Harcèlement en réseau- messages de types mafieux- quelques exemples
Texte écrit en 2011
La plus part des messages de type mafieux sont sans grand intérêt quant au contenu, pour la victime . Ils évoquent ce qu’elle a fait ou dit et donc ce qu’elle sait.
Ils sont, pour elle, surtout une démonstration de domination en bandes organisées
Ils prouvent d’abord les violations de domicile systématiques .
Ils montrent ensuite les méthodes d’organisation des vols faciles ou camouflés.
La plupart des messages de type mafieux sont répétitifs et correspondent à des codes simples voire simplistes.
Ceux qui sont déposés au domicile le sont surtout par des voisins , jeunes ou vieux, vicieux préposés volontaires . Pas forcément futés.
Le résultat des différentes expériences de marquage effectuées au cours des ans m’avait montré que la plus part des violations de domicile sont faites dès le départ assuré de la victime.(moi) pour ce qui est d'absence en journée
Soit, le plus tôt et le plus vite possible .
Pour être protégée d’un retour de la victime il suffit à la crapule de service de rappeler l’ascenseur et de le bloquer à l’étage le temps de la violation.
Les violations de domicile avec fouilles complètes ( valises, documents etc..) sont faites la nuit. Dans mon histoire , elles relèvent d'un groupe différent et que j'ai pu observer débarquant de voiture vers 4 h du matin.
Pour que les messages de type mafieux puissent être déposés rapidement ils faut qu’ils soient déjà prêts et mis à disposition du voisinage crapuleux habitué, pour ce qui concerne l'instantané.
C’est-ce qui signe la centralisation de l’information et l’organisation. Erreurs y compris.
A défaut d’éléments de réponse à une situation donnée, il y a eu plusieurs fois des dépôts d’objets ne m’ayant pas appartenu.
Les messages de type mafieux sont considérés comme la forme bénigne du harcèlement/atteinte à la vie privée
Ils présupposent les violations de domicile, les clés copiées pour entrer et donc, encore une fois, toute une organisation.
Les vols et les dégradations sont la forme hargneuse ou vengeresse de ce que la police continue malgré tout d’appeler benoitement du harcèlement. Quand elle ne nie pas tout simplement la situation.
**
Les quelques récents exemples de violations de domicile ont été à base de dépôts de messages assez habituels. Faits par quelques uns habitant sur le palier .
Ils sont simples à comprendre pour trois d’entre eux .
Le 4ème plus élaboré dans sa conception déstabilisatrice a fait intervenir des participants différents et éloignés.
Le 6ème montre un type de situation dont l’explication est évidente une fois que l’on a accepté d’entendre « …. sécurité nulle part »
Tous les détails comptent . Leur observation incessante est primordiale.
Les acteurs camouflés sous leurs airs normaux respectables sont ici , comme cela a été le cas souvent, des résidents du même l‘étage . Ils ne sont plus alors que le dernier maillon d’une chaine plus compliquée.
**
Le mardi 24, quelqu’un était entré pour cacher derrière la bouilloire électrique, une plaquette de médicaments précédemment volée. Cette plaquette de médicaments sous blister était vide aux 3/4
Le jeudi 26 , quelqu’un avait récidivé en déposant , derrière la bouilloire électrique une boite de médicaments avec un seul comprimé à l’intérieur . Cette boite avait été récupérée d’un poubelle. Le comprimé était un faux.
Simultanément, pendant ces quelques jours, lorsque je sortais de chez moi, la petite corse du palier se mettait à éternuer en continu, bruyamment. Comme une malade.. C'est un classique raconté par toutes les cibles.
En fait, depuis quelques jours j’étais un peu malade, avec une toux bruyante.
En langage crapulo-mafieux, on m’apprenait ainsi, qu’on savait que j’étais malade, sur fond de violations de domicile et d’atteinte à la vie privée. Ce dont je n'avais rien à f... aire!
