Harcèlement en réseau à l'international - cyber-crapuleries
Un premier blog paranormaldutout se destinait seulement à recenser à travers des anecdotes , des méthodes de harcèlement, et d’espionnage, qui servent à couvrir ou maquiller , des brimades , des délits ou des crimes.
Il avait été fermé par capture du mot de passe par un cyber délinquant.
Certaines anomalies de comportement ne sont que des signaux faibles de participation à une entreprise qu’il faut bien appeler transnationale avec pour but seulement la destruction d’un être humain et apparemment , maintenant, par l’usure.
Certaines anomalies de situations peuvent être, au contraire, des signes de rejet de participation.
Mais au final , en s’acharnant sur la victime ou en la pénalisant pour ne pas être impliqués, les intervenants racontent la même organisation .
Ainsi, entre deux visites touristiques programmées, j’étais entrée dans un café internet de la grande rue de DUNEDIN . Le responsable du jour m’ avait annoncé qu’internet ne fonctionnait pas . Pourtant, ils étaient 5 ou 6 à agiter une souris devant un écran.
En traversant la rue, j’avais trouvé la bibliothèque municipale avec une connexion internet gratuite de 30 minutes . Comme partout dans le pays.
A partir d’ une ancienne adresse Email bien rôdée, j’avais envoyé mon message urgent. Cette adresse, utilisée pour une activité de bouquinerie pendant les 3 derniers mois de 2010, avait jusqu’ici réussi un sans faute.
Mais là, à Dunedin, la boite de réception de cette messagerie s’était fermée sitôt mon message envoyé . Sans mon intervention.
Sans gêne, Google m’avait demandé de retaper mon mot de passe.
J’avais ignoré ce caprice et tout fermé.
Dès le lendemain, et d’ailleurs, j’avais voulu interroger ma messagerie pour lire la réponse à mon message.
Impossible : GOOGLE avait bloqué cette messagerie pour “activité inhabituelle” et proposait de m’envoyer un code de déblocage si je laissais mon numéro de téléphone. Une nouvelle fois.
Avec un GOOGLE aussi réactif et tellement moral ou protecteur, normalement les gendarmes d’internet qui traquent les pédophiles en ligne ne devraient rien avoir à faire.
Mais faisons simple, pour avoir accès à mon message-réponse sur une messagerie bloquée, j’étais censée passer par les conditions indiquées . Je n’étais plus maître de mon mot de passe. Une fois le code donné par GOOGLE activé, cette messagerie là, aussi, serait définitivement sous contrôle.
Quelques jours plus tard, en remontant la grande rue principale de Dunedin, j’avais mis un pied dans le café internet de la dernière fois, en vue d’ une connexion.
Le responsable s’activait entre la machine à café et le comptoir tout en parlant avec une cliente .
A peine le deuxième pied posé à l’intérieur, j’avais appris qu’internet ne fonctionnait pas. Sans que je l’interroge, le patron du lieu m’avait conseillée d’aller me connecter chez un kiwi chinois
Pourtant… il y avait des clients devant des ordinateurs de son café internet, et les curseurs et le déroulement des écrans et des images répondaient à des mouvements de souris.
Le cyber espace du kiwi chinois , dix mètres plus loin, était OK.
La connexion de la bibliothèque municipale, de l’autre côté de la rue, également.
Et donc , seul, le café internet, dont la source de revenue est indiquée dans sa raison sociale aurait été incapable de se faire assurer une connexion-gagne pain par son fournisseur d’accès…
Pourtant , la publicité du café internet sur le trottoir n’annonçait pas ce contretemps de non- connexion.
Cette anecdote en rappelle bien d’autres .
Il y a maintenant 8 ans, j’avais l’habitude d’utiliser les services , connextion ou impression, de la boutique Recto/Verso, à ANGERS (49) . C’était toujours le même employé souriant derrière l’écran principal.
Sauf une fois, ou un jeune copain l’avait remplacé. L’employé souriant était arrivé au moment où je partais. Il avait fait la leçon à son remplaçant “ Quand c’est elle, tu fais une copier-coller de tout”
A peu près à la même époque à Paris, sachant ma ligne de téléphone peu sûre, j’avais pris une sorte d’ habitude dans un cyber espace , Boulevard Saint Michel.
Lors de ma troisième fois , le texte que j’écrivais sautait de l’écran sans arrêt. J’étais allée vers le bureau du responsable demander une explication .
Là j’avais constaté l’improbable : un moyen jeune avait un ordinateur portable branché sur le moniteur central . Mon texte était sur son écran. Il était en train de copier en direct ce que je faisais sur un ordinateur de la boutique.
Il avait tout débranché en catastrophe et avait quitté la boutique à toute vitesse.
