Harcèlement en réseau - les blousons noirs
Il s’agit en fait de vestes ¾ , portées par des quadras , à l’ allure martiale coupe de cheveux très courte, et majoritairement d’une taille supérieure à 1m75.
Où que j’aille , ils étaient.
Soirée d’anniversaire dans un restaurant médiéval en province.
Arrêt sur l’autoroute, en chemin pour Bonn.
A la sortie du magasin du journal officiel , à Paris.
Dans une voiture 92 planquée près de mon appartement en pleine campagne
à Dol de Bretagne
En salle de lecture de la Bilipo, à Paris .......
Au tribunal où je contestais un prélèvement indu fait par une société de publicité
Cette société avait été autorisée à deux prélèvements.
Elle en avait fait six et avait refusé de rembourser le trop perçu.
J’avais du demander ce remboursement avec l’intervention du tribunal de 1ère instance
Deux blousons noirs étaient déjà sur les bancs quand j’étais arrivée à l‘audience.
L’un des deux avait alors quitté la salle.
Un huissier était venu apporter un message au président de séance.
Le blouson noir était revenu dans la salle.
Il avait essayé des signes de connivence avec moi, et censés exprimer le fait que la magistrate était malcommode.
Mon tour était arrivé.
La magistrate avait posé devant elle le bout de papier apporté par l’huissier.
Elle avait réservé sa décision que je devais venir chercher.
Cette décision avait donné raison à la société de publicité qui avait empoché illégalement 4 mois de prélèvement supplémentaires.
Le prétexte avait été que je n’avais qu’à faire attention.
Victime de moi-même . Un argument de religieux, pas de tribunal.
**
Au bureau de poste de la rue Littré.
Ce blouson noir là, je l’avais vu trop tard.
Ma lettre avait déjà basculé dans la boite.
J’avais hésité à me la faire rendre . Réclamer, c’était aussi la faire remarquer en mentionnant, pour la récupérer, l’adresse du laboratoire espagnol qui devait faire une recherche d’ADN, de violeurs.
Le laboratoire mettra un temps anormalement long à recevoir cette enveloppe.
Quand il l’aura reçue, il m’apprendra consterné qu’il n’existait aucune trace humaine sur les échantillons en sa possession.
Quand je voudrais faire un second envoi, ce sera impossible.
Toute la toile de matelas où se trouvaient les traces analysables, avait été découpée . Disparue. Envolée.
Plus de preuve.
***
Ce type de blouson noir uniforme un vêtement de civil , pour de gens qui avaient le même fournisseur.
Le retraité de la garde républicaine qui était entré chez moi à Paris XIV pendant mon absence, portait aussi un blouson du même type , le jour où il m‘avait fait venir pour étaler ses provocations.
( article précédent)
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Où que j’aille , ils étaient.
Soirée d’anniversaire dans un restaurant médiéval en province.
Arrêt sur l’autoroute, en chemin pour Bonn.
A la sortie du magasin du journal officiel , à Paris.
Dans une voiture 92 planquée près de mon appartement en pleine campagne
à Dol de Bretagne
En salle de lecture de la Bilipo, à Paris .......
Au tribunal où je contestais un prélèvement indu fait par une société de publicité
Cette société avait été autorisée à deux prélèvements.
Elle en avait fait six et avait refusé de rembourser le trop perçu.
J’avais du demander ce remboursement avec l’intervention du tribunal de 1ère instance
Deux blousons noirs étaient déjà sur les bancs quand j’étais arrivée à l‘audience.
L’un des deux avait alors quitté la salle.
Un huissier était venu apporter un message au président de séance.
Le blouson noir était revenu dans la salle.
Il avait essayé des signes de connivence avec moi, et censés exprimer le fait que la magistrate était malcommode.
Mon tour était arrivé.
La magistrate avait posé devant elle le bout de papier apporté par l’huissier.
Elle avait réservé sa décision que je devais venir chercher.
Cette décision avait donné raison à la société de publicité qui avait empoché illégalement 4 mois de prélèvement supplémentaires.
Le prétexte avait été que je n’avais qu’à faire attention.
Victime de moi-même . Un argument de religieux, pas de tribunal.
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Au bureau de poste de la rue Littré.
Ce blouson noir là, je l’avais vu trop tard.
Ma lettre avait déjà basculé dans la boite.
J’avais hésité à me la faire rendre . Réclamer, c’était aussi la faire remarquer en mentionnant, pour la récupérer, l’adresse du laboratoire espagnol qui devait faire une recherche d’ADN, de violeurs.
Le laboratoire mettra un temps anormalement long à recevoir cette enveloppe.
Quand il l’aura reçue, il m’apprendra consterné qu’il n’existait aucune trace humaine sur les échantillons en sa possession.
Quand je voudrais faire un second envoi, ce sera impossible.
Toute la toile de matelas où se trouvaient les traces analysables, avait été découpée . Disparue. Envolée.
Plus de preuve.
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Ce type de blouson noir uniforme un vêtement de civil , pour de gens qui avaient le même fournisseur.
Le retraité de la garde républicaine qui était entré chez moi à Paris XIV pendant mon absence, portait aussi un blouson du même type , le jour où il m‘avait fait venir pour étaler ses provocations.
( article précédent)
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