Harcèlement en réseau à l'international- Rotorua
Le gérant du B & B - le Tresco- était venu me chercher à l’arrêt du bus . Sa maison blanche avec bain romain d’eau soufrée était située un peu à l’écart des rues touristiques, tout près d’un centre commercial avec échoppes de nourriture.
L’accueil avait été chaleureux et familial. La gérante avait préparé une part de pizza pour la voyageuse à heures décalées et meilleure cliente que j’étais. J’avais choisi de rester une semaine. C’était rare.
Dans la soirée, deux autrichiens non prévus avaient débarqué. La maison était pleine. Les gérants ravis.
Le lendemain matin au petit déjeuner nous étions cinq français à échanger adresses et impressions.
Les autrichiens avaient quitté la table en premier. L’un des deux m’avait regardé avec un sourire bizarre, comme si j’avais oublié une rondelle de concombre d’un masque de beauté sur la joue.
Au retour dans ma chambre, j’avais dû faire déplacer les deux autrichiens. Ils étaient devant ma porte. Rigolards.
Dans la chambre, mon sac avait été fouillé. Le contenu était sens dessus dessous. Les clefs USB avaient été sorties de leur pochette. Mon portefeuille avait été un peu délesté.
Je leur avais offert, malgré moi, leur séjour.
Dans cet endroit familial et accueillant j’avais baissé la garde et laissé mon sac dans la chambre elle-même non fermée à clef.
Par habitude, je ne pouvais qu’en déduire que ces deux là avaient été contacté par le réseau pour accomplir les méfaits laissés à leur initiative .
Ceci est une autre constante des réseaux crapuleux que je connais .
Les crapuleries sont organisées dès le premier jour ou sinon à la première occasion ; ce qui explique la nécessité de surveiller constamment la victime pour pouvoir anticiper les projets de la victime , organiser les réactions des crapules volontaires qui devront s’adapter au contexte , tout cela pour donner à la victime un sentiment d’insécurité totale qui devrait bien un jour ou l’autre la pousser au suicide .
ROTORUA est située dans l’île du nord , la régions des volcans, d’un lac d’arsenic surprenant , de geysers, et de tout un tas de fumerolles diverses .
Selon le sens du vent, on y respire des odeurs de souffre et donc d’œufs pourris, avec la vague impression que ça doit bien être bon pour quelque chose.
ROTORUA semble par ailleurs concentrée sur le souvenir de la culture maorie . L’office du tourisme local y propose une soirée dans un village maori reconstitué, avec présentation des activités traditionnelles, diner et spectacle de danse. Le tout d’une sobriété agréable.
Le jeune homme derrière le comptoir qui m’avait vendu mon billet pour cette soirée avait signé GLU.
Malgré mes deux tentatives pour que mon nom de famille soit correctement écrit, il avait passé outre . Les deux premières lettres de mon nom sont XX , Il avait tenu absolument à écrire XY. Son insistance m’avait seulement surprise, tout comme son refus de me vendre un billet pour une journée dans une ferme.
Il avait décidé que c’était trop loin et que ça ne valait pas la peine.
Et, j’avais décidé de ne plus le contrarier.
Dans le bus qui nous emmenait au village pour la soirée , le chauffeur maori avait fait l’appel. Il avait prononcé mon nom à l’anglaise . Tout allait bien.
Au retour , j’étais assise au premier rang. Cette fois le chauffeur avait prononcé mon nom à la française , soit selon l’écriture erronée : CU et en répétant deux fois la syllabe = CUCU
Ce CUCU là avait fait exploser de rire un petit groupe de canadiens derrière moi. J’avais été seulement surprise de l’intensité de leur hilarité et de sa durée un peu artificielle .
En quittant le bus, un des canadiens avait laissé un pourboire au chauffeur en le remerciant chaleureusement. Il avait été le seul à donner un pourboire. Il payait pour la partie de fun qu’il avait fait jouer par le chauffeur maori.
Je ne connaissais pas GLU. Je ne connaissais pas le chauffeur maori. Je ne connaissais pas les canadiens qui avaient organisé une partie de rigolade bon marché à mes dépens. ……
Mais je commençais à bien connaître les ficelles du harcèlement transnational en bandes organisées . Les adeptes de ces réseaux jouent à l’unisson, et sur les mêmes registres qu’un homme violent qui bat une femme.
Un sujet qui a été étudié abondamment et depuis un certain temps maintenant .
Pour comprendre les incongruités apparentes du harcèlement transnational , il faut admettre, en plus de cette propension à la malfaisance et sans raison personnelle d’inconnus, l’importance de la part qui repose sur la technologie moderne . A défaut, la victime passe pour une dérangée.
