Harcèlement en réseau- intimidations - les bestioles
sculpture de rue- photographiée dans une ville allemande
Texte écrit en septembre 2011
Tout le monde connaît ou a entendu parler des petites menaces de type mafieux que sont les dépôts de petits insectes ou animaux crevés et même vivants.
Ces actes sont paraît-il destinés à créer des réactions hystériques ou anxieuses et à rendre dingue par leur répétition .
Ce qu’il faut garder en mémoire , c’est le délit qui précède le dépôt : une violation de domicile.
Même sans effraction des violation de domicile répétées sont des délits graves d’atteinte à la propriété et à la vie privée .
Ils signent des ruptures de contrat quand perpétrés par ou avec l’accord du propriétaire qui loue le lieu à la victime devenue « sa » victime et qu’il gruge cependant d’un paiement
.
Perpétrés sur tous les continents contre la même personne, ces délits sont aggravés de préméditation comploteuse. Il faut en effet connaître le domicile ou lieu de séjour de la victime pour pouvoir organiser la participation complaisante locale.
Cela pose toujours la question du ou des commanditaires et de la raison ou motivation de vassalité des exécutants.
Dans cette histoire où certains schémas de scénarios sont répétitifs, le dépôt de petites bêtes désagréables l’a été également. Les bestioles vivantes ou mortes ont toutes été prises en photo .
C’est la répétition de leur dépôt que j’ai noté ici à travers quelques exemples.
En 2005, à ANGERS au retour « du » week-end en Charente, j’avais trouvé l’appartement envahi de petites bestioles noires qui avaient crapahuté jusqu’entre les draps . Peu vraisemblable. Une macro photo avait permis de distinguer à l’avant deux petites pinces coupantes, comme celles des crabes , en miniature.
photo wikipédia
En 2008 , à SAINT MALO , rentrant après une semaine d’absence c’est une tarentule grasse noire et velue qui m’avait accueillie du milieu du mur blanc de la chambre. Elle semblait tétanisée , soit par la lumière que je venais d’allumer, soit par sa soudaine liberté si elle venait d’être libérée d’une petite boite. Ce qui était vraisemblable.
En 2010 à COFFS HARBOUR-Australie , c’est une araignée grise aux pattes gigantesques qui avait essayé de fuir la salle de bain à mon retour. Mais il n’y avait aucune issue .Je venais de m’absenter pour une petite course de proximité. Elle n’était pas là au moment de mon départ . Et le seul endroit par lequel elle aurait pu entrer était une fenêtre fermée munie en extérieur d’un grillage /tamis .
La propriétaire avait dit « qu’elle n’avait jamais vu ça ». Son mari Garry baissait le nez.
Au même endroit , je ferai la connaissance d’un cafard de presque 4 cms de long , au milieu du salon, les pattes empêtrées dans les poils de la moquette.
Sur une longueur de pièce de l’ordre de 15 m et vu sa vitesse de progression, j’aurais du l’ avoir eu déjà rencontré . Ce n’était pas le cas.
Je l’avais laissé se débrouiller. Le lendemain matin , il avait disparu.
Le lendemain midi en revenant de la plage où j’étais surveillée comme chaque jour par un italo/corse, l’appartement empestait l’insecticide. Le lino de la cuisine était gluant du produit répandu.
Betty était donc entrée pendant mon absence pour tuer « son » cafard. Garry baissait toujours le nez quand il me croisait.
Avant mon départ, Betty m’avait demandé comment je faisais pour résister.
COFFS HARBOUR était un endroit où les italo/corses étaient très présents.
Avant de louer un appartement chez Garry et Betty, j’avais loué un bungalow chez Jeannette .
Une fois mes valises posées , j’avais soigneusement inspecté le bungalow, fermé portes intérieures fenêtres et rideaux , laissé mon sac à main derrière une porte de chambre , et fermé la porte extérieure le temps d’aller faire des courses.
A mon retour j’avais trouvé les fenêtres et les rideaux donnant sur la terrasse ouverts . Pendant mon absence une famille de cinq gros papillons velus étaient venus crever pattes en l’air sur le bord d l’évier.
Accessoirement mon porte feuille, dans le sac derrière la porte, avait été délesté d’un billet de 100 dollars
Avant COFFS HARBOUR , j’avais déjà eu le coup des papillons crevés pattes en l’air dans la salle de bain du Springfield Lodge à SYDNEY . Ils étaient cachés sous la serviette de bain qui avait été opportunément jetée par terre.
La restauration de cet hôtel était assurée par des voisins italo/corses.
Ces papillons australiens m’avaient rappelé ceux de SAINT MALO , retrouvés dans la baignoire pattes en l’air au retour d’une absence d’une semaine. Toute une famille de gros papillons blancs s’était ainsi donné rendez-vous pour venir crever dans ma salle de bain , en mon absence, incognitos.
*
C’est à COFFS HARBOUR dans le bengalow loué par Jeannette que je trouverai en 2010 mes chaussures d’été tailladées, comme cela s’est et s’était pratiqué à PARIS XIV, à ANGERS, à DOL de BRETAGNE, à SAINT MALO , bien avant, puis à PARIS XV et à PERTH ( Australie - en 2011) depuis.
