Le harcèlement en réseau- des réseaux
Cette histoire nauséabonde et peut-être typiquement française dure depuis plusieurs décennies.
Elle n’est pas politiquement correcte, parce que fabriquée et perpétrée pour qu‘elle ne le soit pas , espérant ainsi m‘empêcher de la raconter.
En effet, dire les méfaits de salariés de l’armée , de concierges, de mécréants blancs, de vicieux de couleur , de policiers pervers, de juristes qui se moquent de la loi, ou de ressortissants d’ethnies intouchables, est forcément mal perçu.
Pourtant , je n’ai rien inventé.
J’ai seulement tout subi.
Cette histoire ressemble à celle d’une vengeance collective organisée contre une femme seule. Elle a été volontairement oblitérée par les fonctionnaires d’Etat de ce pays .
Cette histoire n’avait pas de raison d‘exister.
S’il y en avait eu une réelle, j’aurais été assignée en justice et j’aurais perdu.
« maintenant , ça va être ton tour » .
est la première menace exprimée , connue qui m‘avait interpellée
Cette phrase avait été prononcée il y a 11 ans par la redoutable 2ème épouse de mon unique frère, au moment du décès de ma mère.
Dire de voyant , à propos de celle qui me menaçait ainsi
Consciente de sa bourde ou perverse , elle avait aussitôt corrigé par :
« j’ai été malheureuse pendant 25 ans, maintenant ça va être ton tour »
J’ignorais bien sur qu’elle avait été malheureuse. Je ne l’avais jamais fréquentée, et je ne pouvais donc pas en être la cause. Je ne l'avais pas épousée.
Et pour ce que j’en voyais ce jour là, elle resplendissait, de satisfaction et de nourriture bien répartie.
Avec un scan rétrospectif et des comparaisons , je peux maintenant assurer que nous - ma mère et moi- avions déjà été les cibles de son entreprise de vengeance , depuis 25 ans.
Les méthodes crapuleuses du quotidien appliquées à l’une et l’autre avaient été aussi répétitives qu‘identifiables.
Ma mère s’en était fait un cancer de l’estomac.
Tout autant que l’origine du prétendu malheur de la 2ème épouse, j’ignorais ce que cette menace de vengeance , qui prenait prétexte d’un fait inconnu, pouvait lui apporter .
La réponse qui me semble maintenant évidente, est : du plaisir , beaucoup , et mon argent, si possible..
Cette dame menaçante, à elle seule, n’aurait pas pu grand-chose d‘autre que ce qui était dans ses habitudes et à son niveau : actes vicieux et bobards malfaisants. C'est déjà beaucoup .
Mais elle n’était pas sur place, ni dans mon entourage pour les mettre en oeuvre.
Et en effet, cette histoire montre beaucoup plus que ses minables exploits personnels.
Avec le recul, il est maintenant acquis , que la sous-société sournoise , dans et en marge de l’institution qui nourrissait la dame par le salaire interposé du mari, mon frère, était son meilleur atout.
Ce groupe, avec ou sans uniforme, avait déjà fait beaucoup de dégâts dans ma vie .
Une de ses stratégie de base était le reniflage-espionnage qui permettait de connaitre « mes » situations pour proposer à la ou les personnes en face de moi de les retourner contre moi en en tirant profit.
Ceci correspond à un slogan militaire bien connu :« ne rien faire, ne rien laisser faire, tout faire faire »
A partir de 2001 le réseau adepte de ce slogan s’était, en plus, activement employé à mon élimination lucrative.
Cette élimination nécessitait que des gens de loi tordent le cou au droit , et que d’autres organisent les accidents ou la pseudo folie.
Les gens de loi n’avaient pas hésité, forts du soutien des réseaux crapuleux tout puissants qui tiraient les ficelles, et aidés des pions du réseau crapuleux de base ; celui des voyous , censé terroriser les femmes seules et tous ceux qui leur prêtent assistance.
Ici , il faut noter, en supplément aux exploits des deux précédents réseaux , la participation volontaire d‘une taupe étrangère et de son groupe , et celle d’un autre réseau jaune plus foncé et qui s’était mis en place sur les débris de cette situation.
Réseau jaune foncé indo-pakistanais lié mon ex collègue et amie ( pour ce qui me concerne) de 30 ans .
Des gens de lois, bien protégés par le vernis de leurs noms de métier , et leurs réseaux annexes qui s’acharnent simultanément sur une cible pour la déboussoler, l’épuiser et même l’éliminer physiquement, avaient, eux , manipulé la loi.
J’avais réagi et protesté.
Ce n’était ni habituel ni prévu et encore moins bienvenu.
Et il y avait eu un HIC supplémentaire.
Nouveau ticket pour une escalade de méfaits et de crimes.
Un de ces représentants de l’Etat et de la loi , s’était fait virer de sa toute puissante association.
Je n’y étais pour rien.
Dans sa vanité dominatrice, il avait tout simplement trahi un de ses frères .
C’était la seule chose importante pour son association .
Plus importante que toutes les fausses informations qu’il avait pu ériger en doctrine pour me berner . En attendant ma disparition.
