Espionnage et violations de toutes sortes
L’espionnage est la base de toutes les violations.
Il sert à fabriquer les mises en scène qui font passer les sabotages et chantiers divers , pour des accidents de vie ou pour une malchance de destinée .
L’espionnage peut être humain . Avec l’habitude , il est repérable. Il n’en est pas moins nuisible. Il dépend tellement de l’interprétation des espions que l’on peut difficielment en prévoir les conséquences .
L’ autre forme d’ espionnage la plus répandue est de type technologique . Le pouvoir de sabotage que confère la technologie , en fonction de son niveau d’utilisation , est considérable.
A mon simple niveau, one ne peut que continuer d’être surpris par l’utilisation systématique qui en est faite.
Ainsi.
Ma deuxième connection à partir d’ une clé 3G locale m’avait annoncé un problème sans trop d’ équivoque. Il suffisait de lire une ligne au bas de l’écran et de savoir l’interpréter :
www.keywordspy.com.au/overview/domain.aspx?q= google.co.nz
Lors de la première connection, j’avais paramétré ma page de démarrage sur : google.co.nz .
Le keywordspy avec la mention australienne m’avait naturellement intriguée. J’avais bien lu dans la presse que Monsieur Nick LEEDER , était le futur nouveau directeur de GOOGLE Australie-Nouvelle Zélande, ce qui regrouperait les services généraux google des deux pays.
Malgré tout, la rapidité de cette nouvelle hostilité surprenait.
Quelques jours après cette lecture, la clé 3G avait cessé de fonctionner . Quelque soit l’endroit.
Tout le monde avait une connection. Sauf moi.
Le journal des erreurs de connection parlait de “system failure” au niveau du “true port” et du “false port”.
Au bout d’une petite semaine, le fournisseur d’accès, avait fini par remettre cette clé 3G en fonction.
Puis il y avait eu microsoft qui avait voulu ajouter 39795 nouveaux fichiers à toute vitesse.
Au final , si ces trop rapides problèmes cumulés n’étaient pas dus au hasard, il pouvait y avoir une explication simple : la transmission du numéro de la carte SIM de la clé 3G, qui permettait de contrôler et manipuler les connections internet de cette clé et de l’ordinateur qui la portait.
Avant de décider cet investissement de clé 3G , j’étais allée une première fois dans la boutique de DUNEDIN demander des renseignements . Puis j’étais revenue le lendemain comme je l’avais annoncé.
Mon vendeur conseiller E. avait entré dans le système informatique les coordonnées de mon achat : clé 3G et carte SIM.
A la gauche de E. une vendeuse surveillait la porte attendant le prochain client.
A la droite de E. un vendeur interrogeait son écran. Il avait prestement sorti son portable de sa poche et recopié ce qui s’affichait sur l’écran.
E. avait tourné la tête vers l’écran de son collègue asiatique et reprimé un hocket de surprise.
Sur l’écran du vendeur chinois , ça ne pouvait pas être du porno. En réponse à une de mes questions E. avait précisé quelques minutes plus tôt , que les ordinateurs de la société étaient en réseau.
*****
La Nouvelle Zélande est un paradis pour photographes amateurs. La nature est belle, avec une riche palette de nuances de couleurs. Il suffit d’appuyer sur le bouton de l’appareil et de regarder le résultat pour se prendre pour un pro.
Le nouvel antivirus récemment activé sur mon ordinateur m’avait prévenue : à chaque fois que je transférais des photos de l’appareil photo vers l’ordinateur , un programme malveillant les accompagnait.
Selon l’antivirus, ce programme malveillant pouvait, au moins pire, provoquer des dysfonctionnements du système et, au mieux, permettre la prise en main de l’ordinateur à distance.
L’appareil photo qui générait ce malware était un quasi cadeau de la FNAC-Paris.
