Harcèlement en réseau - empêchements
Texte de 2011
L’empêchement est , bien sûr, intentionnel et concerté.
Il consiste à compliquer les situations les plus basiques du quotidien, et à éviter qu’elles n’aient un déroulement normal ou une solution.
Il comporte souvent plusieurs sous couches de participants, ce qui le rend plus difficile à déceler .
Comme dans le cas des brimades l’empêchement peut toujours être justifié et requalifié selon les situations ou les personnes par un glissement sémantique quelconque .
Les organisateurs se chargent régulièrement de le présenter à nouveau comme une erreur ou une négligence de leur part , et mieux un manquement ou une faute de la victime.
Grâce aux manipulateurs astucieux de réseaux cachés derrière leurs enseignes , l’empêchement deviendra rapidement un cas relevant de services de contentieux ou de la justice.
Au mieux pour les organisateurs, les empêchements seront concomitants,et mis en place pendant des absences de la victime où à des moments de vulnérabilité particulière .
Le moment privilégié de l’ absence évite toute réaction de la victime. Par exemple pour régler
un problème un délai de réponse lui a été notifié après son départ. Elle n’en a pas connaissance .Les situations pourront prendre ainsi pendant ce temps des proportions rocambolesques et délibérément coûteuses.
**
J’ai expérimenté ce phénomène avec une régularité d’abonnée.
**
Plus généralement, obligée de se débattre au milieu de complications préfabriquées incessantes, l’énergie et l’attention de la victime seront mobilisées sur des détails imbéciles transformés en montagnes d’ennuis et de dépenses annexes et augmentées astucieusement de façon vertigineuse.
L’empêchement est une des méthodes asphyxiantes à l’usage des victimes de ces réseaux crapuleux nommés craintivement les " réseaux administratifs" .
**
Cette méthode éprouvée , qui donne aux victimes l’impression que le ciel tombe seulement sur leur tête m’ avait été annoncée avec une impudence d’initiée , par la fille du notaire de province :
« on va la fatiguer, après on verra «
**
Voici ici quelques exemples, à l’usage des victimes qui sont presque toujours des femmes seules, résistantes méritantes et que des hommes en bandes organisées de ce pays pourri du trognon, ne pensent qu‘à voler, humilier et violer.
***
J’avais déposé mon dossier de plainte contre X avec CPC destiné à la chambre d’instruction normalement, avant de m’apercevoir que mon adresse avait été mal transcrite.
Une voyelle du nom de la rue avait été remplacée par une autre.
L’adresse avait ainsi un nom de rue inconnue dans Paris.
J’étais immédiatement retournée au tribunal demander une correction que la préposée m’avait annoncée inutile.
J’avais du insister .
***
Plus tard pendant que mon dossier de plainte contre X avec CPC passait l’épreuve de la Cour d’Appel, j’avais continué à partager mon temps entre Paris et la province.
Cette fois là j’étais revenue sur Paris deux jours plus tôt que d’habitude.
Dans mon courrier, j’avais trouvé la réponse négative de la Cour d’Appel.
Un réponse négative n’empêche pas un recours .
Mais ce recours a un délai. Au delà d’un certain temps écoulé , il devient irrecevable. Un courrier du tribunal comporte toujours cette information.
Dans le courrier qui m’était adressé, il n’y avait aucune information.
En fait, le jour où j’avais pris connaissance de ce courrier envoyé pendant mon absence habituelle et régulière de Paris, était le dernier jour où le dépôt de ce recours était encore acceptable.
Normalement, d’habitude je restais régulièrement deux jours de plus en province.
J’avais foncé au tribunal inscrire ma demande de recours auprès de la Cour de Cassation.
***
J’étais au Canada au moment où la Cour de Cassation devait rendre son rapport sur le dossier que je lui avais présenté seule en qualité de victime dans une plainte au pénal.
Il y avait possibilité d’avoir accès à ce rapport par internet .
Cette consultation devait me permettre d’y répondre, si besoin, et dans le délai de temps imparti.
Pour consulter le rapport en ligne, il suffisait de demander un mot de passe à la Cour de Cassation.
Pour cela il fallait donner le numéro attribué au dossier et une adresse Email pour la réception du mot de passe.
Conscient de ma connexion internet française sous haute surveillance, j’avais attendu d’être au canada pour faire cette demande.
De l’université de Montréal , j’avais fabriqué une adresse Email dédiée à ce sujet et fait ma demande. Le système informatique de cet endroit était performant et sous surveillance constante.
