Harcèlement en réseau- hélicos - motards- personnel de l'armée


HELICOS 
On en trouve un peu partout dans le ciel.
Ceux dont il est question  étaient  systématiquement trop près de ma voiture. Et justement  à des moments où j’avais essayé de m’éclipser sans prévenir.
Leur présence et passage  étaient par ailleurs suivis de conséquences
gênantes et devenues  trop  familières.

Ainsi , en filant vers le pont de la Rance, en direction de Dinard, je n’avais pas pu rater un hélicoptère de la gendarmerie qui attendait en apparent vol stationnaire.
Il n’avait viré pour partir qu’ à l’exact moment où j’avais dépassé son point d’observation .
C’était le   4 février 2006.
Dans la maison familiale où j’allais rester quelques jours, un résident  inconnu s‘était mis à marquer son territoire.
Dans ma chambre.
Je l’avais croisé sortant de mon étage, dans une partie du bâtiment à l’opposé de l’endroit où il était logé.
Il avait détourné la tête, comme si cela le cachait.
Après cette rencontre il avait  cessé ses agressions  verbales ,  essayant même de cacher son nom noté sur son porte serviette.
Peine perdue.
*
Ce 4 juin 2006 , j’avais eu l’impression d’avoir échappé à toute poursuite où surveillance.
Je venais d’atteindre  le calme quartier de la Vicomté à Dinard.
Ma voiture était  dans un  étroit parking à ciel ouvert   protégé par de très hauts  murs   et fermé par un portail à code  .
J’allais descendre vers la plage , relax . ..
Mais le charme du calme de l’endroit avait été rompu. Un hélicoptère de la gendarmerie  faisait des ronds bruyants dans le ciel . Trop près de nos têtes.
Il était 18h30.
Le lendemain, le portail électronique du parking sera retrouvé ouvert-cassé.
 Dans ma voiture, portières fermées, quelqu’un était venu déposer un petit tas de fleurs de tilleul séché.
Il n’y avait aucun arbre tilleul dans la cour ou  en bordure de ce parking.

Il paraît que le tilleul est leur message pour dire « calmez-vous »
Tout comme les pansements ou le sparadrap seraient censés  signifier « faites vous soigner »
*
Ce 26 août 2006, je venais d’arriver à La Rochelle  chez des amies. L’invitation et le rendez-vous avaient été transmis  de vive voix.
Ma voiture était stationnée dans une rue  tout près de l’appartement.
A peine ½ heure après mon arrivée, un hélicoptère de la gendarmerie  était venu faire des ronds  au dessus de ce quartier résidentiel sans histoire et majoritairement  occupé par de gens âgés.

Mes amies  s’étaient inquiétées. Elles n’avaient jamais vu d’ hélicoptères avant  au-dessus de ce quartier.
Et elles n’avaient  jamais vu avant ce jour, non plus, les lampes qui s’allumaient toutes seules pendant nos absences, ni une poignée de poste de radio qui s’était cassée toute seule, elle aussi,  pendant notre absence, ni tous ces messieurs inquisiteurs qui nous suivaient sous forme de relais lors de  nos ballades. Quelles qu’elles soient et où qu‘elles nous aient menées..
Et bien sûr. Mes hôtes  n’avaient pas aimé.
Elles avaient pris leurs distances.
*
MOTARDS
Les motards dont il est question   sont différents des « bikers » ordinaires.
Il s’agit ici de motards  en uniformes payés par nos impôts.

En revenant du TGI de Saumur, j’étais passée à Longué  (45) visiter l’église de la légion d’honneur .
Pour éviter les inondations, elle avait été construite sur un monticule et au milieu d’une place qui ne semble avoir qu’une seule voie d’accès.
J’avais vu eu le privilège d’une visite guidée.
Et la surprise de voir un motard en uniforme qui attendait en bas de la place , au niveau de la seule rue de sortie.
Le motard était seul. Il se tenait près de sa moto , appuyé au mur, bras croisés, l’air nonchalant,  répondant aux messages de son oreillette.
La place était vide. Sauf moi et lui.
C’était le 18 avril 2006.
Et comme d’habitude j’avais relevé le numéro sa plaque de  moto .
*
Quelques jours plus tard, j’avais arrêté ma voiture sur une place de Brissac,  ville maintenant soulagée de toute circulation importante par une rocade de contournement.
Une petite poignée de minutes plus tard, deux motards en uniforme  étaient arrivés.  Ils avaient  mis pied à terre  à moins de trois mètres de mon véhicule. Pour un apparent contrôle routier … très très allégé.
Puis, le portail à ma gauche s’était ouvert. Un préposé en avait sorti une voiture de gendarmerie qu’il était venu stationner de l’autre côté de ma voiture.  Il était parti .
Mon véhicule était ainsi  encadré de  représentants de l’armée.
Sans grande occupation
Tous numéros de plaques à disposition.

