Harcèlement en réseau - fabrication de dossier médical
Pharmacie - musée de La Havane
Texte écrit en janvier 2013
La médecine
La fabrication des situations ou dossiers de paranoïa peut être rapide et soudaine , par accumulation de situation inédites et inexplicables et prenant au dépourvu un cible forte de son bon droit , dont celui à réagir.
Il peut être aussi fait d'accumulations de témoignages fabriqués par des moyens plus inattendus, incidents mal renseignés, malveillance ponctuelle ou commanditée, ou interprétation erronée de situations hors du commun ou inconnue.
Elle, la médecine faisait partie du réseau « sentinelles », et travaillait plusieurs demi-journées par semaine à l'hôpital en sus de ses consultations privées. Elle avait l'austérité polie des meilleures professionnelles de la santé . Après avoir accepté la prise en charge des soins palliatifs à mon domicile , elle n'avait pas failli.
A elle seule, cette femme incarnait pour moi l'entité médecine. D'où son surnom.
Quand la fantasque association FXB , et ses priorités de tiroir caisse avait décidé un beau matin d'abandonner la mourante à mon domicile, la médecine avait continué d'assurer. Pour ne se fâcher avec personne de son milieu , elle l'avait fait sans grand égard pour moi. Je n'étais pas sa cliente .
Sa lettre à l'HAD pour le continuation des soins, parlait d'incompatibilité de caractères, mais surtout du mien . FXB vs la famille. J'avais eu du mal à accepter ce sacrifice de dignité, mais ma priorité était ma mère à protéger.
Et FXB, capable de maltraitance à mourante pour camoufler une comédie de départ à raison comptable, avait quitté les lieux à toute vitesse dans la joie et la bonne humeur. !
Quand le temps obligé d' un médecin référent était arrivé, j'avais sollicité la médecine qui avait accepté.
Là encore, elle avait assuré avec le même sérieux austère . A un ou deux mini ratés près . Telle cette demande de duplicata d'ordonnance qu'elle avait laissé sans réponse .
A Dol de Bretagne où j'habitais alors, les voisins Lesénéchal-Leblay avaient les mêmes habitudes que la concierge et la petite algérienne de Paris XIV, Ils volaient les traitements médicaux en cours.
Les mêmes crapuleries se répètent en tous endroits.
Le cabinet médical était loin du métro . J'y arrivais souvent en retard, et avec une tension élevée . Le contexte dans lequel je pataugeais en était l'explication la plus logique.
Mais ce manque de ponctualité, avait semblé rendre la médecine maussade.
Un dispensaire découvert près de ma nouvelle adresse parisienne pouvait nous épargner des désagréments mutuels et cumulés. Je l'avais prévenue . Demandant mon dossier j'avais aussi eu droit ce jour-là à sa première question personnelle , mais qui la concernait « vous croyez que c'est contre vous ? » .
« Non, je ne le pense pas » avait été ma réponse sincère.
Pourtant ce qu'elle avait noté dans mon dossier était " pense que je lui en veux" . Parano , en quelque sorte !
En lisant ce dossier avec attention, on trouvait des informations de brûlures de la peau et du visage, des problèmes d'yeux et de transit , et de perte soudaine de mémoire des mots.
A cette époque, à Dol de Bretagne , Le Senéchal avait installé au dessus de ma chambre , dans les combles auxquels je n'avais pas accès, un appareil propulseur d'ondes et de bruits divers. Maux de tête et casse-tête assurés qui m'avaient fait migrer au rez de chaussée pour dormir. Ces faits, dont les sons pulsés dans le crâne, avaient été racontés à un journaliste français apparemment complètement incrédule. C'était en 2007.
Face à des symptômes divers et bizarres incompréhensibles, à défaut de connaître alors les dégâts infligés par les ondes pulsées, j'avais souvent évoqué un éventuel empoisonnement de ma nourriture par les crapules qui violaient mon domicile . La médecine avait suivi avec une analyse de sang . Rien n'avait été décelé.
Mais le mot « paranoïa » trônait depuis tout ce ce temps-là dans ce dossier.
Fabriquée par une professionnelle de la santé , il était donc censé me suivre
Et pour avoir au final tordu le cou à la réalité et à la vérité avec le « pense que je lui en veux » se posait désormais la question du bon sens, du manque de dicernement, de l'ignorance ou de la loyauté de cette médecine-là.
Compte tenu du contexte de fabrication de tous problèmes destinés à présenter et orienter un cas de " dérangée" claironné aussi par des policiers, et des juges complaisants , le cas de la médecine m'avait intriguée. J'avais réagi.
