Harcèlement en réseau- la couleur bleue
La présence du bleu dans cette histoire parle de son importance pour eux.
Pour les messages que cette couleur est censée véhiculée.
L’objet de base que les harceleurs imbus de leur importance avaient brandi en toutes occasions était donc un dossier bleu. Tout bête.
A chaque fois s’en était un différent bien sûr. Tout comme les poursuivants qui se mettaient sur mon passage où couraient après moi pour me le mettre sous le nez.
Ils ont été nombreux à faire le pied de grue , dans la rue, pour exhiber leur vieux dossier bleu.
Certains attendaient appuyés contre un mur . A mon approche, ils ouvraient leur cartable ou leur pochette, agitant leur signe de reconnaissance.
Comme des gamins.
L’un d’entre eux était à vélo. Le dossier était dans le porte bagage , devant.
Au feu rouge , il avait démarré de façon à pouvoir tourner autour de moi pendant que je traversais le passage piétons. Puis il avait lâché le guidon pour attraper le dossier et me le présenter .
Il s’était cassé la figure.
Un groupe m’avait attendue un jour à la sortie d’une étude de notaires.
J’avais prouvé quelques jours plus tôt, circonstances expliquées à l’appui, la tentative d’assassinat pour vol dont j’avais été l’objet.
Le groupe avait aussitôt quitté le trottoir et essayé de copier mon allure. Vive.
Un plus jeune s’était détaché du groupe. Il avait couru pour passer devant moi, gênant ma progression.
Il avait brandi un dossier bleu, à hauteur de mes yeux, avant de me laisser poursuivre mon chemin.
Le dossier bleu, explication d‘origine, prétexte à laisser faire , excuse à ne rien faire, m’avait été imposé en tous lieux.
Le bleu tout court, la couleur, avait été une marque distinctive d’autres. Ceux qui venaient faire un harcèlement d’insinuation ou d’allusion.
L’intervenant du jour avait une longue chemise bleue qui flottait au vent, sauf au niveau de la poche arrière du jean. Le pan de chemise y était relevé coincé derrière un numéro de journal que je lis régulièrement.
Il s’agissait justement et en plus du journal auquel je venais de poster un courrier.
Le propriétaire de la chemise, avait d’abord marché à mes côtés jusqu ’à se faire remarquer sur ce trottoir désert. Puis il était soudain passé devant moi, ralentissant mon allure et me contraignant à voir le journal qui dépassait de sa poche arrière.
Le message était à décoder.
Le groupe des fans de bleu connaissait peut-être mon envoi au journal, par l'intermédiaire d'un employé de la poste. Ce scénario était répétitif. Sitôt l'enveloppe glissé dans la boite, un employé se précipitait pour en connaître le destinataire ... et le dire. Sale impression .
D’ailleurs, le contenu m’en sera répété . Un peu plus tard.
D’autres avaient affiché avec ostentation leurs écharpes bleues.
Elles ne devenaient significatives que parce que les porteurs de ces voyantes écharpes entrés dans un magasin derrière moi, étaient passés systématiquement devant moi.
Pendant que le vendeur me donnait une information, il était interrompu par une question du porteur de l’écharpe . La question était idiote mais en référence avec l’objet que j’achetais.
Sitôt sa question posée, les porteurs d’écharpe bleue , tous hommes d’âge mûr, disparaissaient.
En complément, il y avait eu des éclaboussures de peinture bleue sur le mur couleur coquille d’œuf, chez moi , lors d’une violation de domicile.
Ce jour là, il y avait en plus des traces de colle sur le sol.
Et une forte odeur de mal lavé.
La violation de domicile était signée. J-J WALTI.
Les adeptes du bleu m’avaient ainsi collé aux basques en tous lieux, directement ou par délégation .
Fiers de leurs scénarios médiocres ou de la surprise qu’ils croyaient avoir suscitée, ils appliquaient une méthode.
Celle qui doit rendre une personne parano ou folle, par la répétition d‘allusions associées à un détail récurrent.
Sûrs de ne jamais être inquiétés par leurs amis, Ils avaient ainsi fait signer une violation de domicile avec dégradation, par l’artiste de l’étage.
Pour ces tous ces messagers du bleu , les mots « infraction » et « délinquance » se confondaient avec « habitude » et « droit de harceler» .
