Harcèlement en réseau - l'armée
Bien évidemment ce n’est pas de l’institution dont il s’agit.
Il est question ici simplement de ce que certains de ses salariés y font et en font, en utilisant pour leur convenance les moyens mis à leur disposition ou la force de coercition de leur employeur .
Cette impression d’une utilisation sans vergogne du matériel de l’armée à des fins personnelles avait pris forme brutalement. En plein mois d’aout .
Une jeep militaire avait fait hurler sa boite de vitesse en tentant une marche arrière ultra rapide.
Elle était dans la cour privative , devant notre maison. Le conducteur du véhicule venait de m’apercevoir.
Je me trouvais devant la maison à charger des branchages dans le coffre de ma voiture pour la déchèterie.
J’étais seule . Toutes les maisons alentour étaient fermées et vides d’occupants.
*
Il y avait déjà eu plusieurs actes de vandalisme truqués dans cette maison alors inoccupée. Ils étaient tous faits de l’intérieur, donc par quelqu'un qui avait un double de nos clés.
Par exemple, les vitres du salon avaient été cassées, alors que les volets étaient correctement fermés.
Les débris de verre étaient partiellement éparpillés sur le rebord extérieur de la fenêtre. Soit, entre la fenêtre et le volet. Donc faits de l'intérieur.
Il avait fallu, comme d’habitude , toute la malveillance habituelle de ces réseaux pour ce genre de saccage -mise en scène.
*
La surprise ne m’avait permis de relever qu’ une partie du numéro de la jeep militaire. Ma lettre au général commandant l’ETAS et demandant des explications pour cette violation de propriété privée par du matériel militaire restera sans réponse .
Même pas des excuses.
***
Lors d’un inventaire de succession de cette maison , un civil employé de l’armée s’était imposé.
Il était par ailleurs, copain de travail de mon frère à 'armée et conseiller municipale d’une bourgade voisine , Grez Neuville. Une sorte d’huile locale , peut-être même au courant des lois.
Il n’était rien dans cette succession et donc , légalement, il n’avait ni le droit d’y participer ni celui seulement d’y assister.
Avec une frénésie de jouisseur, il avait fouillé ma chambre et mes affaires . L’une et les autres étaient hors succession .
Il y avait sur place une greffière du TGI et deux notaires de la ville .
Aucun de ces trois représentants de l’Etat de droit qu’est la France n’avait été capable de manifester son autorité ou sa compétence pour rappeler la loi à G.BOUGET et le faire partir.
*
Quelque temps plus tard, et toujours dans ce même département des bords de Loire, j’avais été appelée sur mon portable par la gendarmerie de la bourgade du conseiller municipal- employé de l‘armée, ci-dessus nommé.
Géolocalisation peut-être ratée par son manque de discrétion., ou intimidation concertée réussie.
Peut-être les deux .
La procureure du chef lieu du département ne répondra pas à ma demande d’explication.
Ceux qui font les enquêtes ( gendarmes et policiers) sont les copains de ceux qui violent la loi pour convenance personnelle.
***
Ce matin là j’avais quitté mon appartement de province ( Angers) très tôt pour retourner sur Paris.
J’avais été arrêtée dans mon élan par une voiture de gendarmerie gyrophare en action et toute sirène hurlante lors de la traversée de La Flèche. A 6h du matin, de quoi réveiller les braves gens de cette ville , connue pour son école militaire célèbre.
Le gendarme avait voulu savoir où j’allais si tôt le matin et surtout il m’avait demandé pourquoi mon nom de famille lui était si familier . Etrange question s’il en est, mais destinée à inquiéter .
Au final j’apprendrai que le contrôle dont j’avais été l’objet relevait d’un « comportement suspect ».
Donc , rouler en phares-code à cinquante km/h dans une agglomération est un comportement suspect … pour une victime
La plupart des autres anecdotes , et elles sont vraiment très nombreuses, qui concernent des salaries de l’armée sont « border line » et nécessitent des explications détaillées de circonstances.
Pourtant et en en vrac, on peut en retenir deux plus évidentes dont celle
- de l’ancien militaire président du conseil syndical. qui avait fait violer mon appartement par un de ses anciens collègues , pour faire fouiller mon ordinateur. Il avait eu la ... simplicité , de se trahir en annonçant le contenu du dit ordinateur ... à la police.
C’était le même qui était venu sonner à ma porte lorsque j’avais décidé de faire connaître les violations de mon domicile et toutes les dégradations , au voisinage . Il m’avait alors déclaré d’un ton supérieur et satisfait , qu’il s’agissait d’une « punition »
L’armée qui se prend pour DIEU sur terre ?
- de l’aspiration de toutes les informations de mes divers ordinateurs dont celle effectuée avec une capacité de plus de 8000 kb/s et sans fil, alors que mon abonnement de connexion était filiaire et seulement de 512 kb/s . C'était il y a longtemps , maintenant.
***
L’anecdote la plus récente a quelques mois.
A Paris.
J’avais positionné mon véhicule , dans une file bien ordonnée de voitures en stationnement , près de l’Ecole Militaire . Laissant toutes mes affaires à l’intérieur, j’avais seulement traversé la rue pour poster une lettre.
En me retournant j’avais noté un véhicule qui venait de se mettre en double file près du mien . Les deux occupants de cette voiture étaient penchés à regarder les objets laissés sur le siège de la mienne.
Revenue sur mes pas à toute vitesse . Comme s’il me connaissait , le conducteur s’était affolé sur son klaxon.
Derrière , une voiture suiveuse avec une flamme de l’armée avait fait une marche arrière fulgurante .Pour se cacher.
