique.
- De plus, la curcumine régule à la baisse la COX-2, réduisant les signaux pro-inflammatoires, tout en altérant la prolifération des cellules cancéreuses.
La science derrière le pouvoir anticancéreux du curcuma
La curcumine ne se contente pas de masquer les symptômes : elle s'attaque au cancer à la racine . Les chercheurs ont découvert qu'elle se lie à une protéine clé (DCLK1) que les cellules cancéreuses utilisent pour se multiplier, neutralisant ainsi efficacement leur menace. Chez des souris ayant reçu des injections de cellules cancéreuses, la curcumine a réduit la croissance tumorale et augmenté les taux de survie, reflétant ainsi les résultats des tests sur tissus humains.
Mais voilà le hic : atteindre des doses thérapeutiques nécessite bien plus de curcumine que ce qu’apporte un régime alimentaire classique. La poudre de curcuma n’en contient que 2 à 5 %, ce qui signifie qu’il faudrait en consommer au moins 40 grammes par jour, une quantité peu pratique. C’est là que les compléments alimentaires, dont la puissance est standardisée, deviennent essentiels. Cancer Research UK admet que la curcumine « peut tuer les cellules cancéreuses », mais minimise son potentiel, exigeant d’interminables études tout en ignorant les données existantes. Combien de vies devront être perdues avant que les remèdes naturels obtiennent ce qu’ils méritent ?
Une épidémie silencieuse : pourquoi les jeunes adultes meurent-ils d’un cancer de l’intestin ?
Le cancer colorectal était autrefois une maladie des personnes âgées. Aujourd'hui, il touche les millennials et la génération Z à un rythme alarmant. The Lancet a constaté une hausse de 3,6 % des cas au Royaume-Uni, tandis que les hôpitaux américains signalent une augmentation des diagnostics chez les patients de moins de 50 ans. Qu'est-ce qui a changé ? La réponse réside dans la santé intestinale, ou dans son sabotage délibéré.
Les mécanismes moléculaires de la curcumine dans la prévention du cancer colorectal
Suppression génétique et effets anti-inflammatoires
La curcumine agit de manière similaire aux AINS en supprimant les gènes essentiels au développement du cancer colorectal (CCR) , notamment :
- COX-2 (cyclooxygénase-2) : Surexprimée dans 77 % des cas de cancer colorectal, la COX-2 favorise l’inflammation et la croissance tumorale. La curcumine régule négativement la COX-2, réduisant ainsi les signaux pro-inflammatoires.
- NF-βB (facteur nucléaire kappa B) : facteur de transcription qui favorise l'inflammation et la survie cellulaire. La curcumine inhibe le NF-βB, entravant ainsi la prolifération des cellules cancéreuses.
- Voie bêta-caténine/Wnt : les mutations de cette voie sont fréquentes dans le cancer colorectal. La curcumine perturbe la signalisation de la bêta-caténine, empêchant ainsi la division cellulaire incontrôlée.
Induction de l'apoptose
La curcumine active la mort cellulaire programmée dans les cellules CRC via :
- Récepteurs de mort (DR5, Fas) : améliorent les signaux d'apoptose.
- Activation de la caspase : stimule la caspase-3 et la caspase-8, enzymes clés dans les voies de mort cellulaire.
- Modulation de la famille Bcl-2 : la curcumine augmente le Bax pro-apoptotique tout en diminuant le Bcl-2 anti-apoptotique, déplaçant l'équilibre vers la suppression tumorale.
Protection contre l'aflatoxine et les dommages oxydatifs
La curcumine neutralise l'aflatoxine, une toxine liée au cancer colorectal provenant d'aliments contaminés par des moisissures. De plus, elle agit comme antioxydant, mais paradoxalement, elle génère des espèces réactives de l'oxygène (ERO) dans les cellules cancéreuses, induisant un stress oxydatif qui déclenche l'apoptose.
Études animales : Réductions spectaculaires de la croissance tumorale
Des études sur des rongeurs soulignent l’efficacité de la curcumine :
- Le volume tumoral a été réduit de 57 % chez les rats nourris avec des régimes enrichis en curcumine.
- Prévention des métastases en inhibant les adénocarcinomes invasifs.
- Formation réduite de polypes chez les souris génétiquement prédisposées au CCR (modèles ApcMin/+).
Un effet synergique a été observé lorsque la curcumine a été combinée avec la silymarine et les acides boswelliques , améliorant la chimioprévention.
Essais cliniques : preuves chez l'homme
Bien que les essais sur l'homme soient encore limités, les principales conclusions sont les suivantes :
- Les essais de phase I ont confirmé l’innocuité à des doses allant jusqu’à 3,6 g/jour (bien que la biodisponibilité reste faible).
- Les essais de phase II ont montré un potentiel anticancéreux dans les cancers du pancréas et colorectal, mais les résultats étaient incohérents.
- La curcumine orale s’accumule dans les tissus colorectaux, ce qui la rend plus efficace contre les cancers du tractus gastro-intestinal que contre les tumeurs malignes systémiques.
- Chez les patients atteints de FAP, une étude a observé une réduction de 60 % du nombre de polypes, mais un essai plus vaste n’a constaté aucune amélioration significative, ce qui suggère que la curcumine pourrait être plus efficace dans la prévention du CCR sporadique.
Malgré ses promesses, sa faible biodisponibilité demeure un obstacle. Les chercheurs étudient :
- Curcumine liposomale (formulations intraveineuses).
- Thérapies combinées avec des médicaments de chimiothérapie conventionnels (par exemple, FOLFOX).
- Synergies diététiques (ex : curcumine + quercétine).
La capacité de la curcumine à moduler l'inflammation, l'apoptose et le stress oxydatif en fait un puissant phytochimique pour la prévention du cancer colorectal. Bien que des essais plus approfondis sur l'homme soient nécessaires, les données actuelles suggèrent que l'intégration de la curcumine dans l'alimentation ou les compléments alimentaires, notamment en association avec des activateurs de biodisponibilité, pourrait constituer une stratégie naturelle et peu toxique pour réduire le risque de cancer colorectal .
Les sources incluent :
https://etouffoir.blogspot.com/2022/09/le-lait-dore-et-ses-anti-inflammatoires.html
https://etouffoir.blogspot.com/2022/12/4-epices-pour-une-bonne-sante.html
https://etouffoir.blogspot.com/2023/08/etude-la-curcumine-contenue-dans-le.html
https://etouffoir.blogspot.com/2021/09/covid-19-la-curcumine-au-secours-du.html
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