J’étais retournée à la salle informatique de l’université pour ouvrir la réponse de la Cour de Cassation. Cette réponse comportait deux fichiers en pièces jointes. L’un des fichiers affichait le logo de la Cour de Cassation. Le deuxième fichier était vide.
Du même endroit, j’avais fabriqué une nouvelle adresse et renouvelé ma demande.
Pour ne pas prendre de risque, la seconde fois, j’avais demandé l’aide de l’informaticien de la salle informatique de l’université de Montréal. J’avais ouvert l’Email en sa présence et je l’avais laissé ouvrir les fichiers en pièces attachées.
Le premier fichier donnait le logo de la Cour de Cassation.
Le deuxième fichier qui devait contenir le mot de passe pour lire le rapport était …. VIDE.
Ce qui aurait du m’empêcher de répondre à ce rapport .
Ce rapport, comme tous ceux de la cour de cassation devait dire si la procédure était ou non conforme au droit.
Au final , le droit avait été peu abordé .
Le rapport avait ignoré les anomalies grotesques de la procédure pour privilégier un essaimage d’insinuations et de ragots dévastateurs..
C’était un document public .
***
En décembre 2010, avant de partir pour plusieurs semaines, j’avais réglé par courrier ou téléphone la plus part des situations qui demandaient une réponse ou un paiement.
***
Lors de mon séjour de trois mois à Troyes, j’avais acheté un matériel de connexion internet chez l’opérateur- bâtisseur . Une clé 3G ‘plug & play »
Plug était OK. Play était sans fonction.
Sur l’écran de l’ordinateur un message s’était affiché , donnant un numéro de téléphone en cas de besoin. Je l’avais appelé. C’était une messagerie France télécom qui répondait à ce numéro de Bouygues L’embrouille habituelle.
J’avais reporté le matériel à la boutique vendeuse. La responsable avait appelé un technicien de la l’opérateur choisi . Ce dernier nous avait appris que la carte SIM du matériel qui m’avait été vendu était enregistré au nom de quelqu’un d’autre.
* .
J’avais laissé le matériel à la boutique, le temps d’aller acheter une boite colissimo à la poste .
Au retour, la responsable de la boutique avait contrôlé que le matériel de l’opérateur - bâtisseur que j’avais voulu acheter et qui ne fonctionnait pas, était bien mis dans la boite avec un courrier d’explication refusant ce matériel défectueux.
Boite refermée devant elle.
Colissimo envoyé.
La société de l’opérateur avait réclamé des paiements d’abonnement à plusieurs reprises.
J’avais répondu en LAR avec toutes explications et preuves d’envoi.
Affaire, semblait-il , solutionnée.
A mon retour en France en mai 2011, mon courrier débordait des lettres de cet opérateur ( Bouygues) et de celles de sa société de contentieux mise en branle pendant mon absence.
Les montants qu’elle réclamait avait doublé à chaque courrier.
Cela avait commencé très exactement après mon départ.
***
NOOS avec qui j’avais cessé un abonnement en octobre 2010 réclamait 25 euros non identifiés à cette époque.
J’avais demandé la justification de ce montant .Rien . Ni en octobre, ni en novembre, ni en décembre 2010
En mai 2011, à mon retour , je découvrirai que NOOS avait mis, pendant mon absence, le recouvrement de cette somme entre les mains d’une société de contentieux.
****
Et les meilleures pour la fin .
*
Lors de l’agression par mon voisin de palier artiste-peintre J-J WALTI j’avais porté plainte pour injures et menaces de mort.
Les menaces de mort avaient été explicitées. Le CD envoyé avec ma plainte les faisait entendre.
La plainte avait été classée.
J’avais fait appel .
Ça avait été pour finalement me voir notifier par le parquet, que cette plainte au pénal avait été traitée par une autre administration.
Comme tout contribuable découvrant cette inconnue, j’avais demandé le nom de l’administration qui remplaçait la justice pénale , en France.
Ma lettre était restée sans réponse.
*
J’avais alors porté plainte avec CPC auprès du doyen des juges, pour les injures et menaces de ce quasi inconnu..
La réponse avait trainé, la demande de consignation aussi..
En décembre 2010, j’avais appelé le cabinet du juge.
Dès cet appel il aurait eu le temps de m’envoyer la demande de consignation . Avant mon départ.
Il ne l’avait pas fait.
Au lieu de cela , la personne au téléphone avait décidé de ne m’envoyer son courrier de demande de consignation qu’après le 1er mai 2011.
Promis . Elle le tenait au chaud.
A mon retour , le 1er mai 2011, je n’avais pas vraiment eu la surprise d’une demande de consignation envoyée par le cabinet du juge dès le 10 janvier 2011 . Donc pendant mon absence signalée et même sitôt mon départ.