Un précédent appareil acheté à la FNAC avait déclaré forfait au bout de 6 mois. L’employé qui l’avait réceptionné pour une réparation m’avait appris qu’il avait du tomber et que la garantie ne couvrait pas ce cas de figure. J’avais protesté . L’appareil n’était jamais tombé . Pourtant , c’est ce qui avait été noté sur le bon de réparation. Le jeune homme FNAC m’avait consolée, ajoutant qu’on me rendrait de toutes façons mon appareil.
Et , surprise... non seulement on ne m’avait pas rendu mon appareil, mais on l’avait remplacé par un appareil neuf, d’une autre marque et deux fois plus performant que l’ancien. Mais avec un malware.
Lorsqu’on se plaint de pareille mésaventure auprès des gens de ces réseaux , employés de sociétés réputées sérieuses , ils évoquent toujours la malchance. Ajoutant systématiquement que c’est la première fois qu’ils voient ça.
La victime est accablée par son destin et par l’image qu’on lui renvoie.
*****
Il y a 6 ans environ, j’avais reçu une lettre officielle du fabricant coréen de la marque de téléphone portable que j’utilisais. Cette lettre m’annonçait que mon appareil allait cesser de fonctionner pour des raisons techniques . La date était proche. Pour pallier ce problème, le fabricant s’engageait à me remplacer l’appareil. Je devais appeler un transporteur qui prendrait l’appareil en charge et rapporterait le suivant. Je l’avais fait .
Mais l’appareil que la société m’avait renvoyé n’était pas neuf. C’était seulement le mien.
Mes conversations téléphonique n’étaient plus privées. J’avais du me rendre à l’évidence. Une administration géolocalisait même cet appareil et s’était trahie une fois.
*****
Quelques années plus tôt encore, une dame âgée m’avait convoquée spécialement pour m’offrir un porte-clé : un oiseau qui faisait “cui cui” quand on lui appuyait sur le ventre. Elle avait précisé que ce bruit était mécanique et l’objet sans piles, insistant pour que je porte toujours l’oiseau avec moi.
A l’anse de mon sac à main , par exemple.
De retour chez moi, j’avais ouvert le ventre de l’animal. Il contenait non seulement une pile qu i expliquait son “cui cui” mais en plus, il montrait un tout petit appareil retenu par un étrier sur la paroi latérale de l’intérieur .
Trois jours plus tard, la dame âgée apparemment catastrophée, avait téléphoné à tous les gens qui me connaissaient et qu’elle connaissait. Elle voulait savoir ce qui m’était arrivé.
Mais rien du tout!
J’avais seulement et immédiatement donné deux coups de marteaux sur le porte-clé-oiseau, qui avait fini à la poubelle ce qui l’avait mené rapidement dans une décharge municipale . D’où il émettait peut-être encore.
Il n’avait pas été écrabouillé avec moi dans un accident de voiture.
*****
Et puis ... il y avait eu un sucre ( mouchard) dans la prise de téléphone de l’appartement du XIV ème .L’employé FT qui l’avait constaté était resté sans voix.
Et un autre (sucre) , dans une autre prise téléphonique , dans un autre appartement en province ...
Et un autre mouchard , sous une lampe cette fois , et connecté à l’électricité ...
Pour poser tout cela, il avait fallu chaque fois se donner accès à des domiciles différents.
Et puis, il y avait eu ce voisin, en province, qui par 22° se promenait dans la cour avec un grand paletot d’hiver qui camouflait mal un appareil énorme, tout comme sa casquette camouflait mal ses écouteurs , et qu’il camouflait mal, par ailleurs, la parabole qu’il promenait face à la maison où je me trouvais.
L’homme était employé de garage dans une institution étatique ( commissariat) .Place Dupetit Thouars. Il en utilisait , sans doute le matériel.
Et, il y avait eu tous les ordinateurs piégés les uns après les autres.
A Paris XV , l’électricité avait été détournée de sa fonction essentielle et utilisée comme mouchard. Une autre histoire .
