ALERTE – Procès contre Candace Owens : L’avocat de Brigitte Macron promet des preuves scientifiques mais…
Brigitte et Emmanuel Macron poursuivent l’influenceuse américaine Candace Owens pour diffamation aux États-Unis, après ses vidéos affirmant que la Première dame serait née homme
mise à jour le 18/09/25

La Première « dame » de France doit prouver qu’elle est bien une femme. Selon Politico, c’est le défi auquel se confrontent Emmanuel et Brigitte Macron, engagés dans une bataille judiciaire contre l’influenceuse américaine Candace Owens. Cette dernière affirme, dans une série de vidéos, que Brigitte Macron serait née homme. Ce à quoi Candace Owens répond sans détour sur x :
« Ceci est objectivement faux. Elle ne m’attaque pas en justice pour avoir dit qu’elle est un homme. Elle n’a d’ailleurs jamais poursuivi qui que ce soit pour avoir affirmé qu’elle est un homme. Et pour cause : elle en est un. »
Une accusation qui fait des vagues
Tout part d’une série de vidéos intitulée Becoming Brigitte, publiée par Candace Owens en 2024. L’influenceuse y soutient que Brigitte Macron serait née sous une identité masculine, une affirmation qu’elle répète à ses millions d’abonnés sur YouTube et X. En juillet 2025, le couple présidentiel riposte en déposant une plainte pour diffamation devant un tribunal du Delaware, aux États-Unis.
« Nous sommes prêts à démontrer que ces allégations sont fausses », a déclaré Tom Clare, l’avocat des Macron, dans une interview accordée à la BBC. Il promet des « preuves scientifiques » et des témoignages pour clore le débat. Mais pour l’instant, aucun détail sur ces preuves n’a été rendu public, laissant la polémique s’amplifier. C’est pourtant la demande initiale de Candace Owens : de simples photos de Brigitte Macron avec ses enfants dans sa jeunesse. Rien de plus !
Une bataille judiciaire semée d’embûches
Ce n’est pas la première fois que Brigitte Macron se tourne vers les tribunaux. En France, elle a déjà attaqué deux femmes, Natacha Rey et Amandine Roy, pour des accusations similaires. En 2024, elles sont condamnées pour diffamation, mais la décision est annulée en appel en juillet 2025, la cour estimant que ces propos relevaient de la liberté d’expression. Les Macron se sont pourvus en cassation, mais ce revers judiciaire alimente les doutes de certains observateurs.
Aux États-Unis, le défi est encore plus grand. Les lois sur la diffamation exigent de prouver une « malveillance réelle », c’est-à-dire que l’accusée savait que ses propos étaient faux ou les a tenus avec un mépris délibéré pour la vérité. Candace Owens, elle, rejette la plainte, arguant qu’elle protège son droit à la libre expression et que le choix du Delaware comme juridiction est inapproprié. « Je n’ai pas encore été officiellement notifiée », a-t-elle déclaré dans une vidéo en juillet 2025, tout en maintenant ses accusations.
Des preuves pour mettre fin au débat ?
Les Macron misent sur des éléments concrets pour leur défense : des témoignages, des photos de Brigitte Macron enceinte ou avec ses enfants, et des expertises scientifiques. Tom Clare insiste :
« C’est douloureux de devoir présenter ce type de preuves en public, mais Brigitte est déterminée à rétablir la vérité. »
Pourtant, aucun document n’a encore été dévoilé, et certains s’interrogent : pourquoi multiplier les plaintes sans publier ces preuves dès maintenant ?
Le film préféré de Brigitte Macron est « Certains l’aiment chaud (Some Like It Hot) » sorti en 1959.
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