Cette technologie permet la circulation d’information et de photos par téléphone portable ou internet . Elle relie entre eux des inconnus prêts à des actions scélérates dont ils ne seront jamais accusés.
Ainsi un adepte de ces réseaux crapuleux contacté, fera une bêtise dans un aéroport, un autre plus tard dans un bus , un autre dans une chambre d’hôtel , un autre tout aussi anonyme dans la rue . Celui qui voyage dans le même avion que la victime prendra éventuellement en charge l’objet volé à la victime . L’objet sera récupéré par un suivant volontaire puis remis dans les bagages de la victime par un troisième, dans un lieu éloigné et encore différent . Dans ce dernier cas , il s’agira forcément d’ employé de l’hôtel ou même du propriétaire des lieux. De toutes façons de quelqu’un qui a un passe ou un double des clés de la pièce qu’occupe la victime de façon temporaire ..
Tous ces malfaisants se mettront en chasse ou en action sur commande. Sûrs de leur impunité.
Une proie leur est offerte. Elle deviendra leur victime le temps d’une séance de harcèlement, d’ un vol, d’ une violation de vie privée , d’une ou plusieurs dégradations de biens, d’une séance de moquerie publique….
Ces malfaisants d’un jour ou d’une fois, se paieront de larcins aux dépens de la victime ou jouiront de se raconter l’histoire et leur participation. Ils en profiteront éventuellement pour affiner leur technique ou leurs méthodes, pour une prochaine fois.
La première fois et son frisson d’impunité ne peuvent que les rendre « accros » .
Au cours de ces dix dernières années , j’avais eu plusieurs occasions de réaliser l’anonymat des participants volontaires de cette organisation.
Par exemple à Saint Malo où deux touristes mâles étaient soudain tombés en arrêt devant moi , avec la réflexion presque criée que l’un d’eux n’avait , semble-t-il , pas pu retenir
« Tiens , en voilà une «
Cette réflexion qui me désignait du doigt, en plus, avait mis mal à l’aise la dame qui m’accompagnait. Très vite, elle avait cessé de me fréquenter.
C’est là une autre conséquence des actions de cette organisation sadique et instrumentalisée.
Car, naturellement derrière ou au-dessus des différentes catégories de volontaires à exactions diverses , il y a les commanditaires –organisateurs qui manipulent.
Ici, dans cette histoire particulière, Ils avancent cachés .
Certains se font même passer pour GOOGLE . ( j'ai désigné longtemps par Les googles, les cyber-délinquants ou hackers sur ma trace. NON STOP.
De curieux googles qui passent un temps considérable à organiser des battues de femmes.
L’accueil avait été chaleureux et familial. La gérante avait préparé une part de pizza pour la voyageuse à heures décalées et meilleure cliente que j’étais. J’avais choisi de rester une semaine. C’était rare.
Dans la soirée, deux autrichiens non prévus avaient débarqué. La maison était pleine. Les gérants ravis.
Le lendemain matin au petit déjeuner nous étions cinq français à échanger adresses et impressions.
Les autrichiens avaient quitté la table en premier. L’un des deux m’avait regardé avec un sourire bizarre, comme si j’avais oublié une rondelle de concombre d’un masque de beauté sur la joue.
Au retour dans ma chambre, j’avais dû faire déplacer les deux autrichiens. Ils étaient devant ma porte. Rigolards.
Dans la chambre, mon sac avait été fouillé. Le contenu était sens dessus dessous. Les clefs USB avaient été sorties de leur pochette. Mon portefeuille avait été un peu délesté.
Je leur avais offert, malgré moi, leur séjour.
Dans cet endroit familial et accueillant j’avais baissé la garde et laissé mon sac dans la chambre elle-même non fermée à clef.
Par habitude, je ne pouvais qu’en déduire que ces deux là avaient été contacté par le réseau pour accomplir les méfaits laissés à leur initiative .
Ceci est une autre constante des réseaux crapuleux que je connais .
Les crapuleries sont organisées dès le premier jour ou sinon à la première occasion ; ce qui explique la nécessité de surveiller constamment la victime pour pouvoir anticiper les projets de la victime , organiser les réactions des crapules volontaires qui devront s’adapter au contexte , tout cela pour donner à la victime un sentiment d’insécurité totale qui devrait bien un jour ou l’autre la pousser au suicide .
ROTORUA est située dans l’île du nord , la régions des volcans, d’un lac d’arsenic surprenant , de geysers, et de tout un tas de fumerolles diverses .
Selon le sens du vent, on y respire des odeurs de souffre et donc d’œufs pourris, avec la vague impression que ça doit bien être bon pour quelque chose.
ROTORUA semble par ailleurs concentrée sur le souvenir de la culture maorie . L’office du tourisme local y propose une soirée dans un village maori reconstitué, avec présentation des activités traditionnelles, diner et spectacle de danse. Le tout d’une sobriété agréable.