Il sert à fabriquer les mises en scène qui font passer les sabotages et chantiers divers , pour des accidents de vie ou pour une malchance de destinée .
L’espionnage peut être humain . Avec l’habitude , il est repérable. Il n’en est pas moins nuisible. Il dépend tellement de l’interprétation des espions que l’on peut difficielment en prévoir les conséquences .
L’ autre forme d’ espionnage la plus répandue est de type technologique . Le pouvoir de sabotage que confère la technologie , en fonction de son niveau d’utilisation , est considérable.
A mon simple niveau, one ne peut que continuer d’être surpris par l’utilisation systématique qui en est faite.
Ainsi.
Ma deuxième connection à partir d’ une clé 3G locale m’avait annoncé un problème sans trop d’ équivoque. Il suffisait de lire une ligne au bas de l’écran et de savoir l’interpréter :
www.keywordspy.com.au/overview/domain.aspx?q= google.co.nz
Lors de la première connection, j’avais paramétré ma page de démarrage sur : google.co.nz .
Le keywordspy avec la mention australienne m’avait naturellement intriguée. J’avais bien lu dans la presse que Monsieur Nick LEEDER , était le futur nouveau directeur de GOOGLE Australie-Nouvelle Zélande, ce qui regrouperait les services généraux google des deux pays.
Malgré tout, la rapidité de cette nouvelle hostilité surprenait.
Quelques jours après cette lecture, la clé 3G avait cessé de fonctionner . Quelque soit l’endroit.
Tout le monde avait une connection. Sauf moi.
Le journal des erreurs de connection parlait de “system failure” au niveau du “true port” et du “false port”.
Au bout d’une petite semaine, le fournisseur d’accès, avait fini par remettre cette clé 3G en fonction.
Puis il y avait eu microsoft qui avait voulu ajouter 39795 nouveaux fichiers à toute vitesse.
Au final , si ces trop rapides problèmes cumulés n’étaient pas dus au hasard, il pouvait y avoir une explication simple : la transmission du numéro de la carte SIM de la clé 3G, qui permettait de contrôler et manipuler les connections internet de cette clé et de l’ordinateur qui la portait.
Avant de décider cet investissement de clé 3G , j’étais allée une première fois dans la boutique de DUNEDIN demander des renseignements . Puis j’étais revenue le lendemain comme je l’avais annoncé.
Mon vendeur conseiller E. avait entré dans le système informatique les coordonnées de mon achat : clé 3G et carte SIM.
A la gauche de E. une vendeuse surveillait la porte attendant le prochain client.
A la droite de E. un vendeur interrogeait son écran. Il avait prestement sorti son portable de sa poche et recopié ce qui s’affichait sur l’écran.
E. avait tourné la tête vers l’écran de son collègue asiatique et reprimé un hocket de surprise.
Sur l’écran du vendeur chinois , ça ne pouvait pas être du porno. En réponse à une de mes questions E. avait précisé quelques minutes plus tôt , que les ordinateurs de la société étaient en réseau.
*****
La Nouvelle Zélande est un paradis pour photographes amateurs. La nature est belle, avec une riche palette de nuances de couleurs. Il suffit d’appuyer sur le bouton de l’appareil et de regarder le résultat pour se prendre pour un pro.
Le nouvel antivirus récemment activé sur mon ordinateur m’avait prévenue : à chaque fois que je transférais des photos de l’appareil photo vers l’ordinateur , un programme malveillant les accompagnait.
Selon l’antivirus, ce programme malveillant pouvait, au moins pire, provoquer des dysfonctionnements du système et, au mieux, permettre la prise en main de l’ordinateur à distance.
L’appareil photo qui générait ce malware était un quasi cadeau de la FNAC-Paris.