La surveillance constante pour réaction adaptée était ici et comme généralement censée être l’élément déstabilisateur.
Le deuxième sens du message était ainsi toujours le même du type : » rien de ce que vous êtes ou de ce que vous faites ne nous échappe. NOUS , le groupe dominant et tout puissant. «
**
Le mercredi 25, la violation de domicile avait servi à déposer la dragonne d’un appareil photo sur l‘étagère du fer à repasser.
Ce dépôt évoquait le vol de plus de 600 euros de matériel , dans ma voiture laissée dans un garage du quartier pendant 4 mois.
Parmi le matériel volé dans la voiture quelques rues plus loin, quelque temps plus tôt, il y avait un appareil photo avec une semblable dragonne.
Ce dépôt/provocation , délit de violation de domicile était sans doute destiné à provoquer une réaction d'accusation improuvable et qui engendrerait une surenchère de réactions.
**
En rangeant une étagère le dimanche 29 j’y avais trouvé une enveloppe timbrée, oblitérée et fermée.
Cette enveloppe contenait maintenant deux lettres confidentielles en provenance d’une loge franc maçonne ..
J’avais emporté ces lettres avec moi , dans un dossier dans une valise toujours fermée à cadenas pendant mon voyage en Nouvelle Zélande de janvier à avril.
L’enveloppe contenant ces deux courriers présentait une particularité.
A l’origine , j’avais préparé cette enveloppe avec mon adresse en la timbrant pour un retour demandé de documents à une société.
Au final , je ne l’avais pas utilisée.
Avant de partir pour 4 mois, je l’avais laissée sur une étagère à Paris XV .
Pourtant maintenant les timbres de cette enveloppe trouvée ce jour sous une valise du placard , étaient oblitérés et à la date du 2 juin 2010.
Le tampon qui avait servi a oblitérer les timbres ne portait aucune indication de ville . Seulement un n° 38295 .. ou 38293..
Cette manipulation indiquait une violation de domicile et de bagages avec vol des deux lettres et atteinte au secret de la correspondance , en Nouvelle Zélande.
Ce vol aussi inadmissible que les autres était assez important aux yeux des organisateurs pour avoir été camouflé sous plusieurs sous couches de protection, censé le rendre non traçable.
Par ce dépôt compliqué, le groupe des organisateurs dominateurs voulait ainsi attirer mon attention sur la franc- maçonnerie.
Soit pour signifier le fait qu’il savait , grâce à des violations diverses et à un vol , ce que j’avais voulu garder confidentiel.
Soit pour faire allusion à un fait concernant la franc-maçonnerie ou un franc-maçon .
Dans cette anecdote compliquée, Il fallait ajouter à la violation des bagages au cours du voyage, une violation de domicile à Paris XV pour déposer cette enveloppe maintenant chargée d’un contenu .
Il faut ici , en plus, penser à une connivence éventuelle avec des employés de la poste en France, pour avoir pu oblitérer les timbres à une date antérieure.
**
Le samedi 4 juin l’orage attendait son moment pour se déverser en trombes d‘eau.
L’atmosphère était poisseuse et suffocante. Vers 23h , je m’étais décidée pour une ballade fraicheur au niveau de la rue.
Le quartier était animé de bandes de jeunes qui semblaient s’amuser à poursuivre les promeneurs solitaires attardés. J’en faisais partie .
Au retour, avant de rentrer, j’avais posté quelques lettres dans une des boites du terre plain du Bd Pasteur.
L’une de ces lettres racontait des traces de chaussures laissées chez moi sur le sol quand je l’enduisais d’une fine couche d’huile.
Ces traces correspondaient à la forme et taille très spéciale des chaussures de la petite corse.
En me voyant poster mon courrier , trois jeunes d’une nouvelle bande s’étaient gondolés d’un rire surfait, qui faisait penser à trop d’alcool ou de fumette.
A l’étage , le résident beur avait sa porte entre baillée.
