Le harcèlement de type mafieux ( mai 2011)
LE HARCELEMENT DE TYPE MAFIEUX
Ceci est un témoignage destiné aux victimes de ce type de harcèlement et aux diverses associations qui luttent contre les injustices de toutes sortes et contre les réseaux cachés qui les organisent.
Il s’agit ici d’ une forme de harcèlement de type mafieux .
Il va des brimades aux viols.
Ce type de harcèlement a été organisé, ici, à partir de la France où l’affirmation de la domination de certains milieux est une revendication pérenne qui s’exprime de façon aussi sournoise que violente.
Il s’est étendu et manifesté au rythme de mes voyages à l’étranger que j’ai multipliés.
Ce qui donne une information complémentaire sur la détermination des organisateurs obsessionnels concernés et de leurs correspondants inconditionnels dans le monde .
Les actes les plus sordides ont été délégués à d’autres réseaux crapuleux structurés, aux méthodes éprouvées et dont les méfaits multipliés jusqu’à l’asphyxie sociale, sont restés majoritairement au-dessous de la preuve pénale.
Lorsque ces preuves existaient, elles ont été soit supprimées rapidement par le réseau organisateur , soit niées officiellement par les amis de ce premier réseau.
Toutes les crapules de base ainsi protégées n’avaient qu’à continué et redoublé la fréquence de leurs méfaits.
C‘est ce qu’elles ont fait.
La victime (moi) était ainsi laissée sans recours autre que sa volonté de dénoncer.
Dans mon cas de victime non consentante et résistante , ce harcèlement organisé a fait intervenir, en plus des réseaux français parfois dits « administratifs », des bandes que j’appellerais ethniques : corses, Italiens, beurs, chinois, pakistanais, noirs et ….trop d‘autres tout blancs..
Les premiers à m’avoir déclaré ouvertement leur guerre de bandes organisées ont été des corses qui m’avaient annoncé à la troisième personne, en 2005 :
« on l’emmerde parce que c’est une emmerdeuse »
Ils auraient aussi bien pu dire
« on l’emmerde parce qu’elle a les yeux marrons »
ou encore
« on s’en débarrassera parce qu’on nous l’a demandé »
Il y a de nombreuses femmes parmi les victimes de ce type de harcèlement.
Ce sont des proies faciles pour des groupes d’hommes déterminés parce qu’ imbus de leur supériorité de genre , mais surtout habitués et organisés. .
Leur but , déguisé en règlement de compte ou en vengeance quelconque, et parfois même appelée « punition « comme cela a été le cas pour un salarié de l‘armée du MCC ou par l‘ex-militaire président du conseil syndical de l’immeuble en province, est souvent et simplement celui de la fascination pour l’argent facile.
Capter les biens de femmes seules tout en les anéantissant socialement est une forme de plaisir masturbatoire et d exploit de groupe qui s’appuie d’abord sur le droit et la psychologie.
Telles sont les qualités des organisateurs.
Harcèlement de type mafieux. + Guerre de genre.
A cela , il faut ajouter dans cette histoire, l’aspect planétaire.
Il donne à penser et à voir l’organisation machiste mondiale.
Des hommes qui apportent leur contribution malfaisante et malveillante, instrumentalisant des femmes quand c’est possible, sans raison personnelle évocable . Sur demande .
Le témoignage qui suit a été écrit lors d’une longue échappée de France
sous la forme d’un blog impossible à réaliser dans ce pays où mes connexions internet à la maison ou en cyber espace ont toutes été piégées ou désactivées.
Ce témoignage est seulement fait d’un empilement d’anecdotes significatives. .Les signaux faibles y côtoient les méfaits violents ou sordides sans hiérarchie moralisante.
Ces anecdotes donnent seulement à voir et à penser la complexité des réseaux crapuleux auxquels est livrée une victime dans ce pays .
Elles montrent aussi l’ influence du réseau organisateur au sein de la police et de la justice. Ce qui explique que ce système perdure et se soit structuré et généralisé.
