Les 3 certitudes scientifiques: les vaccs ARNm injectés ne sont pas ceux qui ont été expérimentés, ils sont lourdement contaminés ,les cancers ont explosé

Une allégation fondamentale de fraude scientifique émerge de la littérature évaluée par des pairs, remettant en cause la légitimité même des vaccins à ARNm contre le COVID-19. Comme l’explique en détail le Dr Kevin McKernan, expert de renom en génomique, le problème central réside dans une « publicité mensongère » d’une ampleur historique.
1/ Le processus est le produit : un « péché mortel » commis Dans la fabrication de produits biologiques, le processus de production est rigoureusement défini et validé ; changer le processus, c’est changer le produit.
Selon une analyse publiée, les vaccins à ARNm administrés dans le monde entier n’étaient PAS de la même formulation que ceux utilisés dans les essais cliniques. L’EMA aurait demandé un nouvel essai sur 250 personnes après le changement de processus, mais les données n’ont jamais été fournies. Cela rend les données d’efficacité des essais tant vantées sans rapport avec ce qui a été injecté à des milliards de personnes.
2/ La crise de la contamination : un consensus écrasant Un examen scientifique indépendant a révélé une contamination importante de l’ADN dans les produits
. Les preuves deviennent indéniables : • 10 des 11 études qui se sont spécifiquement penchées sur la question ont mis en évidence une contamination par l’ADN plasmidique. • 5 autres études évaluées par des pairs, qui n’enquêtaient pas initialement sur la contamination, ont accidentellement découvert de l’ADN étranger dans le sang et les tissus humains après la vaccination, qui a ensuite été identifié par des chercheurs. Il ne s’agit pas d’un débat. Un consensus scientifique se forme en dehors de l’influence du financement des entreprises.
3/ Le lien avec le cancer : une crise préméditée ? Le lien le plus alarmant concerne le cancer. • Augmentation des cas : les cliniciens signalent une augmentation des cancers, y compris des néoplasmes inhabituels apparaissant directement au site d’injection.
• Acquisitions préventives : Pfizer, qui disposait des données des premiers essais, a procédé à deux acquisitions stratégiques massives : l’achat de Seagen pour 43 milliards de dollars et l’acquisition de Trillium Therapeutics pour 2,26 milliards de dollars, une société spécialisée dans les cancers du sang impliquant le marqueur CD147, un marqueur connu pour être impliqué dans la pathologie du COVID-19. Cela suggère une connaissance préalable et une préparation à une vague imminente de tumeurs malignes liées au vaccin. La conclusion impensable : Nous assistons potentiellement à la plus grande exposition cancérigène de l’histoire de l’humanité.
Ces produits exempts de responsabilité ont été imposés à des milliards de personnes, y compris aux femmes enceintes et aux enfants. Les données des essais étaient une caricature ; le produit réel est une substance différente et contaminée. Les preuves évaluées par des pairs ne peuvent plus être ignorées. L’argument de la « coïncidence » est scientifiquement indéfendable. Cela exige une enquête indépendante immédiate et la mise en place de responsabilités.
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