Harcèlement en réseau- les coffres
Texte de 2011
Dans cette ordinaire histoire crapuleuse de type mafieux, le sordide a souvent été en compétition avec les combines en tous genres destinées à installer un profond et durable sentiment d’insécurité .
Ce sentiment d’insécurité a deux fonctions.
- prouver la suprématie totale de l’organisation
- mener la victime au suicide ou à la folie.
Les hommes qui ont inventé cette guerre aux femmes , surtout, y trouvent la justification de leur appartenance à leur groupe de connivence .
Connivence à base de pressions , compromissions diverses et actes illégaux, destinées à assurer leur domination et la continuation du patriarcat tel qu’ils l’aiment.
Sans obligation d’engagement social ou sociétal, certains membres de ce groupe, grâce à une interprétation biaisée des statuts de leur association , s’adonnent aux violations en tous genres, faites ou déléguées.
Actes censés venir en aide à l’un des leurs.
Tous prétextes pour voler, exprimer la haine ou un désir de revanche ..
Les viols sont affublés de pareils prétextes.
***
Pour compléter les violations d’appartements, de voitures , de bagages , ce groupe se donne, ainsi et en plus, accès aux coffres des hôtels.
Tout naturellement.
A l’hôtel Ibis de Pornichet, les coffres étaient mis à disposition dans un local proche de l’accueil. Il fallait se faire ouvrir la porte de ce local par le gérant avant d’accéder à la série de coffres.
En revenant dans l’hôtel , j’avais noté la présence de 3 hommes assis face à la réception. Ils avaient des physiques à la « lino Ventura » et des vêtements bien repassés d’hommes pourvus d’épouses attentionnées.
C’était le gérant de l’hôtel qui était à l’accueil. Il avait fait un signe du menton aux trois hommes qui s’étaient aussitôt levés pour partir.
L’ascenseur n’avait pas eu le temps de me déposer à l’étage , je l’avais immédiatement reprogrammé pour le rez-de-chaussée
Là, j’avais demandé au gérant de l’hôtel de me donner accès à mon coffre.
Bingo.
Le contenu avait été fouillé et laissé en pagaille.
Sciemment.
*
A Oslo , de la même manière , le local des coffres était près de la réception.
Chaque coffre fermait avec une clé différente qui était confiée au client utilisateur.
Quand j’avais voulu récupérer mes affaires, ma clef n’ouvrait plus mon coffre.
Il avait fallu faire intervenir le responsable de la sécurité.
Quelqu’un avait essayé d’ouvrir mon coffre , sans réussir.
Le système général s’était bloqué.
*
A Vienne ( Autriche), chaque chambre était pourvue d’un coffre personnel avec code confidentiel à fabriquer soi-même.
J’avais changé le code du mien chaque jour.
Le dernier jour, en sortant mes affaires du coffre , j’y avais trouvé ce que les violeurs de coffre y avaient ajouté : l’étiquette d’une cravate achetée à Taiwan et divers tickets de caisse et factures d’ailleurs ne m’appartenant pas , et sans intérêt.
L’intérêt était dans la violation et la volontaire démonstration d‘insécurité.
En observant le coffre avec plus d’attention, photo à l’appui, j’avais découvert qu’une petite plaque fixée sur le coffre avait été arrachée et reposée maladroitement.
Elle recouvrait une serrure. Celle qui ouvrait le coffre en cas d’oubli du code.
La clé était donc à disposition quelque part.
La petite plaque avait été mal remise .
Pour prouver le méfait.
****
Dans cette ordinaire histoire crapuleuse de type mafieux, le sordide a souvent été en compétition avec les combines en tous genres destinées à installer un profond et durable sentiment d’insécurité .
Ce sentiment d’insécurité a deux fonctions.
- prouver la suprématie totale de l’organisation
- mener la victime au suicide ou à la folie.
Les hommes qui ont inventé cette guerre aux femmes , surtout, y trouvent la justification de leur appartenance à leur groupe de connivence .
Connivence à base de pressions , compromissions diverses et actes illégaux, destinées à assurer leur domination et la continuation du patriarcat tel qu’ils l’aiment.
Sans obligation d’engagement social ou sociétal, certains membres de ce groupe, grâce à une interprétation biaisée des statuts de leur association , s’adonnent aux violations en tous genres, faites ou déléguées.
Actes censés venir en aide à l’un des leurs.
Tous prétextes pour voler, exprimer la haine ou un désir de revanche ..
Les viols sont affublés de pareils prétextes.
***
Pour compléter les violations d’appartements, de voitures , de bagages , ce groupe se donne, ainsi et en plus, accès aux coffres des hôtels.
Tout naturellement.
A l’hôtel Ibis de Pornichet, les coffres étaient mis à disposition dans un local proche de l’accueil. Il fallait se faire ouvrir la porte de ce local par le gérant avant d’accéder à la série de coffres.
En revenant dans l’hôtel , j’avais noté la présence de 3 hommes assis face à la réception. Ils avaient des physiques à la « lino Ventura » et des vêtements bien repassés d’hommes pourvus d’épouses attentionnées.
C’était le gérant de l’hôtel qui était à l’accueil. Il avait fait un signe du menton aux trois hommes qui s’étaient aussitôt levés pour partir.
L’ascenseur n’avait pas eu le temps de me déposer à l’étage , je l’avais immédiatement reprogrammé pour le rez-de-chaussée
Là, j’avais demandé au gérant de l’hôtel de me donner accès à mon coffre.
Bingo.
Le contenu avait été fouillé et laissé en pagaille.
Sciemment.
*
A Oslo , de la même manière , le local des coffres était près de la réception.
Chaque coffre fermait avec une clé différente qui était confiée au client utilisateur.
Quand j’avais voulu récupérer mes affaires, ma clef n’ouvrait plus mon coffre.
Il avait fallu faire intervenir le responsable de la sécurité.
Quelqu’un avait essayé d’ouvrir mon coffre , sans réussir.
Le système général s’était bloqué.
*
A Vienne ( Autriche), chaque chambre était pourvue d’un coffre personnel avec code confidentiel à fabriquer soi-même.
J’avais changé le code du mien chaque jour.
Le dernier jour, en sortant mes affaires du coffre , j’y avais trouvé ce que les violeurs de coffre y avaient ajouté : l’étiquette d’une cravate achetée à Taiwan et divers tickets de caisse et factures d’ailleurs ne m’appartenant pas , et sans intérêt.
L’intérêt était dans la violation et la volontaire démonstration d‘insécurité.
En observant le coffre avec plus d’attention, photo à l’appui, j’avais découvert qu’une petite plaque fixée sur le coffre avait été arrachée et reposée maladroitement.
Elle recouvrait une serrure. Celle qui ouvrait le coffre en cas d’oubli du code.
La clé était donc à disposition quelque part.
La petite plaque avait été mal remise .
Pour prouver le méfait.
****
Commentaires
Enregistrer un commentaire