C’est aussi la partie la plus monstrueusement choquante de cette histoire, que d’autres victimes m’ont racontée.
En choisissant d’ignorer autant d’infractions, de délits et de crimes les représentants de l’Etat et la CEDH ont volontairement confiné une plaignante dans sa situation de victime de n’importe qui, à temps complet et à vie.
Malgré les apparences, ces textes sont moins un règlement de compte qu’ un compte rendu , ici incomplet.
Face à une foule d’inconnus déchainés et d’ acharnés sans raison personnelle autre que soumettre une femme , je me suis attachée à préciser qualité , fonction ou appartenance à un groupe de certains des participants.
Employés d’immeubles ou représentants de l’Etat, quand ils ont en commun de se cacher derrière leur fonction pour en détourner l’usage .
Ces détails peuvent aider à comprendre l’emprise de ce système jubilatoire de destruction de femmes, au quotidien.
J’ajoute , que si je n’étais pas victime de ce système de harcèlement de type mafieux et que l’on m’ avait raconté les anecdotes qui vont suivre, je ne les aurais pas crues.
C’est d’ailleurs ce qui s’était passé , il y a plus de trente ans. ( texte écrit en 2011)
Ma mère, en maison de convalescence, m’avait alors demandé d’écouter avec attention le récit d’une ancienne journaliste hébergée temporairement au même endroit qu‘elle..
Cette femme, en surcharge pondérale, l’air négligé , la mine triste et lasse, racontait des histoires semblables à celles que j’aligne plus loin.
Son intelligence était restée percutante. Sa narration était précise et un peu distanciée.
Socialement, elle était complètement isolée. Elle se disait victime d’un système. Brisée et épuisée. Surmédicalisée .
Ses histoires m’avaient sidérée , mais au final, je ne les avais pas vraiment crues.
Je pensais vraiment que tout cela n’était pas possible dans un Etat de droit comme la France, par ailleurs signataire de la convention des droits de l’homme.
Et c’est bien cela , le mot mal choisi . »homme » qui ne fait référence qu’à ceux qui ont signé.
****
Ceci est un témoignage destiné aux victimes de ce type de harcèlement et aux diverses associations qui luttent contre les injustices de toutes sortes et contre les réseaux cachés qui les organisent.
Il s’agit ici d’ une forme de harcèlement de type mafieux .
Il va des brimades aux viols.
Ce type de harcèlement a été organisé, ici, à partir de la France où l’affirmation de la domination de certains milieux est une revendication pérenne qui s’exprime de façon aussi sournoise que violente.
Il s’est étendu et manifesté au rythme de mes voyages à l’étranger que j’ai multipliés.
Ce qui donne une information complémentaire sur la détermination des organisateurs obsessionnels concernés et de leurs correspondants inconditionnels dans le monde .
Les actes les plus sordides ont été délégués à d’autres réseaux crapuleux structurés, aux méthodes éprouvées et dont les méfaits multipliés jusqu’à l’asphyxie sociale, sont restés majoritairement au-dessous de la preuve pénale.
Lorsque ces preuves existaient, elles ont été soit supprimées rapidement par le réseau organisateur , soit niées officiellement par les amis de ce premier réseau.
Toutes les crapules de base ainsi protégées n’avaient qu’à continué et redoublé la fréquence de leurs méfaits.
C‘est ce qu’elles ont fait.
La victime (moi) était ainsi laissée sans recours autre que sa volonté de dénoncer.
Dans mon cas de victime non consentante et résistante , ce harcèlement organisé a fait intervenir, en plus des réseaux français parfois dits « administratifs », des bandes que j’appellerais ethniques : corses, Italiens, beurs, chinois, pakistanais, noirs et ….trop d‘autres tout blancs..
Les premiers à m’avoir déclaré ouvertement leur guerre de bandes organisées ont été des corses qui m’avaient annoncé à la troisième personne, en 2005 :
« on l’emmerde parce que c’est une emmerdeuse »
Ils auraient aussi bien pu dire
« on l’emmerde parce qu’elle a les yeux marrons »
ou encore
« on s’en débarrassera parce qu’on nous l’a demandé »
Il y a de nombreuses femmes parmi les victimes de ce type de harcèlement.