Sa fille , forte seulement de l’organisation de son père y était allée de ses menaces « on va la casser, on va la fatiguer, après on verra «
C'est ainsi que se régénère le harcèlement en réseau : de parents à enfants futurs dominants.
Et à ce moment-là de cette histoire, tous les vieux distingués ou ringards , moins vieux , mais membres de l’association et parentèle, tous les responsables d’institutions bien pensantes et autres membres de cette clique, s’étaient déchainés.
Parce que dans ces groupes là, on ne réfléchit pas, on maltraite, on saccage, et on assassine sans raison.
Sur commande.
Cela dure encore.
J’avais ainsi été une tête de turc désignée à la fois par des salariés de l'Etat et par des adhérents d’une association qui prétend ne s‘occuper que de ses membres dans le besoin . Ce sont souvent les mêmes.
J’étais , en fait, devenue pour la convenance d’une élimination à tout prix , la tête de turc de tous ceux qui cherchent un exutoire à leurs haines ou à leurs frustrations.
Ma résistance et mes réactions avaient en plus été à chaque fois de nouveaux prétextes de déchainements de harcèlement-violations-vols.
Ce réseau ne recule jamais. Une de ses méthodes est l'escalade en représailles.
Le sens de la notion de » justesse » lui est aussi étranger que celui de
« justice »
Mais tous ces gens et leurs sous-sociétés camouflées ne prenaient de risques qu’au niveau de leur compétence détournée et couverts par le vernis de leur métier ou statut.
Pour plus d‘efficacité , il leur avait fallu déléguer le sordide et l’ injurieux .
Dans la case sordide, les viols-mise-à-disposition sont le +++ d’une société où la femme n’est qu’une convenance , et qui considère son porte monnaie et ses biens comme devant être annexés .
Les délégations crapuleuses habituelles françaises sont connues. Elles s’interconnectent .
Des italo/corses inconnus, s'étaient révélés des habitués efficaces , frères ou associés. Leurs structures existantes et éprouvées sont adaptées à toutes situations, méfaits et crimes inclus. Leurs interconnexions sont mondiales et inconditionnelles.
Une autre sous-traitance revient aux beurs, jeunes et vieux, et femmes confondus, tous aussi inconditionnels et acharnés. Ils avaient vibrionné autour de moi à peu près partout, à Angers , au Canada et curieusement , timidement, en Nouvelle Zélande mais surtout dans toute la France .
Tout comme ceux du 7ème étage de Paris XIV, un beur de l’étage , à Paris XV s'était révélé un pion de ce réseau. Il s'était trahi tout seul, par provocation. Occupant une chambre à l'étage à titre d"occupant gratuit" d'une dame qui avait les moyens de perdre l'équivalent de 4000 euros /an de loyer , plus les charges et les impôts. Et cet "ami-occupant" de la dame avait eu la mauvais idée de m'embêter.
Comme le fils de la propriétaire du dessous. Celui qui injurie, menace de mort, et tabasse …. dès qu'il n'y a pas de témoin.
Ce qui ne l'empêche pas de violer mon domicile pour voler ou saccager ce qui est portée de ses mains sales . Cet homme ne connait que son maître et ses ordres.
Le réseau jaune foncé avait au début été indo-pakistanais . Comme le compagnon de mon ex collègue ex amie , réfugié politique . Il faisait partie de ces proches d'une cible, utilisés systématiquement pour nuire sur la base de toutes les petites informations qu'il pouvait transmettre.
Le réseau asiatique répondait aux ordres du chinois mafieux , frère et pervers de Limeil Brevannes.
Dans les interstices de ces réseaux il y avait tous les petits blancs du réseau crapuleux-voyous de base et les harceleurs.
Ici et ailleurs, en Europe, en Amérique du Nord, en Australie ou Nouvelle Zélande, des sollicités et volontaires et qui se sont pris pour des cadors en participant à une curée mise à leur portée par des réseaux cachés et jamais sanctionnés.
Dans cette immense foule d'habitués de crapuleries et escroqueries pour ce qui est du premier niveau, on trouve des employés d’immeuble, commerçants , artisans, propriétaires, ou autres crétins oisifs, qui s'ingénient à profiter d'une situation sans risque, sans oublier de ridiculiser ou humilier , espérant ainsi faire taire la proie.
En complément, on trouve des cols blancs et des salariés de l'Etat, qui détournent position, qualité et fonction, tous complices d'actes de harcèlement, de torture et de barbarie , et qui font payés à d'autres (copropriétaires) ou aux contribuables ( employés de l'Etat) leur participation à la chasse à l'humain , ouverte toute l'année. Même la nuit.
*
Voila ce que je , et bien d’autres, subis depuis plusieurs décennies, grâce à la censure de l'information sur ce sujet et à la terreur organisée et protégée pour qu'il en soit ainsi.
L'alors et fort aimable sénateur-maire de Dol de Bretagne , consulté sur cette histoire , m’avait vivement conseillé de faire comme si de rien n’était et…… de sourire.
CONSEIL d'ELU .
Violée … mais souriante.
Harcelée ….. mais souriante .
Volée et escroquée …. mais souriante .
Agressée physiquement … mais souriante.
Et depuis bientôt deux ans , torturée …. mais souriante .
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