Chez moi, il était venu déposer une documentation MAEVA/ Pornichet qui m’avait eu appartenu 3 ans plus tôt .
La résidente corse était absente.
Ce message maffieux faisait référence à ma démarche de la matinée dans un bureau de poste.
Pour préparer un voyage , j’avais demandé des renseignements bancaires. Suivie au centimètre près par un beur, qui avait, c’était maintenant évident , aussitôt répercuté l’information , transformée en message mafieux à décoder.
Le délinquant délégué de l’étage était passé à l’action, entre 23h et 23h30.
C’était sa deuxième violation de domicile de la journée.
C’est par ailleurs , semble-t-il un bon musulman. Ses prières sont audibles du palier.
***
Le dimanche 5 juin, lendemain de mon courrier glissé dans la boite Bd Pasteur, il y avait eu des coups violents dans ma porte et une cavalcade.
Le beur avait couru chez lui se cacher.
Sur le palier , devant la porte de la petite corse, il avait laissé sa paire de chaussures.
Il habitait dix mètres plus loin. Ses chaussures étaient restées ainsi pendant plus d’une ½ heure .
J’avais été frapper chez lui pour lui parler.
Il avait fait claquer ses serrures aller-retour à plusieurs reprises . Sans un mot.
Ce message était aussi simple que bien d’autres .
Devenue malgré moi interprète de ce type de messages depuis plus de dix ans, , j’avais compris que ma lettre mentionnant les chaussures de la petite corse du réseau, avait été lue entre 23h le samedi et 15 h le dimanche.
Sachant que cette lettre avait été écrite à partir d’un ordinateur qui ne quitte pas mon sac à main, puis imprimée sur une imprimante à batterie, l’électricité piégée ne devrait pas être en cause.
Il restait la possibilité d’une copie d’écran d’un appartement voisin, ou plus simplement de l’ouverture des boites à lettres de la poste et du vol de mon courrier.
Si le vol avait été fait rapidement mes lettres étaient sur le tas de la pile et reconnaissables à mon écriture.
C’était la manigance la plus probable. La plus simple aussi. Comme toujours .
Et les petits gars qui se gondolaient de rire la veille, près de la boite aux lettres étaient sans doute tout bêtement en observation, s’amusant du bon coup à venir.
Certaines autres lettres postées en même temps samedi soir étaient destinées à des associations féministes.
Elle contenaient ce blog au complet .
En volant mes lettres aux associations et en lisant le contenu des cartes contenant ce blog ( une suffit) le réseau crapuleux s’était donné la primeur de l’information, qu’il pouvait même manipuler avant de faire suivre les lettres.
***
Une autre de mes lettres postée était destinée à un professeur de droit et contenait mon dossier CEDH et HCDH également au complet
***
D’autres lettres étaient strictement personnelles.
***
Le Lundi 6 , jour qui aurait du être celui du départ de toutes mes lettres vers leurs destinataires, avait été celui de nouvelles révélations hurlées par l’artiste peintre dans le couloir.
La justice avait classé ma plainte contre lui ,pour menaces de mort et injures.
Il était à l’affût de toute nouvelle occasion.
Ce lundi , il avait recommencé ses provocations imbéciles et obtenu ce qu’il cherchait : ma réaction
Avec la fureur tutoyeuse qui le caractérise , il m’ avait, par contre, livré un message inattendu et sous forme d‘accusation en dégoisant le contenu d’une de mes lettres personnelles postée le samedi 4
Quelque soit la manière, mes lettres avaient bien été volées et leur contenu disséminé aux crapules de base.
Au cours de cette nouvelle séance injurieuse, j’avais même appris que la famille du peintre avait préparé une pétition contre moi dans l‘immeuble.
Attaquer pour se défendre. Un classique.
***
A partir de ce qui précède il est facile de comprendre que les violations de toutes sortes sont le stratagème de base d’une violence systémique .
