Harcèlement en réseau à l'international - Singapour


Après PERTH, il y avait eu SINGAPOUR
A Singapour , dans la rue , la surveillance chinoise  avait été aussi juvénile qu’à Perth .
Les pakistano-indiens  qui participaient , étaient eux et pour la plus part, mûrs et peu discrets. 

A l’hôtel   Mount Elizabeth,  ma chambre avait été visitée de façon inamicale au moins 3 fois en 5 jours. J’avais protesté la première fois.
Une partie des employés  de l’hôtel était asiatique, l’autre indo-pakistanaise.

Les deux hommes , style hommes de maintenance que j’avais vus sortant de ma chambre, alors que la porte était tenue ouverte par la femme de ménage,  étaient des visages pâles.

Lors de la deuxième intrusion il y avait eu le  dépôt d’un cercle , en métal  cette fois, et qui rappelait le sempiternel élastique .
Dans cet hôtel, j’avais surchargé les cadenas à code de mes valises  avec des plombs  à usage unique trouvés par hasard.Les bagages étaient  inviolables. Sauf dégâts évidents et constatables

Lors de la deuxième intrusion, le code d‘un cadenas avait été changé.
Je ne pouvais plus ouvrir la valise..
Les intrus  n’avaient pas pu  fouiller et voler dans  ma valise . Ils s’étaient vengés,  m’en rendant son contenu inaccessible.

***
Au final, toute cette histoire ne parle beaucoup  de cela.
De vengeance.
Une vengeance collective d‘hommes organisés en réseau sans frontières et sans raisons personnelles.
Vengeance aux  réactions  de la victime accusée de ne pas se laisser faire.
Vengeance de  délectation et  de  surenchère avec démonstration de domination de genre.

Le plus cocasse  de cette fraternelle histoire est que tous ces hommes  sont peut-être partiellement  et au final  les pantins d’une femme.
Bien au chaud derrière ses bobards, pendant qu’eux gesticulent dans tous les sens , l’air affairé et important pour cacher leur lâcheté et leur habitudes vicieuses.
**
Dans l’aéroport de Singapour, il y avait eu un mouvement de foule au moment où j’avais quitté la zone d’enregistrement.
Une bousculade faite de chinois uniquement.
Puis le groupe s’était dispersé. Mon blouson posé sur mon bagage devant moi  venait d’être volé.
Le blouson même  sur lequel d'autres chinois  à  NAPIER  ( Nelle Zélande) s’étaient déjà  acharnés.
**
Ce  nouvel incident de crapulerie organisée, donnait une meilleure lecture de ceux survenus à  l’enregistrement des bagages dans le même aéroport.

Au moment où j’avais déposé ma valise pour l’enregistrement, elle avait soudain accusé un surpoids important et  qui n’existait pas quelques minutes plus tôt  sur la balance de l’aéroport. Cela  aurait pu être le prétexte d’un surcoût ou d’une obligation de délester .

L’employée du comptoir avait été gênée que je lui annonce le poids exact de la balance publique. Et elle  avait réagi en  refusant de peser mon bagage à main.
Au moment où j’allais quitter  son comptoir. Elle y avait déposer une  énorme sucette . On lui avait demandé de le faire.  Je l’avais chaleureusement remerciée . Elle n’y comprenait rien. Cette  énorme sucette  représentait une chaussure. En souvenir des chaussures que les sbires de ces réseaux dégradent et saccagent absolument partout et n'importe où  dans mes placards et mes valises ?

En tout cas une signature claire de ceux de la compagnie AIR FRANCE qui allait me transporter.

A bord, ça n’avait été guère plus subtile. La dérision et la moquerie  le sont rarement.  

Le Chef de Cabine Principal  était venu jusqu’à mon siège , vers  l’arrière , faisant 1/2 tour dès son repérage  assuré.
L’hôtesse de la zone avait sans doute   été chargée de la partie désagréable . L’être.
Elle l’avait très bien fait, en rajoutant plus que nécessaire et sans raison.
A Roissy, il y avait eu l’habituel.
Provocations et surveillance voyante et même colorée.
Couleur bleue , d‘abord. Homme à uniformes et galons dorés , ensuite.. 
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