*****
Pour les messages que cette couleur est censée véhiculée.
L’objet de base que les harceleurs imbus de leur importance avaient brandi en toutes occasions était donc un dossier bleu. Tout bête.
A chaque fois s’en était un différent bien sûr. Tout comme les poursuivants qui se mettaient sur mon passage où couraient après moi pour me le mettre sous le nez.
Ils ont été nombreux à faire le pied de grue , dans la rue, pour exhiber leur vieux dossier bleu.
Certains attendaient appuyés contre un mur . A mon approche, ils ouvraient leur cartable ou leur pochette, agitant leur signe de reconnaissance.
Comme des gamins.
L’un d’entre eux était à vélo. Le dossier était dans le porte bagage , devant.
Au feu rouge , il avait démarré de façon à pouvoir tourner autour de moi pendant que je traversais le passage piétons. Puis il avait lâché le guidon pour attraper le dossier et me le présenter .
Il s’était cassé la figure.
Un groupe m’avait attendue un jour à la sortie d’une étude de notaires.
J’avais prouvé quelques jours plus tôt, circonstances expliquées à l’appui, la tentative d’assassinat pour vol dont j’avais été l’objet.
Le groupe avait aussitôt quitté le trottoir et essayé de copier mon allure. Vive.
Un plus jeune s’était détaché du groupe. Il avait couru pour passer devant moi, gênant ma progression.
Il avait brandi un dossier bleu, à hauteur de mes yeux, avant de me laisser poursuivre mon chemin.
Le dossier bleu, explication d‘origine, prétexte à laisser faire , excuse à ne rien faire, m’avait été imposé en tous lieux.
Le bleu tout court, la couleur, avait été une marque distinctive d’autres. Ceux qui venaient faire un harcèlement d’insinuation ou d’allusion.
L’intervenant du jour avait une longue chemise bleue qui flottait au vent, sauf au niveau de la poche arrière du jean. Le pan de chemise y était relevé coincé derrière un numéro de journal que je lis régulièrement.
Il s’agissait justement et en plus du journal auquel je venais de poster un courrier.
Le propriétaire de la chemise, avait d’abord marché à mes côtés jusqu ’à se faire remarquer sur ce trottoir désert. Puis il était soudain passé devant moi, ralentissant mon allure et me contraignant à voir le journal qui dépassait de sa poche arrière.
Le message était à décoder.
Le groupe des fans de bleu connaissait peut-être mon envoi au journal, par l'intermédiaire d'un employé de la poste. Ce scénario était répétitif. Sitôt l'enveloppe glissé dans la boite, un employé se précipitait pour en connaître le destinataire ... et le dire. Sale impression .
D’ailleurs, le contenu m’en sera répété . Un peu plus tard.
D’autres avaient affiché avec ostentation leurs écharpes bleues.
Elles ne devenaient significatives que parce que les porteurs de ces voyantes écharpes entrés dans un magasin derrière moi, étaient passés systématiquement devant moi.
Pendant que le vendeur me donnait une information, il était interrompu par une question du porteur de l’écharpe . La question était idiote mais en référence avec l’objet que j’achetais.
Sitôt sa question posée, les porteurs d’écharpe bleue , tous hommes d’âge mûr, disparaissaient.
En complément, il y avait eu des éclaboussures de peinture bleue sur le mur couleur coquille d’œuf, chez moi , lors d’une violation de domicile.
Ce jour là, il y avait en plus des traces de colle sur le sol.
Et une forte odeur de mal lavé.
La violation de domicile était signée. J-J WALTI.
Les adeptes du bleu m’avaient ainsi collé aux basques en tous lieux, directement ou par délégation .
Fiers de leurs scénarios médiocres ou de la surprise qu’ils croyaient avoir suscitée, ils appliquaient une méthode.
Celle qui doit rendre une personne parano ou folle, par la répétition d‘allusions associées à un détail récurrent.
Sûrs de ne jamais être inquiétés par leurs amis, Ils avaient ainsi fait signer une violation de domicile avec dégradation, par l’artiste de l’étage.
Pour ces tous ces messagers du bleu , les mots « infraction » et « délinquance » se confondaient avec « habitude » et « droit de harceler» .
*****
Commentaires
Enregistrer un commentaire