Mais, l’incroyable mobilisation de centaines d’inconnus sous couvert de jeu de mâles en mal de démonstration de puissance mérite l’attention bien au-delà de certains faits dits anodins ou apparemment inutiles et destinés seulement à déstabiliser ou décrédibiliser une victime.
Il faut impérativement garder en mémoire que toute cette violence déclinée en actes délinquants jamais sanctionnés sert à faire perdurer et protéger pour les rendre pérenne des réseaux crapuleux au service d’ un système de domination, en général plutôt bien camouflé .
Les messages de type mafieux , quant à eux, relèvent d’ une sorte de double langage symbolique à l’usage de la seule victime.
Ils sont un monologue imposé. Une communication de dominants.
Une de leur caractéristique est l’immédiateté du dépôt ou de la réaction par rapport à une situation donnée, vécue par la victime.
Les préposés au dépôt sont sur place H24 en relais et à l’affût de la première absence pour commettre leur délit.
C’est pourquoi la découverte à une date ultérieure du message déposé ne peut que laisser pantois .
Tous ces messages, donc, sont liés à des circonstances précises et manifestent une volonté de le faire savoir par allusions ou symboles.
Mais c’est justement cet aspect allusif ou symbolique qui permettrait de pouvoir contester l’interprétation qu’en fait la victime.
Ainsi, pour avoir une consistance d’interprétation plausible la découverte et la lecture de ces messages doit être elle aussi instantanée.
Cela suppose de passer beaucoup de temps à les rechercher , car ils sont, en plus, souvent dissimulés dans des endroits incongrus ; telle l’enveloppe contenant les lettres de la loge FM , placée sur une étagère sous une valise . Un endroit où je ne dépose pas mon courrier.
Au final , on retiendra sans doute pour ces messages de type mafieux , une activité de bandes organisées de décérébrés obsessionnels qui confondent leurs messages codés avec une expression d’intelligence.
Mais le plus important reste ce qui permet les dépôt de ces messages : l’organisation, les actes délinquants ou criminels que ces bandes s ’autorisent et en toute impunité.
****
La plus part des messages de type mafieux sont sans grand intérêt quant au contenu, pour la victime . Ils évoquent ce qu’elle a fait ou dit et donc ce qu’elle sait.
Ils sont, pour elle, surtout une démonstration de domination en bandes organisées
Ils prouvent d’abord les violations de domicile systématiques .
Ils montrent ensuite les méthodes d’organisation des vols faciles ou camouflés.
La plupart des messages de type mafieux sont répétitifs et correspondent à des codes simples voire simplistes.
Ceux qui sont déposés au domicile le sont surtout par des voisins , jeunes ou vieux, vicieux préposés volontaires . Pas forcément futés.
Le résultat des différentes expériences de marquage effectuées au cours des ans m’avait montré que la plus part des violations de domicile sont faites dès le départ assuré de la victime.(moi) pour ce qui est d'absence en journée
Soit, le plus tôt et le plus vite possible .
Pour être protégée d’un retour de la victime il suffit à la crapule de service de rappeler l’ascenseur et de le bloquer à l’étage le temps de la violation.
Les violations de domicile avec fouilles complètes ( valises, documents etc..) sont faites la nuit. Dans mon histoire , elles relèvent d'un groupe différent et que j'ai pu observer débarquant de voiture vers 4 h du matin.
Pour que les messages de type mafieux puissent être déposés rapidement ils faut qu’ils soient déjà prêts et mis à disposition du voisinage crapuleux habitué, pour ce qui concerne l'instantané.
C’est-ce qui signe la centralisation de l’information et l’organisation. Erreurs y compris.
A défaut d’éléments de réponse à une situation donnée, il y a eu plusieurs fois des dépôts d’objets ne m’ayant pas appartenu.
Les messages de type mafieux sont considérés comme la forme bénigne du harcèlement/atteinte à la vie privée
Ils présupposent les violations de domicile, les clés copiées pour entrer et donc, encore une fois, toute une organisation.