Le jeune homme derrière le comptoir qui m’avait vendu mon billet pour cette soirée avait signé GLU.
Malgré mes deux tentatives pour que mon nom de famille soit correctement écrit, il avait passé outre . Les deux premières lettres de mon nom sont XX , Il avait tenu absolument à écrire XY. Son insistance m’avait seulement surprise, tout comme son refus de me vendre un billet pour une journée dans une ferme.
Il avait décidé que c’était trop loin et que ça ne valait pas la peine.
Et, j’avais décidé de ne plus le contrarier.
Dans le bus qui nous emmenait au village pour la soirée , le chauffeur maori avait fait l’appel. Il avait prononcé mon nom à l’anglaise . Tout allait bien.
Au retour , j’étais assise au premier rang. Cette fois le chauffeur avait prononcé mon nom à la française , soit selon l’écriture erronée : CU et en répétant deux fois la syllabe = CUCU
Ce CUCU là avait fait exploser de rire un petit groupe de canadiens derrière moi. J’avais été seulement surprise de l’intensité de leur hilarité et de sa durée un peu artificielle .
En quittant le bus, un des canadiens avait laissé un pourboire au chauffeur en le remerciant chaleureusement. Il avait été le seul à donner un pourboire. Il payait pour la partie de fun qu’il avait fait jouer par le chauffeur maori.
Je ne connaissais pas GLU. Je ne connaissais pas le chauffeur maori. Je ne connaissais pas les canadiens qui avaient organisé une partie de rigolade bon marché à mes dépens. ……
Mais je commençais à bien connaître les ficelles du harcèlement transnational en bandes organisées . Les adeptes de ces réseaux jouent à l’unisson, et sur les mêmes registres qu’un homme violent qui bat une femme.
Un sujet qui a été étudié abondamment et depuis un certain temps maintenant .
Pour comprendre les incongruités apparentes du harcèlement transnational , il faut admettre, en plus de cette propension à la malfaisance et sans raison personnelle d’inconnus, l’importance de la part qui repose sur la technologie moderne . A défaut, la victime passe pour une dérangée.
Cette technologie permet la circulation d’information et de photos par téléphone portable ou internet . Elle relie entre eux des inconnus prêts à des actions scélérates dont ils ne seront jamais accusés.
Ainsi un adepte de ces réseaux crapuleux contacté, fera une bêtise dans un aéroport, un autre plus tard dans un bus , un autre dans une chambre d’hôtel , un autre tout aussi anonyme dans la rue . Celui qui voyage dans le même avion que la victime prendra éventuellement en charge l’objet volé à la victime . L’objet sera récupéré par un suivant volontaire puis remis dans les bagages de la victime par un troisième, dans un lieu éloigné et encore différent . Dans ce dernier cas , il s’agira forcément d’ employé de l’hôtel ou même du propriétaire des lieux. De toutes façons de quelqu’un qui a un passe ou un double des clés de la pièce qu’occupe la victime de façon temporaire ..
Tous ces malfaisants se mettront en chasse ou en action sur commande. Sûrs de leur impunité.
Une proie leur est offerte. Elle deviendra leur victime le temps d’une séance de harcèlement, d’ un vol, d’ une violation de vie privée , d’une ou plusieurs dégradations de biens, d’une séance de moquerie publique….
Ces malfaisants d’un jour ou d’une fois, se paieront de larcins aux dépens de la victime ou jouiront de se raconter l’histoire et leur participation. Ils en profiteront éventuellement pour affiner leur technique ou leurs méthodes, pour une prochaine fois.
La première fois et son frisson d’impunité ne peuvent que les rendre « accros » .
Au cours de ces dix dernières années , j’avais eu plusieurs occasions de réaliser l’anonymat des participants volontaires de cette organisation.
Par exemple à Saint Malo où deux touristes mâles étaient soudain tombés en arrêt devant moi , avec la réflexion presque criée que l’un d’eux n’avait , semble-t-il , pas pu retenir
« Tiens , en voilà une «
Cette réflexion qui me désignait du doigt, en plus, avait mis mal à l’aise la dame qui m’accompagnait. Très vite, elle avait cessé de me fréquenter.
C’est là une autre conséquence des actions de cette organisation sadique et instrumentalisée.
Car, naturellement derrière ou au-dessus des différentes catégories de volontaires à exactions diverses , il y a les commanditaires –organisateurs qui manipulent.
Ici, dans cette histoire particulière, Ils avancent cachés .
Certains se font même passer pour GOOGLE . ( j'ai désigné longtemps par Les googles, les cyber-délinquants ou hackers sur ma trace. NON STOP.
De curieux googles qui passent un temps considérable à organiser des battues de femmes.
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