Etait-elle décontenancée, sous pression ou sur commande consentie ?
Texte écrit en janvier 2013
La médecine
La fabrication des situations ou dossiers de paranoïa peut être rapide et soudaine , par accumulation de situation inédites et inexplicables et prenant au dépourvu un cible forte de son bon droit , dont celui à réagir.
Il peut être aussi fait d'accumulations de témoignages fabriqués par des moyens plus inattendus, incidents mal renseignés, malveillance ponctuelle ou commanditée, ou interprétation erronée de situations hors du commun ou inconnue.
Elle, la médecine faisait partie du réseau « sentinelles », et travaillait plusieurs demi-journées par semaine à l'hôpital en sus de ses consultations privées. Elle avait l'austérité polie des meilleures professionnelles de la santé . Après avoir accepté la prise en charge des soins palliatifs à mon domicile , elle n'avait pas failli.
A elle seule, cette femme incarnait pour moi l'entité médecine. D'où son surnom.
Quand la fantasque association FXB , et ses priorités de tiroir caisse avait décidé un beau matin d'abandonner la mourante à mon domicile, la médecine avait continué d'assurer. Pour ne se fâcher avec personne de son milieu , elle l'avait fait sans grand égard pour moi. Je n'étais pas sa cliente .
Sa lettre à l'HAD pour le continuation des soins, parlait d'incompatibilité de caractères, mais surtout du mien . FXB vs la famille. J'avais eu du mal à accepter ce sacrifice de dignité, mais ma priorité était ma mère à protéger.
Et FXB, capable de maltraitance à mourante pour camoufler une comédie de départ à raison comptable, avait quitté les lieux à toute vitesse dans la joie et la bonne humeur. !
Quand le temps obligé d' un médecin référent était arrivé, j'avais sollicité la médecine qui avait accepté.
Là encore, elle avait assuré avec le même sérieux austère . A un ou deux mini ratés près . Telle cette demande de duplicata d'ordonnance qu'elle avait laissé sans réponse .
A Dol de Bretagne où j'habitais alors, les voisins Lesénéchal-Leblay avaient les mêmes habitudes que la concierge et la petite algérienne de Paris XIV, Ils volaient les traitements médicaux en cours.
Les mêmes crapuleries se répètent en tous endroits.
Le cabinet médical était loin du métro . J'y arrivais souvent en retard, et avec une tension élevée . Le contexte dans lequel je pataugeais en était l'explication la plus logique.
Mais ce manque de ponctualité, avait semblé rendre la médecine maussade.
Un dispensaire découvert près de ma nouvelle adresse parisienne pouvait nous épargner des désagréments mutuels et cumulés. Je l'avais prévenue . Demandant mon dossier j'avais aussi eu droit ce jour-là à sa première question personnelle , mais qui la concernait « vous croyez que c'est contre vous ? » .
« Non, je ne le pense pas » avait été ma réponse sincère.
Pourtant ce qu'elle avait noté dans mon dossier était " pense que je lui en veux" . Parano , en quelque sorte !
En lisant ce dossier avec attention, on trouvait des informations de brûlures de la peau et du visage, des problèmes d'yeux et de transit , et de perte soudaine de mémoire des mots.
A cette époque, à Dol de Bretagne , Le Senéchal avait installé au dessus de ma chambre , dans les combles auxquels je n'avais pas accès, un appareil propulseur d'ondes et de bruits divers. Maux de tête et casse-tête assurés qui m'avaient fait migrer au rez de chaussée pour dormir. Ces faits, dont les sons pulsés dans le crâne, avaient été racontés à un journaliste français apparemment complètement incrédule. C'était en 2007.
Face à des symptômes divers et bizarres incompréhensibles, à défaut de connaître alors les dégâts infligés par les ondes pulsées, j'avais souvent évoqué un éventuel empoisonnement de ma nourriture par les crapules qui violaient mon domicile . La médecine avait suivi avec une analyse de sang . Rien n'avait été décelé.
Mais le mot « paranoïa » trônait depuis tout ce ce temps-là dans ce dossier.
Fabriquée par une professionnelle de la santé , il était donc censé me suivre
Et pour avoir au final tordu le cou à la réalité et à la vérité avec le « pense que je lui en veux » se posait désormais la question du bon sens, du manque de dicernement, de l'ignorance ou de la loyauté de cette médecine-là.
Compte tenu du contexte de fabrication de tous problèmes destinés à présenter et orienter un cas de " dérangée" claironné aussi par des policiers, et des juges complaisants , le cas de la médecine m'avait intriguée. J'avais réagi.
Etait-elle décontenancée, sous pression ou sur commande consentie ?
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