Les vols et les dégradations sont la forme hargneuse ou vengeresse de ce que la police continue malgré tout d’appeler benoitement du harcèlement. Quand elle ne nie pas tout simplement la situation.
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Les quelques récents exemples de violations de domicile ont été à base de dépôts de messages assez habituels. Faits par quelques uns habitant sur le palier .
Ils sont simples à comprendre pour trois d’entre eux .
Le 4ème plus élaboré dans sa conception déstabilisatrice a fait intervenir des participants différents et éloignés.
Le 6ème montre un type de situation dont l’explication est évidente une fois que l’on a accepté d’entendre « …. sécurité nulle part »
Tous les détails comptent . Leur observation incessante est primordiale.
Les acteurs camouflés sous leurs airs normaux respectables sont ici , comme cela a été le cas souvent, des résidents du même l‘étage . Ils ne sont plus alors que le dernier maillon d’une chaine plus compliquée.
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Le mardi 24, quelqu’un était entré pour cacher derrière la bouilloire électrique, une plaquette de médicaments précédemment volée. Cette plaquette de médicaments sous blister était vide aux 3/4
Le jeudi 26 , quelqu’un avait récidivé en déposant , derrière la bouilloire électrique une boite de médicaments avec un seul comprimé à l’intérieur . Cette boite avait été récupérée d’un poubelle. Le comprimé était un faux.
Simultanément, pendant ces quelques jours, lorsque je sortais de chez moi, la petite corse du palier se mettait à éternuer en continu, bruyamment. Comme une malade.. C'est un classique raconté par toutes les cibles.
En fait, depuis quelques jours j’étais un peu malade, avec une toux bruyante.
En langage crapulo-mafieux, on m’apprenait ainsi, qu’on savait que j’étais malade, sur fond de violations de domicile et d’atteinte à la vie privée. Ce dont je n'avais rien à f... aire!
La surveillance constante pour réaction adaptée était ici et comme généralement censée être l’élément déstabilisateur.
Le deuxième sens du message était ainsi toujours le même du type : » rien de ce que vous êtes ou de ce que vous faites ne nous échappe. NOUS , le groupe dominant et tout puissant. «
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Le mercredi 25, la violation de domicile avait servi à déposer la dragonne d’un appareil photo sur l‘étagère du fer à repasser.
Ce dépôt évoquait le vol de plus de 600 euros de matériel , dans ma voiture laissée dans un garage du quartier pendant 4 mois.
Parmi le matériel volé dans la voiture quelques rues plus loin, quelque temps plus tôt, il y avait un appareil photo avec une semblable dragonne.
Ce dépôt/provocation , délit de violation de domicile était sans doute destiné à provoquer une réaction d'accusation improuvable et qui engendrerait une surenchère de réactions.
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En rangeant une étagère le dimanche 29 j’y avais trouvé une enveloppe timbrée, oblitérée et fermée.
Cette enveloppe contenait maintenant deux lettres confidentielles en provenance d’une loge franc maçonne ..
J’avais emporté ces lettres avec moi , dans un dossier dans une valise toujours fermée à cadenas pendant mon voyage en Nouvelle Zélande de janvier à avril.
L’enveloppe contenant ces deux courriers présentait une particularité.
A l’origine , j’avais préparé cette enveloppe avec mon adresse en la timbrant pour un retour demandé de documents à une société.
Au final , je ne l’avais pas utilisée.
Avant de partir pour 4 mois, je l’avais laissée sur une étagère à Paris XV .
Pourtant maintenant les timbres de cette enveloppe trouvée ce jour sous une valise du placard , étaient oblitérés et à la date du 2 juin 2010.
Le tampon qui avait servi a oblitérer les timbres ne portait aucune indication de ville . Seulement un n° 38295 .. ou 38293..
Cette manipulation indiquait une violation de domicile et de bagages avec vol des deux lettres et atteinte au secret de la correspondance , en Nouvelle Zélande.
