Harcèlement en réseau- manigances - les séries

 Texte écrit en septembre 2011



Cet article ,  les séries,    montre  en action les voyous de base à travers  un  stratagème habituel de violation/vol auquel s’ajoute une malignité complémentaire par les vols multiples d’un même élément . Il s’agit de petites choses du quotidien dont le manque ou le défaut perturbent et entrainent de nouveaux achats et de nouvelles dépenses.

Ici  encore , je n’en décrirai que trois qui permettent de voir ou imaginer les desseins comploteurs des exécutants, leurs préoccupations vicieuses  et les complicités nécessaires à la  réalisation de leurs exploits.
 De nouveau et toujours, il faut garder en mémoire que ces exploits ne sont possibles qu’ à travers  une délinquance organisée et habituelle et l’appropriation de clés ainsi que de celle  de l’espace privé et privatif du citoyen lésé, qui est plus généralement une citoyenne.
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A Angers , nous étions parties faire de courses en voiture. Ma mère avait noté qu’elle ne comprenait pas  pourquoi elle manquait encore de film étirable dont sa consommation semblait l’inquiéter.
Nous en avions donc acheté un nouveau rouleau.
Au moment de le ranger à l’endroit habituel, il y avait cinq rouleaux de film étirable là où une heure plus tôt , il n’y avait rien.
A  l’époque nous étions juste restées perplexes. Sans explication acceptable.

Avec le recul et l’habitude , je sais maintenant que nous avions été suivies dans le magasin ,  que le contenu de notre chariot avait été observé,  l’information  transmise,  et que quelqu’un qui avait les clés de la maison à notre insu était entré pour déposer la série de rouleaux de film étirable préalablement volés les uns après les autres. B. Gasnier.
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A Angers toujours et bien des années plus tard, dans l’appartement cette fois, j’avais voulu recouvrir  l’intérieur d’une armoire de tissu . Des amis m’avaient prêté une agrafeuse pour un résultat rapide et net . Mon travail seulement à moitié terminé , j’étais sortie déjeuner laissant l’agrafeuse à l’intérieur de l’armoire, dans l’appartement fermé à clé.
 A mon retour l’agrafeuse avait disparu : volée.
J’avais donc du en acheter une neuve pour la  rendre   à ces amis.
Normalement je n’en avais plus aucune
Pourtant , deux ans plus tard quand j’ouvrirai mes cartons de déménagements à Dol de Bretagne, je trouverai deux agrafeuses, et qui ne m’appartenaient pas.

Le réseau crapuleux avait mal suivi cette série de vol là.
Je ne savais bien sûr pas si les agrafeuses avaient été mises dans mes cartons de déménagement dans l’enceinte du  garde-meuble d’Angers  ou fourrées dans les cartons  restés entassés pendant quelques semaines, avant ouverture , dans l’appartement de DOL de Bretagne.
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C’est à DOL de BRETAGNE également que je récupérerai de cartons de déménagement où je ne les avais jamais mis,  et pour cause,   6 fers à repasser de voyage, tous volés les uns après les autres dans l’appartement de Paris XIV,  dans les valises successives  qui les avaient transportés  au moins une fois . Avant d’avoir été volés.
La seule personne censée avoir mes clés à l’époque était la concierge.
Ces fers à repasser pouvaient avoir été mis en carton , pendant une de mes absences ,   à Paris XIV , où j’avais accumulé les cartons  préparés sur un étalement de 10 jours, mais aussi là sur place pendant une de mes absences

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A Paris et Angers, les délinquants adultes étaient  largement quadragénaires  . A Dol de Bretagne les vicieux de service étaient  trentenaires et quadragénaires  .

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