Harcèlement en réseau à l'international- Arthur Pass - vol de clé USB
Depuis Kumara Junction jusqu’à Charleston, la mer de Tasmanie n’a pas décoléré . Une colère blanche . Tout en écume.
Blanche comme la clé USB qui a été volée dans mon sac à main à Mountain House, dans le village d’ Arthur Pass .
Un coup préparé par un jeune père de famille suédois (EGP242) qui partait le lendemain avec femme et bébé pur Melbourne , et un vieux local (DPK284) et madame, accompagnés d’une paire de jeunes femmes avec une voiture à vendre (FLC128) . Des gens à l’air éduqué et avec des airs au-dessus- de -tout- soupçon.
Pourtant ce vol avait été organisé et en traitres pendant que je m‘occupais du bébé. . Il avait eu lieu dans la maison principale commune dont nous partagions, comme clients et au même titre, la cuisine commune et les sanitaires.
***
Pour marquer leur territoire, les chiens pissent partout.
Ici, les délinquants de ce niveau là, mettent des élastiques partout. A Mountain House , ils en ont mis . Y compris dans mon sac à main.
Les élastiques sont le symbole de ce qu’ils pensent être la manifestation de leur pouvoir : l’encerclement de celles qu’ avec une arrogance et une suffisance d’anormaux , ils s’attribuent comme proie.
***
Car, pour le moment, dans ce pays, ( en Nouvelle Zélande) la normalité ne semble être ni le vol, ni les violations d’intimité qui sont autant de viols symboliques.
***
Les missionnés délinquants de Mountain House ne se sont pas arrêtés au vol. Ils y ont ajouté la violation d’intimité astucieusement préparée.
Le suédois est entré dans la maisonnette que j‘occupais pendant que je prenais une douche dans la maison commune. Pour cela il fallait qu‘il se soit eu procuré préalablement un double de ma clé auprès de quelqu’un du back packer : un kiwi , à l’apparence au-dessus- de- tout- soupçon.
Quand j’avais quitté la salle de bain, j’étais observée par le vieux qui trônait juste en face de la porte , derrière une montagne de gamelles . Il cachait quelque chose . Un téléphone qui donnait un signal.
Quand j’avais voulu ouvrir la porte de ma maisonnette, trois mètre plus loin, elle était déjà ouverte. Quelqu’un venait de quitter l’endroit après avoir fouillé ma valise.
Le suédois de la maison commune avait pénétré mon espace privatif avec un double de clé pendant que je prenais une douche..
***
Ces deux là étaient des voleurs organisés bien réels : on vole une clé USB pour en voler le contenu.
Mais pour voler une clé USB ciblée, il faut avoir une information pertinente sur l’utilisation habituelle de cette clé ou sur son contenu probable. Il faut connaître son apparence ( orange ? noire ?) .
Cela n’est concevable qui si j’avais été espionnée en amont. C'est ce qu'il avait fait en tournant autour de moi pendant que je l'utilisais dans la pièce qui nous était commune.
***
Le contenu en français de la clé USB volée n’était naturellement pas pour les voleurs.
Il y avait forcément un commanditaire pour réceptionner cette clé ou son contenu.
***
L’un de cette bande de 2 voleurs , était en plus un violeur de type symbolique.
Les violations répétitives de l’intimité d’une personne , ne parlent au final que de viol symbolique .
Pour passer à l’acte physique , comme ils le font en groupe, en France, et protégés par des fonctionnaires de l‘Etat qui refusent et détournent les plaintes de victimes, ce volontaire délinquant de la Mountain House n°3, devra profiter un jour d’un voyage hors de Suède
La Suède a la réputation d’être intraitable sur de type de comportement
***
Le lendemain matin , cet étranger n’avait pas attendu l’heure d’ouverture du bureau. Il avait scotché 3 clés avec un petit mot de remerciement sur la porte du bureau du kiwi du backpacker
Il était le seul à avoir eu trois clés. La règle , c’était DEUX . Une clé pour la maison commune et l’autre pour la chambre ou la maisonnette.
Cette 3ème clé tait celle de MA maisonnette.
***
A l’évocation de la disparition de ma clef USB, le responsable du back packer perdra son assurance. Il lui faudra quatre tentatives pour réussir à créditer ma carte internet.
La veille , une fois avait suffit.
***
C’était la troisième fois que l’on volait dans mon sac à main depuis deux mois.
Le deuxième vol ne pouvait avoir eu lieu que pendant la nuit ou le temps d’une douche. Les seuls moments possibles. Ce deuxième vol avait servi à me délester de mon dernier chèque en blanc . A Bluff, où le compagnon de la gérante de l'hôtel était d'origine corse.