*
Texte écrit en septembre 2011
Tout le monde connaît ou a entendu parler des petites menaces de type mafieux que sont les dépôts de petits insectes ou animaux crevés et même vivants.
Ces actes sont paraît-il destinés à créer des réactions hystériques ou anxieuses et à rendre dingue par leur répétition .
Ce qu’il faut garder en mémoire , c’est le délit qui précède le dépôt : une violation de domicile.
Même sans effraction des violation de domicile répétées sont des délits graves d’atteinte à la propriété et à la vie privée .
Ils signent des ruptures de contrat quand perpétrés par ou avec l’accord du propriétaire qui loue le lieu à la victime devenue « sa » victime et qu’il gruge cependant d’un paiement
.
Perpétrés sur tous les continents contre la même personne, ces délits sont aggravés de préméditation comploteuse. Il faut en effet connaître le domicile ou lieu de séjour de la victime pour pouvoir organiser la participation complaisante locale.
Cela pose toujours la question du ou des commanditaires et de la raison ou motivation de vassalité des exécutants.
Dans cette histoire où certains schémas de scénarios sont répétitifs, le dépôt de petites bêtes désagréables l’a été également. Les bestioles vivantes ou mortes ont toutes été prises en photo .
C’est la répétition de leur dépôt que j’ai noté ici à travers quelques exemples.
En 2005, à ANGERS au retour « du » week-end en Charente, j’avais trouvé l’appartement envahi de petites bestioles noires qui avaient crapahuté jusqu’entre les draps . Peu vraisemblable. Une macro photo avait permis de distinguer à l’avant deux petites pinces coupantes, comme celles des crabes , en miniature.
photo wikipédia
En 2008 , à SAINT MALO , rentrant après une semaine d’absence c’est une tarentule grasse noire et velue qui m’avait accueillie du milieu du mur blanc de la chambre. Elle semblait tétanisée , soit par la lumière que je venais d’allumer, soit par sa soudaine liberté si elle venait d’être libérée d’une petite boite. Ce qui était vraisemblable.
En 2010 à COFFS HARBOUR-Australie , c’est une araignée grise aux pattes gigantesques qui avait essayé de fuir la salle de bain à mon retour. Mais il n’y avait aucune issue .Je venais de m’absenter pour une petite course de proximité. Elle n’était pas là au moment de mon départ . Et le seul endroit par lequel elle aurait pu entrer était une fenêtre fermée munie en extérieur d’un grillage /tamis .
La propriétaire avait dit « qu’elle n’avait jamais vu ça ». Son mari Garry baissait le nez.
Au même endroit , je ferai la connaissance d’un cafard de presque 4 cms de long , au milieu du salon, les pattes empêtrées dans les poils de la moquette.
Sur une longueur de pièce de l’ordre de 15 m et vu sa vitesse de progression, j’aurais du l’ avoir eu déjà rencontré . Ce n’était pas le cas.
Je l’avais laissé se débrouiller. Le lendemain matin , il avait disparu.
Le lendemain midi en revenant de la plage où j’étais surveillée comme chaque jour par un italo/corse, l’appartement empestait l’insecticide. Le lino de la cuisine était gluant du produit répandu.
Betty était donc entrée pendant mon absence pour tuer « son » cafard. Garry baissait toujours le nez quand il me croisait.
Avant mon départ, Betty m’avait demandé comment je faisais pour résister.
COFFS HARBOUR était un endroit où les italo/corses étaient très présents.
Avant de louer un appartement chez Garry et Betty, j’avais loué un bungalow chez Jeannette .
Une fois mes valises posées , j’avais soigneusement inspecté le bungalow, fermé portes intérieures fenêtres et rideaux , laissé mon sac à main derrière une porte de chambre , et fermé la porte extérieure le temps d’aller faire des courses.
A mon retour j’avais trouvé les fenêtres et les rideaux donnant sur la terrasse ouverts . Pendant mon absence une famille de cinq gros papillons velus étaient venus crever pattes en l’air sur le bord d l’évier.
Accessoirement mon porte feuille, dans le sac derrière la porte, avait été délesté d’un billet de 100 dollars
Avant COFFS HARBOUR , j’avais déjà eu le coup des papillons crevés pattes en l’air dans la salle de bain du Springfield Lodge à SYDNEY . Ils étaient cachés sous la serviette de bain qui avait été opportunément jetée par terre.
La restauration de cet hôtel était assurée par des voisins italo/corses.
Ces papillons australiens m’avaient rappelé ceux de SAINT MALO , retrouvés dans la baignoire pattes en l’air au retour d’une absence d’une semaine. Toute une famille de gros papillons blancs s’était ainsi donné rendez-vous pour venir crever dans ma salle de bain , en mon absence, incognitos.
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C’est à COFFS HARBOUR dans le bengalow loué par Jeannette que je trouverai en 2010 mes chaussures d’été tailladées, comme cela s’est et s’était pratiqué à PARIS XIV, à ANGERS, à DOL de BRETAGNE, à SAINT MALO , bien avant, puis à PARIS XV et à PERTH ( Australie - en 2011) depuis.
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