J’avais   quitté  la place  pour me rendre à pied  au lieu de rendez-vous où une amie m’attendait dans sa voiture.
Une autre victime.
Elle avait démarré, suivie immédiatement  par une  voiture de la gendarmerie qui nous avait accompagnées jusqu’à la limite de la ville , avant de faire demi tour.
*.
CIVIL
C’était dans une abbaye du fin fond de la Bretagne.
Ce 15 janvier 2006 , un monsieur borgne qui se disait civil-retraité  de l’armée  était arrivé, suivi comme son ombre par un jeune homme qui se disait étudiant en droit.
Dans cette Abbaye, bénédictine les repas se prenaient en silence.
Le monsieur borgne avait rompu le silence  et s’était mis à m’apostropher en me tutoyant.
Je n’avais pas réagi, par respect du lieu.
Alors il s’était excité tout seul en proférant  une kyrielle de grossièretés sur les femmes ,  leur utilité pour les hommes et leur utilisation.
Il y avait plusieurs autres femmes. Mais il ne s’adressait qu’à moi.
J’avais  regagné ma chambre.

Pendant la nuit, quelqu’un était entré dans ma chambre.
J’étais dans un état comateux. Incapable de réagir.
Le lendemain matin, je me lèverai péniblement. Nauséeuse et épuisée.
Un document que j’avais laissé sur ma table de travail avait disparu.
*
RETRAIT
L’ami d’enfance de cette dame était un ancien gendarme, père d’une famille très nombreuse.
La dame ne s’entendait pas avec l’épouse de son ami d’enfance.
L’ancien gendarme venait de décéder .
La dame, qui était notre voisine en province, m’avait sollicitée  pour la remplacer à l’enterrement.
Je m’étais exécutée en bon petit soldat, signant également le registre des condoléances. 

En octobre 2002, l’un des enfants du décédé, lui-même ancien de la garde républicaine,  avait pris   l’initiative de me téléphoner . Je ne le connaissais pas. Pourtant, il voulait à tout prix me parler.
Au cours de cette  rencontre surréaliste , il m’avait appris qu’il était allé chez moi à Paris , dans mon appartement, pendant mon absence.
Les clés ?
La concierge.
Il  avait oublié de mentionner son sésame aux couleurs du drapeau français .

Le reste de son monologue avait été  à l’avenant.
Un  échafaudage  de propos et de propositions  provocatrices 
Un passe-temps favori de ces grands garçons infatués de leur supériorité de groupe et confortés par l’absolu mutisme  de leur employeur mais surtout la puissance destructrice de ses réseaux cachés. 
 
Ce monsieur  était   doté de 7 ou 8 frères et sœurs . Ce jour là, il m’avait proposé de devenir le  TUTEUR de sa mère. .
***
LA VISITE
Au moment de mon départ de Dol de Bretagne, le propriétaire avait voulu faire faire une visite à des futurs locataires , un dimanche . Sans m’avoir prévenue.
L’aspirant  locataire portait le pull over de la gendarmerie . Sa jeune épouse portait leur prochain enfant.
J’avais fermé la porte derrière elle. En me retournant j’avais poussé un cri.
L’homme au pull over bleu à bande d’ épaulement blanche était en train de barboter  le carnet que j’avais laissé sur la table.
Il l’avait reposé.

A l’étage, il s’était débrouillé pour trainer dans une chambre.
Ça avait été pour jeter sur le sol un élastique blanc. Comme j'en retrouverai , partout , apr ailleurs.


Juillet 2011 . Autoroute Paris-Nantes Une voiture avait doublé tout le monde en 3ème file à plus de 160 Kms/h.
En cette période de vacances, avec la crainte du gendarme à cause  de contrôles routiers redoublés et de sanctions implacables , on pouvait penser qu’il s’agissait d’un fonctionnaire de l’Etat en mission urgente .
Gagné.
Pour le premier volet de la réflexion.

Arrivée à une station service, j’avais laissé mon véhicule  loin de la foule, au-delà des pompes à essence.
Sortant du bâtiment principal après un café de réconfort et quelques minutes plus tard  j’avais constaté que ma voiture n’était plus seule. Le bolide qui avait roulé  à 160 kms/h++ sur l’autoroute était  maintenant stationné à côté. Il était facilement reconnaissable grâce à son immatriculation avec 3 numéros de département.
Le conducteur se tenait entre les 2 véhicules l’air à la fois arrogant et mécontent  qui détonait avec le bob de rigolo qu’il s’était enfoncé sur le crâne.

C’était bien un fonctionnaire de l’Etat. Nous avions fréquentés le même stage pendant quelques mois.
Son entreprise de harcèlement au sein de ce stage , jointe au micro-ondage intensif de cette période , avait eu raison de mon envie  de compréhension de cette situation.
Ou plutôt  , il l’avait comblée .
Ce représentant de l’Etat , que je ne connaissais pas  hors ce stage, à qui je n’avais rien fait de personnel, avait organisé son  harcèlement sur une rumeur qui m’avait été rapportée.
Selon lui, il fallait , me punir ( moi une femme sans importance) d’avoir mal parler de l’armée.
Confondant allègrement  dénigrement avec    dénonciation  ponctuelle .
Un amalgame curieux pour quelqu'un qui avait présenté un diplôme de 3ème cycle !!!


  Réseaux nauséabonds , dans et à la frange des institutions d’Etat,  qui cherchent tous prétextes où les inventent ,  pour se mettre en branle et  nuire ,.


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