La date butoir d’irrecevabilité de la plainte était fixée au 15 février 2011, si la consignation n‘était pas payée avant.. J'étais alors en Australie pour 3 mois.
Affaire classée et qui évitait que l’artiste peintre ne puisse être inquiété et donner officiellement le nom de ses commanditaires .
Ce qu’il me confiait pourtant si facilement au milieu de ses hurlements injurieux.
Arrogant et lâche face à une femme seule, quand il se croyait sans témoins
Bien protégé par une justice qui préférait les crapules aux victimes.
***
C’est également pendant cette période d’absence que des services de police avaient eu l’irrépressible besoin de m’entendre
Quatre convocations.
Naturellement à défaut de présentation ou de réponse, deux de ces convocations précisaient que le procureur en tirerait les conséquences: classement sans suite.
Ma dernière plainte obligée, pour vols de carnets de chèques, datait de mai 2010 . Quelques semaines plus tard un contact écrit au greffe du tribunal m’avait appris, écrit, que ma plainte n’existait pas.
Comme de nombreuses autres plaintes , elle avait fini à la poubelle d’un poste de police. C’est ce qui permettait de comprendre que certains dossiers de victimes soient VI-DES parce que systématiquement VI-DéS .
La gardienne de la paix d’Angers qui me l’avait déclaré avait même crié d’agacement « est-ce que vous comprenez ? » Quoi ? que je paie des impôts pour rien ?
***
SFR aurait du recevoir le 15 décembre 2010 un dossier de prélèvement mensuel. Il avait été envoyé à la seule adresse indiquée sur les lettres.
En Mai 2011, j’avais dans mon courrier une mise en demeure de sa société de contentieux.
J’avais appelé par deux fois les services SFR et réglé le montant du à cause de leur négligence. Les employés avaient entre les mains , le chèque, sous les yeux toutes les informations concernant le numéro de la ligne et les numéros de facture.
La ligne avait été rétablie.
SFR s ‘était engagé à régler le différent avec la société de contentieux.
En fait un mois plus tard, SFR prétendait n’avoir pas mis le chèque en recouvrement faute d’information suffisante sur la ligne qu’il m’avait attribué.
La société de contentieux avait doublé ses prix.
Une situation banale , mais qui s’ajoute à trop d’autres semblables.
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L’empêchement est , bien sûr, intentionnel et concerté.
Il consiste à compliquer les situations les plus basiques du quotidien, et à éviter qu’elles n’aient un déroulement normal ou une solution.
Il comporte souvent plusieurs sous couches de participants, ce qui le rend plus difficile à déceler .
Comme dans le cas des brimades l’empêchement peut toujours être justifié et requalifié selon les situations ou les personnes par un glissement sémantique quelconque .
Les organisateurs se chargent régulièrement de le présenter à nouveau comme une erreur ou une négligence de leur part , et mieux un manquement ou une faute de la victime.
Grâce aux manipulateurs astucieux de réseaux cachés derrière leurs enseignes , l’empêchement deviendra rapidement un cas relevant de services de contentieux ou de la justice.
Au mieux pour les organisateurs, les empêchements seront concomitants,et mis en place pendant des absences de la victime où à des moments de vulnérabilité particulière .
Le moment privilégié de l’ absence évite toute réaction de la victime. Par exemple pour régler
un problème un délai de réponse lui a été notifié après son départ. Elle n’en a pas connaissance .Les situations pourront prendre ainsi pendant ce temps des proportions rocambolesques et délibérément coûteuses.
**
J’ai expérimenté ce phénomène avec une régularité d’abonnée.
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Plus généralement, obligée de se débattre au milieu de complications préfabriquées incessantes, l’énergie et l’attention de la victime seront mobilisées sur des détails imbéciles transformés en montagnes d’ennuis et de dépenses annexes et augmentées astucieusement de façon vertigineuse.
L’empêchement est une des méthodes asphyxiantes à l’usage des victimes de ces réseaux crapuleux nommés craintivement les " réseaux administratifs" .
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Cette méthode éprouvée , qui donne aux victimes l’impression que le ciel tombe seulement sur leur tête m’ avait été annoncée avec une impudence d’initiée , par la fille du notaire de province :
« on va la fatiguer, après on verra «
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Voici ici quelques exemples, à l’usage des victimes qui sont presque toujours des femmes seules, résistantes méritantes et que des hommes en bandes organisées de ce pays pourri du trognon, ne pensent qu‘à voler, humilier et violer.