Un précédent appareil acheté à la FNAC avait déclaré forfait au bout de 6 mois. L’employé qui l’avait réceptionné pour une réparation m’avait appris qu’il avait du tomber et que la garantie ne couvrait pas ce cas de figure. J’avais protesté . L’appareil n’était jamais tombé . Pourtant , c’est ce qui avait été noté sur le bon de réparation. Le jeune homme FNAC m’avait consolée, ajoutant qu’on me rendrait de toutes façons mon appareil.
Et , surprise... non seulement on ne m’avait pas rendu mon appareil, mais on l’avait remplacé par un appareil neuf, d’une autre marque et deux fois plus performant que l’ancien. Mais avec un malware.
Lorsqu’on se plaint de pareille mésaventure auprès des gens de ces réseaux , employés de sociétés réputées sérieuses , ils évoquent toujours la malchance. Ajoutant systématiquement que c’est la première fois qu’ils voient ça.
La victime est accablée par son destin et par l’image qu’on lui renvoie.
*****
Il y a 6 ans environ, j’avais reçu une lettre officielle du fabricant coréen de la marque de téléphone portable que j’utilisais. Cette lettre m’annonçait que mon appareil allait cesser de fonctionner pour des raisons techniques . La date était proche. Pour pallier ce problème, le fabricant s’engageait à me remplacer l’appareil. Je devais appeler un transporteur qui prendrait l’appareil en charge et rapporterait le suivant. Je l’avais fait .
Mais l’appareil que la société m’avait renvoyé n’était pas neuf. C’était seulement le mien.
Mes conversations téléphonique n’étaient plus privées. J’avais du me rendre à l’évidence. Une administration géolocalisait même cet appareil et s’était trahie une fois.
*****
Quelques années plus tôt encore, une dame âgée m’avait convoquée spécialement pour m’offrir un porte-clé : un oiseau qui faisait “cui cui” quand on lui appuyait sur le ventre. Elle avait précisé que ce bruit était mécanique et l’objet sans piles, insistant pour que je porte toujours l’oiseau avec moi.
A l’anse de mon sac à main , par exemple.
De retour chez moi, j’avais ouvert le ventre de l’animal. Il contenait non seulement une pile qu i expliquait son “cui cui” mais en plus, il montrait un tout petit appareil retenu par un étrier sur la paroi latérale de l’intérieur .
Trois jours plus tard, la dame âgée apparemment catastrophée, avait téléphoné à tous les gens qui me connaissaient et qu’elle connaissait. Elle voulait savoir ce qui m’était arrivé.
Mais rien du tout!
J’avais seulement et immédiatement donné deux coups de marteaux sur le porte-clé-oiseau, qui avait fini à la poubelle ce qui l’avait mené rapidement dans une décharge municipale . D’où il émettait peut-être encore.
Il n’avait pas été écrabouillé avec moi dans un accident de voiture.
*****
Et puis ... il y avait eu un sucre ( mouchard) dans la prise de téléphone de l’appartement du XIV ème .L’employé FT qui l’avait constaté était resté sans voix.
Et un autre (sucre) , dans une autre prise téléphonique , dans un autre appartement en province ...
Et un autre mouchard , sous une lampe cette fois , et connecté à l’électricité ...
Pour poser tout cela, il avait fallu chaque fois se donner accès à des domiciles différents.
Et puis, il y avait eu ce voisin, en province, qui par 22° se promenait dans la cour avec un grand paletot d’hiver qui camouflait mal un appareil énorme, tout comme sa casquette camouflait mal ses écouteurs , et qu’il camouflait mal, par ailleurs, la parabole qu’il promenait face à la maison où je me trouvais.
L’homme était employé de garage dans une institution étatique ( commissariat) .Place Dupetit Thouars. Il en utilisait , sans doute le matériel.
Et, il y avait eu tous les ordinateurs piégés les uns après les autres.
A Paris XV , l’électricité avait été détournée de sa fonction essentielle et utilisée comme mouchard. Une autre histoire .
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