Blanche comme la clé USB qui a été volée dans mon sac à main à Mountain House, dans le village d’ Arthur Pass .
Un coup préparé par un jeune père de famille suédois (EGP242) qui partait le lendemain avec femme et bébé pur Melbourne , et un vieux local (DPK284) et madame, accompagnés d’une paire de jeunes femmes avec une voiture à vendre (FLC128) . Des gens à l’air éduqué et avec des airs au-dessus- de -tout- soupçon.
Pourtant ce vol avait été organisé et en traitres pendant que je m‘occupais du bébé. . Il avait eu lieu dans la maison principale commune dont nous partagions, comme clients et au même titre, la cuisine commune et les sanitaires.
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Pour marquer leur territoire, les chiens pissent partout.
Ici, les délinquants de ce niveau là, mettent des élastiques partout. A Mountain House , ils en ont mis . Y compris dans mon sac à main.
Les élastiques sont le symbole de ce qu’ils pensent être la manifestation de leur pouvoir : l’encerclement de celles qu’ avec une arrogance et une suffisance d’anormaux , ils s’attribuent comme proie.
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Car, pour le moment, dans ce pays, ( en Nouvelle Zélande) la normalité ne semble être ni le vol, ni les violations d’intimité qui sont autant de viols symboliques.
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Les missionnés délinquants de Mountain House ne se sont pas arrêtés au vol. Ils y ont ajouté la violation d’intimité astucieusement préparée.
Le suédois est entré dans la maisonnette que j‘occupais pendant que je prenais une douche dans la maison commune. Pour cela il fallait qu‘il se soit eu procuré préalablement un double de ma clé auprès de quelqu’un du back packer : un kiwi , à l’apparence au-dessus- de- tout- soupçon.
Quand j’avais quitté la salle de bain, j’étais observée par le vieux qui trônait juste en face de la porte , derrière une montagne de gamelles . Il cachait quelque chose . Un téléphone qui donnait un signal.
Quand j’avais voulu ouvrir la porte de ma maisonnette, trois mètre plus loin, elle était déjà ouverte. Quelqu’un venait de quitter l’endroit après avoir fouillé ma valise.
Le suédois de la maison commune avait pénétré mon espace privatif avec un double de clé pendant que je prenais une douche..
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Ces deux là étaient des voleurs organisés bien réels : on vole une clé USB pour en voler le contenu.
Mais pour voler une clé USB ciblée, il faut avoir une information pertinente sur l’utilisation habituelle de cette clé ou sur son contenu probable. Il faut connaître son apparence ( orange ? noire ?) .
Cela n’est concevable qui si j’avais été espionnée en amont. C'est ce qu'il avait fait en tournant autour de moi pendant que je l'utilisais dans la pièce qui nous était commune.
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Le contenu en français de la clé USB volée n’était naturellement pas pour les voleurs.
Il y avait forcément un commanditaire pour réceptionner cette clé ou son contenu.
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L’un de cette bande de 2 voleurs , était en plus un violeur de type symbolique.
Les violations répétitives de l’intimité d’une personne , ne parlent au final que de viol symbolique .
Pour passer à l’acte physique , comme ils le font en groupe, en France, et protégés par des fonctionnaires de l‘Etat qui refusent et détournent les plaintes de victimes, ce volontaire délinquant de la Mountain House n°3, devra profiter un jour d’un voyage hors de Suède
La Suède a la réputation d’être intraitable sur de type de comportement
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Le lendemain matin , cet étranger n’avait pas attendu l’heure d’ouverture du bureau. Il avait scotché 3 clés avec un petit mot de remerciement sur la porte du bureau du kiwi du backpacker
Il était le seul à avoir eu trois clés. La règle , c’était DEUX . Une clé pour la maison commune et l’autre pour la chambre ou la maisonnette.
Cette 3ème clé tait celle de MA maisonnette.
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A l’évocation de la disparition de ma clef USB, le responsable du back packer perdra son assurance. Il lui faudra quatre tentatives pour réussir à créditer ma carte internet.
La veille , une fois avait suffit.
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C’était la troisième fois que l’on volait dans mon sac à main depuis deux mois.
Le deuxième vol ne pouvait avoir eu lieu que pendant la nuit ou le temps d’une douche. Les seuls moments possibles. Ce deuxième vol avait servi à me délester de mon dernier chèque en blanc . A Bluff, où le compagnon de la gérante de l'hôtel était d'origine corse.
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