***
J’avais déposé mon dossier de plainte contre X avec CPC destiné à la chambre d’instruction normalement, avant de m’apercevoir que mon adresse avait été mal transcrite.
Une voyelle du nom de la rue avait été remplacée par une autre.
L’adresse avait ainsi un nom de rue inconnue dans Paris.
J’étais immédiatement retournée au tribunal demander une correction que la préposée m’avait annoncée inutile.
J’avais du insister .
***
Plus tard pendant que mon dossier de plainte contre X avec CPC passait l’épreuve de la Cour d’Appel, j’avais continué à partager mon temps entre Paris et la province.
Cette fois là j’étais revenue sur Paris deux jours plus tôt que d’habitude.
Dans mon courrier, j’avais trouvé la réponse négative de la Cour d’Appel.
Un réponse négative n’empêche pas un recours .
Mais ce recours a un délai. Au delà d’un certain temps écoulé , il devient irrecevable. Un courrier du tribunal comporte toujours cette information.
Dans le courrier qui m’était adressé, il n’y avait aucune information.
En fait, le jour où j’avais pris connaissance de ce courrier envoyé pendant mon absence habituelle et régulière de Paris, était le dernier jour où le dépôt de ce recours était encore acceptable.
Normalement, d’habitude je restais régulièrement deux jours de plus en province.
J’avais foncé au tribunal inscrire ma demande de recours auprès de la Cour de Cassation.
***
J’étais au Canada au moment où la Cour de Cassation devait rendre son rapport sur le dossier que je lui avais présenté seule en qualité de victime dans une plainte au pénal.
Il y avait possibilité d’avoir accès à ce rapport par internet .
Cette consultation devait me permettre d’y répondre, si besoin, et dans le délai de temps imparti.
Pour consulter le rapport en ligne, il suffisait de demander un mot de passe à la Cour de Cassation.
Pour cela il fallait donner le numéro attribué au dossier et une adresse Email pour la réception du mot de passe.
Conscient de ma connexion internet française sous haute surveillance, j’avais attendu d’être au canada pour faire cette demande.
De l’université de Montréal , j’avais fabriqué une adresse Email dédiée à ce sujet et fait ma demande. Le système informatique de cet endroit était performant et sous surveillance constante.
J’étais retournée à la salle informatique de l’université pour ouvrir la réponse de la Cour de Cassation. Cette réponse comportait deux fichiers en pièces jointes. L’un des fichiers affichait le logo de la Cour de Cassation. Le deuxième fichier était vide.
Du même endroit, j’avais fabriqué une nouvelle adresse et renouvelé ma demande.
Pour ne pas prendre de risque, la seconde fois, j’avais demandé l’aide de l’informaticien de la salle informatique de l’université de Montréal. J’avais ouvert l’Email en sa présence et je l’avais laissé ouvrir les fichiers en pièces attachées.
Le premier fichier donnait le logo de la Cour de Cassation.
Le deuxième fichier qui devait contenir le mot de passe pour lire le rapport était …. VIDE.
Ce qui aurait du m’empêcher de répondre à ce rapport .
Ce rapport, comme tous ceux de la cour de cassation devait dire si la procédure était ou non conforme au droit.
Au final , le droit avait été peu abordé .
Le rapport avait ignoré les anomalies grotesques de la procédure pour privilégier un essaimage d’insinuations et de ragots dévastateurs..
C’était un document public .
***
En décembre 2010, avant de partir pour plusieurs semaines, j’avais réglé par courrier ou téléphone la plus part des situations qui demandaient une réponse ou un paiement.
***
Lors de mon séjour de trois mois à Troyes, j’avais acheté un matériel de connexion internet chez l’opérateur- bâtisseur . Une clé 3G ‘plug & play »
Plug était OK. Play était sans fonction.
Sur l’écran de l’ordinateur un message s’était affiché , donnant un numéro de téléphone en cas de besoin. Je l’avais appelé. C’était une messagerie France télécom qui répondait à ce numéro de Bouygues L’embrouille habituelle.
J’avais reporté le matériel à la boutique vendeuse. La responsable avait appelé un technicien de la l’opérateur choisi . Ce dernier nous avait appris que la carte SIM du matériel qui m’avait été vendu était enregistré au nom de quelqu’un d’autre.
* .
J’avais laissé le matériel à la boutique, le temps d’aller acheter une boite colissimo à la poste .
Au retour, la responsable de la boutique avait contrôlé que le matériel de l’opérateur - bâtisseur que j’avais voulu acheter et qui ne fonctionnait pas, était bien mis dans la boite avec un courrier d’explication refusant ce matériel défectueux.
Boite refermée devant elle.
Colissimo envoyé.