Ce vol aussi inadmissible que les autres était assez important aux yeux des organisateurs pour avoir été camouflé sous plusieurs sous couches de protection, censé le rendre non traçable.
Par ce dépôt compliqué, le groupe des organisateurs dominateurs voulait ainsi attirer mon attention sur la franc- maçonnerie.
Soit pour signifier le fait qu’il savait , grâce à des violations diverses et à un vol , ce que j’avais voulu garder confidentiel.
Soit pour faire allusion à un fait concernant la franc-maçonnerie ou un franc-maçon .
Dans cette anecdote compliquée, Il fallait ajouter à la violation des bagages au cours du voyage, une violation de domicile à Paris XV pour déposer cette enveloppe maintenant chargée d’un contenu .
Il faut ici , en plus, penser à une connivence éventuelle avec des employés de la poste en France, pour avoir pu oblitérer les timbres à une date antérieure.
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Le samedi 4 juin l’orage attendait son moment pour se déverser en trombes d‘eau.
L’atmosphère était poisseuse et suffocante. Vers 23h , je m’étais décidée pour une ballade fraicheur au niveau de la rue.
Le quartier était animé de bandes de jeunes qui semblaient s’amuser à poursuivre les promeneurs solitaires attardés. J’en faisais partie .
Au retour, avant de rentrer, j’avais posté quelques lettres dans une des boites du terre plain du Bd Pasteur.
L’une de ces lettres racontait des traces de chaussures laissées chez moi sur le sol quand je l’enduisais d’une fine couche d’huile.
Ces traces correspondaient à la forme et taille très spéciale des chaussures de la petite corse.
En me voyant poster mon courrier , trois jeunes d’une nouvelle bande s’étaient gondolés d’un rire surfait, qui faisait penser à trop d’alcool ou de fumette.
A l’étage , le résident beur avait sa porte entre baillée.
Chez moi, il était venu déposer une documentation MAEVA/ Pornichet qui m’avait eu appartenu 3 ans plus tôt .
La résidente corse était absente.
Ce message maffieux faisait référence à ma démarche de la matinée dans un bureau de poste.
Pour préparer un voyage , j’avais demandé des renseignements bancaires. Suivie au centimètre près par un beur, qui avait, c’était maintenant évident , aussitôt répercuté l’information , transformée en message mafieux à décoder.
Le délinquant délégué de l’étage était passé à l’action, entre 23h et 23h30.
C’était sa deuxième violation de domicile de la journée.
C’est par ailleurs , semble-t-il un bon musulman. Ses prières sont audibles du palier.
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Le dimanche 5 juin, lendemain de mon courrier glissé dans la boite Bd Pasteur, il y avait eu des coups violents dans ma porte et une cavalcade.
Le beur avait couru chez lui se cacher.
Sur le palier , devant la porte de la petite corse, il avait laissé sa paire de chaussures.
Il habitait dix mètres plus loin. Ses chaussures étaient restées ainsi pendant plus d’une ½ heure .
J’avais été frapper chez lui pour lui parler.
Il avait fait claquer ses serrures aller-retour à plusieurs reprises . Sans un mot.
Ce message était aussi simple que bien d’autres .
Devenue malgré moi interprète de ce type de messages depuis plus de dix ans, , j’avais compris que ma lettre mentionnant les chaussures de la petite corse du réseau, avait été lue entre 23h le samedi et 15 h le dimanche.
Sachant que cette lettre avait été écrite à partir d’un ordinateur qui ne quitte pas mon sac à main, puis imprimée sur une imprimante à batterie, l’électricité piégée ne devrait pas être en cause.
Il restait la possibilité d’une copie d’écran d’un appartement voisin, ou plus simplement de l’ouverture des boites à lettres de la poste et du vol de mon courrier.
Si le vol avait été fait rapidement mes lettres étaient sur le tas de la pile et reconnaissables à mon écriture.
