Harcèlement en réseau à l'international - Singapour
Après PERTH, il y avait eu SINGAPOUR
A Singapour , dans la rue , la surveillance chinoise avait été aussi juvénile qu’à Perth .
Les pakistano-indiens qui participaient , étaient eux et pour la plus part, mûrs et peu discrets.
A l’hôtel Mount Elizabeth, ma chambre avait été visitée de façon inamicale au moins 3 fois en 5 jours. J’avais protesté la première fois.
Une partie des employés de l’hôtel était asiatique, l’autre indo-pakistanaise.
Les deux hommes , style hommes de maintenance que j’avais vus sortant de ma chambre, alors que la porte était tenue ouverte par la femme de ménage, étaient des visages pâles.
Lors de la deuxième intrusion il y avait eu le dépôt d’un cercle , en métal cette fois, et qui rappelait le sempiternel élastique .
Dans cet hôtel, j’avais surchargé les cadenas à code de mes valises avec des plombs à usage unique trouvés par hasard.Les bagages étaient inviolables. Sauf dégâts évidents et constatables
Lors de la deuxième intrusion, le code d‘un cadenas avait été changé.
Je ne pouvais plus ouvrir la valise..
Les intrus n’avaient pas pu fouiller et voler dans ma valise . Ils s’étaient vengés, m’en rendant son contenu inaccessible.
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Au final, toute cette histoire ne parle beaucoup de cela.
De vengeance.
Une vengeance collective d‘hommes organisés en réseau , sans frontières et sans raisons personnelles.
Vengeance aux réactions de la victime accusée de ne pas se laisser faire.
Vengeance de délectation et de surenchère avec démonstration de domination de genre.
Le plus cocasse de cette fraternelle histoire est que tous ces hommes sont peut-être partiellement et au final les pantins d’une femme.
Bien au chaud derrière ses bobards, pendant qu’eux gesticulent dans tous les sens , l’air affairé et important pour cacher leur lâcheté et leur habitudes vicieuses.
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Dans l’aéroport de Singapour, il y avait eu un mouvement de foule au moment où j’avais quitté la zone d’enregistrement.
Une bousculade faite de chinois uniquement.
Puis le groupe s’était dispersé. Mon blouson posé sur mon bagage devant moi venait d’être volé.
Le blouson même sur lequel d'autres chinois à NAPIER ( Nelle Zélande) s’étaient déjà acharnés.
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Ce nouvel incident de crapulerie organisée, donnait une meilleure lecture de ceux survenus à l’enregistrement des bagages dans le même aéroport.
Au moment où j’avais déposé ma valise pour l’enregistrement, elle avait soudain accusé un surpoids important et qui n’existait pas quelques minutes plus tôt sur la balance de l’aéroport. Cela aurait pu être le prétexte d’un surcoût ou d’une obligation de délester .
L’employée du comptoir avait été gênée que je lui annonce le poids exact de la balance publique. Et elle avait réagi en refusant de peser mon bagage à main.
Au moment où j’allais quitter son comptoir. Elle y avait déposer une énorme sucette . On lui avait demandé de le faire. Je l’avais chaleureusement remerciée . Elle n’y comprenait rien. Cette énorme sucette représentait une chaussure. En souvenir des chaussures que les sbires de ces réseaux dégradent et saccagent absolument partout et n'importe où dans mes placards et mes valises ?
En tout cas une signature claire de ceux de la compagnie AIR FRANCE qui allait me transporter.
A bord, ça n’avait été guère plus subtile. La dérision et la moquerie le sont rarement.
Le Chef de Cabine Principal était venu jusqu’à mon siège , vers l’arrière , faisant 1/2 tour dès son repérage assuré.
L’hôtesse de la zone avait sans doute été chargée de la partie désagréable . L’être.
Elle l’avait très bien fait, en rajoutant plus que nécessaire et sans raison.
A Roissy, il y avait eu l’habituel.
Provocations et surveillance voyante et même colorée.
Couleur bleue , d‘abord. Homme à uniformes et galons dorés , ensuite..
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