C’était, il y a environ 8 ans. (texte écrit en 2011)
Depuis , il y a eu des dizaines de situations du même type et de plus en plus sophistiquées.
Il avait été fermé par capture du mot de passe par un cyber délinquant.
Certaines anomalies de comportement ne sont que des signaux faibles de participation à une entreprise qu’il faut bien appeler transnationale avec pour but seulement la destruction d’un être humain et apparemment , maintenant, par l’usure.
Certaines anomalies de situations peuvent être, au contraire, des signes de rejet de participation.
Mais au final , en s’acharnant sur la victime ou en la pénalisant pour ne pas être impliqués, les intervenants racontent la même organisation .
Ainsi, entre deux visites touristiques programmées, j’étais entrée dans un café internet de la grande rue de DUNEDIN . Le responsable du jour m’ avait annoncé qu’internet ne fonctionnait pas . Pourtant, ils étaient 5 ou 6 à agiter une souris devant un écran.
En traversant la rue, j’avais trouvé la bibliothèque municipale avec une connexion internet gratuite de 30 minutes . Comme partout dans le pays.
A partir d’ une ancienne adresse Email bien rôdée, j’avais envoyé mon message urgent. Cette adresse, utilisée pour une activité de bouquinerie pendant les 3 derniers mois de 2010, avait jusqu’ici réussi un sans faute.
Mais là, à Dunedin, la boite de réception de cette messagerie s’était fermée sitôt mon message envoyé . Sans mon intervention.
Sans gêne, Google m’avait demandé de retaper mon mot de passe.
J’avais ignoré ce caprice et tout fermé.
Dès le lendemain, et d’ailleurs, j’avais voulu interroger ma messagerie pour lire la réponse à mon message.
Impossible : GOOGLE avait bloqué cette messagerie pour “activité inhabituelle” et proposait de m’envoyer un code de déblocage si je laissais mon numéro de téléphone. Une nouvelle fois.
Avec un GOOGLE aussi réactif et tellement moral ou protecteur, normalement les gendarmes d’internet qui traquent les pédophiles en ligne ne devraient rien avoir à faire.
Mais faisons simple, pour avoir accès à mon message-réponse sur une messagerie bloquée, j’étais censée passer par les conditions indiquées . Je n’étais plus maître de mon mot de passe. Une fois le code donné par GOOGLE activé, cette messagerie là, aussi, serait définitivement sous contrôle.
Quelques jours plus tard, en remontant la grande rue principale de Dunedin, j’avais mis un pied dans le café internet de la dernière fois, en vue d’ une connexion.
Le responsable s’activait entre la machine à café et le comptoir tout en parlant avec une cliente .
A peine le deuxième pied posé à l’intérieur, j’avais appris qu’internet ne fonctionnait pas. Sans que je l’interroge, le patron du lieu m’avait conseillée d’aller me connecter chez un kiwi chinois
Pourtant… il y avait des clients devant des ordinateurs de son café internet, et les curseurs et le déroulement des écrans et des images répondaient à des mouvements de souris.
Le cyber espace du kiwi chinois , dix mètres plus loin, était OK.
La connexion de la bibliothèque municipale, de l’autre côté de la rue, également.
Et donc , seul, le café internet, dont la source de revenue est indiquée dans sa raison sociale aurait été incapable de se faire assurer une connexion-gagne pain par son fournisseur d’accès…
Pourtant , la publicité du café internet sur le trottoir n’annonçait pas ce contretemps de non- connexion.
Cette anecdote en rappelle bien d’autres .
Il y a maintenant 8 ans, j’avais l’habitude d’utiliser les services , connextion ou impression, de la boutique Recto/Verso, à ANGERS (49) . C’était toujours le même employé souriant derrière l’écran principal.
Sauf une fois, ou un jeune copain l’avait remplacé. L’employé souriant était arrivé au moment où je partais. Il avait fait la leçon à son remplaçant “ Quand c’est elle, tu fais une copier-coller de tout”
A peu près à la même époque à Paris, sachant ma ligne de téléphone peu sûre, j’avais pris une sorte d’ habitude dans un cyber espace , Boulevard Saint Michel.
Lors de ma troisième fois , le texte que j’écrivais sautait de l’écran sans arrêt. J’étais allée vers le bureau du responsable demander une explication .
Là j’avais constaté l’improbable : un moyen jeune avait un ordinateur portable branché sur le moniteur central . Mon texte était sur son écran. Il était en train de copier en direct ce que je faisais sur un ordinateur de la boutique.
Il avait tout débranché en catastrophe et avait quitté la boutique à toute vitesse.
C’était, il y a environ 8 ans. (texte écrit en 2011)
Depuis , il y a eu des dizaines de situations du même type et de plus en plus sophistiquées.
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