C’était la manigance la plus probable. La plus simple aussi. Comme toujours .
Et les petits gars qui se gondolaient de rire la veille, près de la boite aux lettres étaient sans doute tout bêtement en observation, s’amusant du bon coup à venir.
Certaines autres lettres postées en même temps samedi soir étaient destinées à des associations féministes.
Elle contenaient ce blog au complet .
En volant mes lettres aux associations et en lisant le contenu des cartes contenant ce blog ( une suffit) le réseau crapuleux s’était donné la primeur de l’information, qu’il pouvait même manipuler avant de faire suivre les lettres.
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Une autre de mes lettres postée était destinée à un professeur de droit et contenait mon dossier CEDH et HCDH également au complet
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D’autres lettres étaient strictement personnelles.
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Le Lundi 6 , jour qui aurait du être celui du départ de toutes mes lettres vers leurs destinataires, avait été celui de nouvelles révélations hurlées par l’artiste peintre dans le couloir.
La justice avait classé ma plainte contre lui ,pour menaces de mort et injures.
Il était à l’affût de toute nouvelle occasion.
Ce lundi , il avait recommencé ses provocations imbéciles et obtenu ce qu’il cherchait : ma réaction
Avec la fureur tutoyeuse qui le caractérise , il m’ avait, par contre, livré un message inattendu et sous forme d‘accusation en dégoisant le contenu d’une de mes lettres personnelles postée le samedi 4
Quelque soit la manière, mes lettres avaient bien été volées et leur contenu disséminé aux crapules de base.
Au cours de cette nouvelle séance injurieuse, j’avais même appris que la famille du peintre avait préparé une pétition contre moi dans l‘immeuble.
Attaquer pour se défendre. Un classique.
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A partir de ce qui précède il est facile de comprendre que les violations de toutes sortes sont le stratagème de base d’une violence systémique .
Mais, l’incroyable mobilisation de centaines d’inconnus sous couvert de jeu de mâles en mal de démonstration de puissance mérite l’attention bien au-delà de certains faits dits anodins ou apparemment inutiles et destinés seulement à déstabiliser ou décrédibiliser une victime.
Il faut impérativement garder en mémoire que toute cette violence déclinée en actes délinquants jamais sanctionnés sert à faire perdurer et protéger pour les rendre pérenne des réseaux crapuleux au service d’ un système de domination, en général plutôt bien camouflé .
Les messages de type mafieux , quant à eux, relèvent d’ une sorte de double langage symbolique à l’usage de la seule victime.
Ils sont un monologue imposé. Une communication de dominants.
Une de leur caractéristique est l’immédiateté du dépôt ou de la réaction par rapport à une situation donnée, vécue par la victime.
Les préposés au dépôt sont sur place H24 en relais et à l’affût de la première absence pour commettre leur délit.
C’est pourquoi la découverte à une date ultérieure du message déposé ne peut que laisser pantois .
Tous ces messages, donc, sont liés à des circonstances précises et manifestent une volonté de le faire savoir par allusions ou symboles.
Mais c’est justement cet aspect allusif ou symbolique qui permettrait de pouvoir contester l’interprétation qu’en fait la victime.
Ainsi, pour avoir une consistance d’interprétation plausible la découverte et la lecture de ces messages doit être elle aussi instantanée.
Cela suppose de passer beaucoup de temps à les rechercher , car ils sont, en plus, souvent dissimulés dans des endroits incongrus ; telle l’enveloppe contenant les lettres de la loge FM , placée sur une étagère sous une valise . Un endroit où je ne dépose pas mon courrier.
Au final , on retiendra sans doute pour ces messages de type mafieux , une activité de bandes organisées de décérébrés obsessionnels qui confondent leurs messages codés avec une expression d’intelligence.
Mais le plus important reste ce qui permet les dépôt de ces messages : l’organisation, les actes délinquants ou criminels que ces bandes s ’autorisent et en toute impunité.
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