Les climato-dingos veulent que les Boeing 777 déversent du SOUFRE dans le ciel, risquant ainsi une CATASTROPHE DE PLUIES ACIDES
https://www.naturalnews.com/2025-05-01-geoengineers-want-boeing-777s-dump-sulfur-sky.html
CULTE DE LA DESTRUCTION DU CLIMAT : Les géo-ingénieurs veulent que les Boeing 777 déversent du SOUFRE dans le ciel, risquant ainsi une CATASTROPHE DE PLUIES ACIDES
01/05/2025 // SD Wells
- La géo-ingénierie devient incontrôlable : les scientifiques proposent d'utiliser des Boeing 777 modifiés pour pulvériser des millions de tonnes de dioxyde de soufre dans l'atmosphère - imitant les éruptions volcaniques - pour refroidir la planète, mais les critiques avertissent que cela pourrait déclencher des pluies acides, l'effondrement des écosystèmes et des perturbations climatiques irréversibles.
- Pluies acides et ciels toxiques : Le plan risque de réintroduire les pluies acides, une catastrophe environnementale avérée qui détruit les forêts, empoisonne les cours d’eau et corrode les infrastructures, tout en exposant les populations à des particules toxiques comme le brome, l’aluminium et le strontium.
- Expériences secrètes et allégations de conspiration : Des personnalités publiques comme RFK Jr. accusent la DARPA et les gouvernements de mener secrètement des expériences de géo-ingénierie, qualifiant cela de « crime contre l'humanité », tandis que les sceptiques relient les théories du complot sur les chemtrails à des propositions réelles de pulvérisation de soufre.
Des scientifiques proposent un plan de géo-ingénierie risqué pour pulvériser du dioxyde de soufre, suscitant des craintes de dommages environnementaux
Un projet controversé visant à lutter contre le changement climatique par pulvérisation de dioxyde de soufre dans l'atmosphère a suscité l'inquiétude des scientifiques et des défenseurs de l'environnement. Des chercheurs de l'Université Rutgers, de l'University College London et de Yale ont proposé de modifier les Boeing 777 afin de libérer des millions de tonnes de dioxyde de soufre chaque année – une technique connue sous le nom d'injection d'aérosols stratosphériques (IAS).
Si ses partisans affirment que ce projet pourrait refroidir la planète, ses détracteurs préviennent qu'il pourrait déclencher des pluies acides, nuire aux écosystèmes et créer des perturbations climatiques irréversibles. Le débat s'est intensifié après que des personnalités publiques comme Robert F. Kennedy Jr. ont accusé des agences gouvernementales, dont la DARPA, de mener secrètement des expériences similaires.
L'étude, publiée dans Nature Ecology & Evolution et Earth's Future , suggère d'injecter du dioxyde de soufre à basse altitude (12 700 mètres) à l'aide d'avions existants, plutôt que de développer des jets spécialisés. Cependant, cette approche implique des compromis importants. À cette altitude, les particules de soufre tombent plus vite, nécessitant trois fois plus d'aérosols pour obtenir le même effet de refroidissement, ce qui augmente considérablement les risques tels que les pluies acides et l'exposition humaine aux particules toxiques .
« Cette stratégie à basse altitude augmenterait fortement les effets secondaires tels que les pluies acides », ont admis les chercheurs. Ce plan s'inspire de l'éruption du mont Pinatubo en 1991, qui a temporairement refroidi la planète, mais a également causé des dommages environnementaux considérables.
Cette proposition a suscité de vives critiques de la part de militants écologistes et de personnalités publiques. RFK Jr., dans une récente interview, a lié ces efforts de géo-ingénierie à des programmes militaires secrets. « Nous mettrons bientôt fin à ce crime contre l'humanité et notre planète », a-t-il déclaré, accusant les « ploutocrates » de mener des expériences incontrôlées. Interrogé sur l'identité des responsables des prétendues pulvérisations d'aérosols, il a suggéré l'implication de la DARPA, déclarant : « Nous [le HHS] ne faisons pas cela. C'est – nous pensons – la DARPA qui s'en charge. »
La récente campagne du gouvernement britannique en faveur d'essais de géo-ingénierie a encore accru les inquiétudes. Les critiques affirment qu'une fois lancés, ces programmes pourraient devenir permanents, car leur arrêt brutal pourrait déclencher un choc catastrophique, c'est-à-dire une reprise brutale du réchauffement climatique.
L'étude reconnaît que l'utilisation des avions existants pourrait conduire à un « déploiement unilatéral » par des gouvernements ou des entités privées sans surveillance mondiale. Jim Lee, chercheur anti-géo-ingénierie, prévient que les émissions de l'aviation commerciale imitent déjà les modifications atmosphériques à grande échelle. « Ce n'est pas une solution, c'est une dépendance technique à une intervention dangereuse », affirme Lee.
Historiquement, la géo-ingénierie a été présentée comme une mesure d'urgence, mais les sceptiques affirment qu'elle détourne l'attention de la réduction des émissions de carbone. Les pluies acides, conséquence avérée de la pollution au soufre, ravagent les forêts, les cours d'eau et les infrastructures, soulevant la question de savoir si le remède est pire que le mal.
Alors que scientifiques et décideurs politiques débattent de la question des épandages de soufre, le public est confronté à un choix difficile : faire confiance à une géo-ingénierie non prouvée et à haut risque ou exiger des comptes des institutions qui la promeuvent. Face à des enjeux environnementaux aussi importants, le monde pourrait bientôt savoir si la manipulation de l’atmosphère est une solution audacieuse ou un désastre inévitable.
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