Ce sont des proies faciles pour des groupes d’hommes déterminés parce qu’ imbus de leur supériorité de genre , mais surtout habitués et organisés. .
Leur but , déguisé en règlement de compte ou en vengeance quelconque, et parfois même appelée « punition « comme cela a été le cas pour un salarié de l‘armée du MCC ou par l‘ex-militaire président du conseil syndical de l’immeuble en province, est souvent et simplement celui de la fascination pour l’argent facile.
Capter les biens de femmes seules tout en les anéantissant socialement est une forme de plaisir masturbatoire et d exploit de groupe qui s’appuie d’abord sur le droit et la psychologie.
Telles sont les qualités des organisateurs.
Harcèlement de type mafieux. + Guerre de genre.
A cela , il faut ajouter dans cette histoire, l’aspect planétaire.
Il donne à penser et à voir l’organisation machiste mondiale.
Des hommes qui apportent leur contribution malfaisante et malveillante, instrumentalisant des femmes quand c’est possible, sans raison personnelle évocable . Sur demande .
Le témoignage qui suit a été écrit lors d’une longue échappée de France
sous la forme d’un blog impossible à réaliser dans ce pays où mes connexions internet à la maison ou en cyber espace ont toutes été piégées ou désactivées.
Ce témoignage est seulement fait d’un empilement d’anecdotes significatives. .Les signaux faibles y côtoient les méfaits violents ou sordides sans hiérarchie moralisante.
Ces anecdotes donnent seulement à voir et à penser la complexité des réseaux crapuleux auxquels est livrée une victime dans ce pays .
Elles montrent aussi l’ influence du réseau organisateur au sein de la police et de la justice. Ce qui explique que ce système perdure et se soit structuré et généralisé.
C’est aussi la partie la plus monstrueusement choquante de cette histoire, que d’autres victimes m’ont racontée.
En choisissant d’ignorer autant d’infractions, de délits et de crimes les représentants de l’Etat et la CEDH ont volontairement confiné une plaignante dans sa situation de victime de n’importe qui, à temps complet et à vie.
Malgré les apparences, ces textes sont moins un règlement de compte qu’ un compte rendu , ici incomplet.
Face à une foule d’inconnus déchainés et d’ acharnés sans raison personnelle autre que soumettre une femme , je me suis attachée à préciser qualité , fonction ou appartenance à un groupe de certains des participants.
Employés d’immeubles ou représentants de l’Etat, quand ils ont en commun de se cacher derrière leur fonction pour en détourner l’usage .
Ces détails peuvent aider à comprendre l’emprise de ce système jubilatoire de destruction de femmes, au quotidien.
J’ajoute , que si je n’étais pas victime de ce système de harcèlement de type mafieux et que l’on m’ avait raconté les anecdotes qui vont suivre, je ne les aurais pas crues.
C’est d’ailleurs ce qui s’était passé , il y a plus de trente ans. ( texte écrit en 2011)
Ma mère, en maison de convalescence, m’avait alors demandé d’écouter avec attention le récit d’une ancienne journaliste hébergée temporairement au même endroit qu‘elle..
Cette femme, en surcharge pondérale, l’air négligé , la mine triste et lasse, racontait des histoires semblables à celles que j’aligne plus loin.
Son intelligence était restée percutante. Sa narration était précise et un peu distanciée.
Socialement, elle était complètement isolée. Elle se disait victime d’un système. Brisée et épuisée. Surmédicalisée .
Ses histoires m’avaient sidérée , mais au final, je ne les avais pas vraiment crues.
Je pensais vraiment que tout cela n’était pas possible dans un Etat de droit comme la France, par ailleurs signataire de la convention des droits de l’homme.
Et c’est bien cela , le mot mal choisi . »homme » qui ne fait référence qu’à ceux qui ont signé.
****
Commentaires
Enregistrer un commentaire