La première voiture était une voiture de la police.
*****
Il est question ici simplement de ce que certains de ses salariés y font et en font, en utilisant pour leur convenance les moyens mis à leur disposition ou la force de coercition de leur employeur .
Cette impression d’une utilisation sans vergogne du matériel de l’armée à des fins personnelles avait pris forme brutalement. En plein mois d’aout .
Une jeep militaire avait fait hurler sa boite de vitesse en tentant une marche arrière ultra rapide.
Elle était dans la cour privative , devant notre maison. Le conducteur du véhicule venait de m’apercevoir.
Je me trouvais devant la maison à charger des branchages dans le coffre de ma voiture pour la déchèterie.
J’étais seule . Toutes les maisons alentour étaient fermées et vides d’occupants.
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Il y avait déjà eu plusieurs actes de vandalisme truqués dans cette maison alors inoccupée. Ils étaient tous faits de l’intérieur, donc par quelqu'un qui avait un double de nos clés.
Par exemple, les vitres du salon avaient été cassées, alors que les volets étaient correctement fermés.
Les débris de verre étaient partiellement éparpillés sur le rebord extérieur de la fenêtre. Soit, entre la fenêtre et le volet. Donc faits de l'intérieur.
Il avait fallu, comme d’habitude , toute la malveillance habituelle de ces réseaux pour ce genre de saccage -mise en scène.
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La surprise ne m’avait permis de relever qu’ une partie du numéro de la jeep militaire. Ma lettre au général commandant l’ETAS et demandant des explications pour cette violation de propriété privée par du matériel militaire restera sans réponse .
Même pas des excuses.
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Lors d’un inventaire de succession de cette maison , un civil employé de l’armée s’était imposé.
Il était par ailleurs, copain de travail de mon frère à 'armée et conseiller municipale d’une bourgade voisine , Grez Neuville. Une sorte d’huile locale , peut-être même au courant des lois.
Il n’était rien dans cette succession et donc , légalement, il n’avait ni le droit d’y participer ni celui seulement d’y assister.
Avec une frénésie de jouisseur, il avait fouillé ma chambre et mes affaires . L’une et les autres étaient hors succession .
Il y avait sur place une greffière du TGI et deux notaires de la ville .
Aucun de ces trois représentants de l’Etat de droit qu’est la France n’avait été capable de manifester son autorité ou sa compétence pour rappeler la loi à G.BOUGET et le faire partir.
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Quelque temps plus tard, et toujours dans ce même département des bords de Loire, j’avais été appelée sur mon portable par la gendarmerie de la bourgade du conseiller municipal- employé de l‘armée, ci-dessus nommé.
Géolocalisation peut-être ratée par son manque de discrétion., ou intimidation concertée réussie.
Peut-être les deux .
La procureure du chef lieu du département ne répondra pas à ma demande d’explication.
Ceux qui font les enquêtes ( gendarmes et policiers) sont les copains de ceux qui violent la loi pour convenance personnelle.
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Ce matin là j’avais quitté mon appartement de province ( Angers) très tôt pour retourner sur Paris.
J’avais été arrêtée dans mon élan par une voiture de gendarmerie gyrophare en action et toute sirène hurlante lors de la traversée de La Flèche. A 6h du matin, de quoi réveiller les braves gens de cette ville , connue pour son école militaire célèbre.
Le gendarme avait voulu savoir où j’allais si tôt le matin et surtout il m’avait demandé pourquoi mon nom de famille lui était si familier . Etrange question s’il en est, mais destinée à inquiéter .
Au final j’apprendrai que le contrôle dont j’avais été l’objet relevait d’un « comportement suspect ».
Donc , rouler en phares-code à cinquante km/h dans une agglomération est un comportement suspect … pour une victime
La plupart des autres anecdotes , et elles sont vraiment très nombreuses, qui concernent des salaries de l’armée sont « border line » et nécessitent des explications détaillées de circonstances.
Pourtant et en en vrac, on peut en retenir deux plus évidentes dont celle
- de l’ancien militaire président du conseil syndical. qui avait fait violer mon appartement par un de ses anciens collègues , pour faire fouiller mon ordinateur. Il avait eu la ... simplicité , de se trahir en annonçant le contenu du dit ordinateur ... à la police.
C’était le même qui était venu sonner à ma porte lorsque j’avais décidé de faire connaître les violations de mon domicile et toutes les dégradations , au voisinage . Il m’avait alors déclaré d’un ton supérieur et satisfait , qu’il s’agissait d’une « punition »
L’armée qui se prend pour DIEU sur terre ?
- de l’aspiration de toutes les informations de mes divers ordinateurs dont celle effectuée avec une capacité de plus de 8000 kb/s et sans fil, alors que mon abonnement de connexion était filiaire et seulement de 512 kb/s . C'était il y a longtemps , maintenant.
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L’anecdote la plus récente a quelques mois.
A Paris.
J’avais positionné mon véhicule , dans une file bien ordonnée de voitures en stationnement , près de l’Ecole Militaire . Laissant toutes mes affaires à l’intérieur, j’avais seulement traversé la rue pour poster une lettre.
En me retournant j’avais noté un véhicule qui venait de se mettre en double file près du mien . Les deux occupants de cette voiture étaient penchés à regarder les objets laissés sur le siège de la mienne.
Revenue sur mes pas à toute vitesse . Comme s’il me connaissait , le conducteur s’était affolé sur son klaxon.
Derrière , une voiture suiveuse avec une flamme de l’armée avait fait une marche arrière fulgurante .Pour se cacher.
La première voiture était une voiture de la police.
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