La société de l’opérateur avait réclamé des paiements d’abonnement à plusieurs reprises.
J’avais répondu en LAR avec toutes explications et preuves d’envoi.
Affaire, semblait-il , solutionnée.
A mon retour en France en mai 2011, mon courrier débordait des lettres de cet opérateur ( Bouygues) et de celles de sa société de contentieux mise en branle pendant mon absence.
Les montants qu’elle réclamait avait doublé à chaque courrier.
Cela avait commencé très exactement après mon départ.
***
NOOS avec qui j’avais cessé un abonnement en octobre 2010 réclamait 25 euros non identifiés à cette époque.
J’avais demandé la justification de ce montant .Rien . Ni en octobre, ni en novembre, ni en décembre 2010
En mai 2011, à mon retour , je découvrirai que NOOS avait mis, pendant mon absence, le recouvrement de cette somme entre les mains d’une société de contentieux.
****
Et les meilleures pour la fin .
*
Lors de l’agression par mon voisin de palier artiste-peintre J-J WALTI j’avais porté plainte pour injures et menaces de mort.
Les menaces de mort avaient été explicitées. Le CD envoyé avec ma plainte les faisait entendre.
La plainte avait été classée.
J’avais fait appel .
Ça avait été pour finalement me voir notifier par le parquet, que cette plainte au pénal avait été traitée par une autre administration.
Comme tout contribuable découvrant cette inconnue, j’avais demandé le nom de l’administration qui remplaçait la justice pénale , en France.
Ma lettre était restée sans réponse.
*
J’avais alors porté plainte avec CPC auprès du doyen des juges, pour les injures et menaces de ce quasi inconnu..
La réponse avait trainé, la demande de consignation aussi..
En décembre 2010, j’avais appelé le cabinet du juge.
Dès cet appel il aurait eu le temps de m’envoyer la demande de consignation . Avant mon départ.
Il ne l’avait pas fait.
Au lieu de cela , la personne au téléphone avait décidé de ne m’envoyer son courrier de demande de consignation qu’après le 1er mai 2011.
Promis . Elle le tenait au chaud.
A mon retour , le 1er mai 2011, je n’avais pas vraiment eu la surprise d’une demande de consignation envoyée par le cabinet du juge dès le 10 janvier 2011 . Donc pendant mon absence signalée et même sitôt mon départ.
La date butoir d’irrecevabilité de la plainte était fixée au 15 février 2011, si la consignation n‘était pas payée avant.. J'étais alors en Australie pour 3 mois.
Affaire classée et qui évitait que l’artiste peintre ne puisse être inquiété et donner officiellement le nom de ses commanditaires .
Ce qu’il me confiait pourtant si facilement au milieu de ses hurlements injurieux.
Arrogant et lâche face à une femme seule, quand il se croyait sans témoins
Bien protégé par une justice qui préférait les crapules aux victimes.
***
C’est également pendant cette période d’absence que des services de police avaient eu l’irrépressible besoin de m’entendre
Quatre convocations.
Naturellement à défaut de présentation ou de réponse, deux de ces convocations précisaient que le procureur en tirerait les conséquences: classement sans suite.
Ma dernière plainte obligée, pour vols de carnets de chèques, datait de mai 2010 . Quelques semaines plus tard un contact écrit au greffe du tribunal m’avait appris, écrit, que ma plainte n’existait pas.
Comme de nombreuses autres plaintes , elle avait fini à la poubelle d’un poste de police. C’est ce qui permettait de comprendre que certains dossiers de victimes soient VI-DES parce que systématiquement VI-DéS .
La gardienne de la paix d’Angers qui me l’avait déclaré avait même crié d’agacement « est-ce que vous comprenez ? » Quoi ? que je paie des impôts pour rien ?
***
SFR aurait du recevoir le 15 décembre 2010 un dossier de prélèvement mensuel. Il avait été envoyé à la seule adresse indiquée sur les lettres.
En Mai 2011, j’avais dans mon courrier une mise en demeure de sa société de contentieux.
J’avais appelé par deux fois les services SFR et réglé le montant du à cause de leur négligence. Les employés avaient entre les mains , le chèque, sous les yeux toutes les informations concernant le numéro de la ligne et les numéros de facture.
La ligne avait été rétablie.
SFR s ‘était engagé à régler le différent avec la société de contentieux.
En fait un mois plus tard, SFR prétendait n’avoir pas mis le chèque en recouvrement faute d’information suffisante sur la ligne qu’il m’avait attribué.
La société de contentieux avait doublé ses prix.
Une situation banale , mais qui s’ajoute à trop d’autres semblables.
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