Harcèlement électronique - sons - voix


                                                 Image proposée par Eleanor White


«  elle a porté plainte, il va y avoir une enquête »
M. Leblay , le proprio de Dol de Bretagne s’était égosillé en boucle  , devant chez moi .
Ces propos étaient destinés à son gendre   Le Sénéchal, mon voisin. Et à me prouver qu’il était au mieux avec les gendarmes qui avaient pris ma plainte pour vols et violations de domicile . Les gendarmes  ne voulaient peut-être pas trouver ce qui se trouvait dans les combles.

Et Le Sénéchal avait foncé dans les combles où il avait seul  un accès, trainant pour l’extraire,  le matériel de micro-ondage placé au dessus de ma chambre , depuis plusieurs semaines.

Dol de Bretagne était le premier endroit où j’avais  subi ce phénomène en 2007 : les fameuses voix dans le crâne qui ne sont ni vos pensées,  ni votre voix, ni un rêve et qui participent des malaises envahissants et   accablants  du micro-ondage  .
Je l’avais raconté à un journaliste de l’Est Républicain. Resté sans voix.

Mais , 2007 était la période du stage  au MCC * à empêcher. C’est ainsi que je le pense maintenant.

Bien des années plus tôt c’était un mémoire qui avait été empêché  dans l’appartement de  Paris XIV. Mes documents collectés de bibliothèques à Honk Kong et à New York  avaient disparu  pendant mes absences . Des pages déjà écrites aussi. Puis ce sera au tour de la machine à écrire prêtée par une amie d’être dézinguée . Le mémoire avait été terminé vite fait bâclé .

Beaucoup plus d’années plus tôt encore,  c’était mon dossier d’inscription de thèse qui avait été volé. Dans le même appartement . Rien ne semblait  fait faire  au hasard.

Mais, c’était à partir de ce phénomène incroyable  de voix dans le crâne en 2007,   que j’avais pu noter  l’usage systématique  de cette  nouvelle technologie  d’empêchement : le micro-ondage débilitant.

A Vannes , en 2012, une technique différente, avait pulsé en pleine nuit   mon prénom dans l’oreille en l’étirant ( le prénom) . A l’extérieur de l’oreille. Comme s’il y avait quelqu’un dans l’appartement. C’étaient seulement des ondes précisément propulsées  vers le conduit auditif et contenant le mot.

Imaginez quelqu’un qui vous raconte ça ? ou qui le dit à son médecin ? 

Ce serait l’enfermement assuré , immédiat. Et là, bourré de neurotoxiques , on vous prouverait leur efficacité par le fait que les voix ont disparu. Pas de micro-ondage en milieu hospitalier. Ou si peu.

Et pourtant… l’enfermement de mai 2013 avait été micro-ondé  localement à deux reprises. Au moins. Et c’est ma voisine de lit qui l’avait décrit.
Le contexte était comme suit : A plusieurs reprises un beur d’un autre service était passé dans le couloir vérifiant le contenu des chambres ( nous). Une nuit, il y avait du boucan  au-dessus de nos têtes . Des bruits de  chaises poussées dans des bureaux en pleine nuit , avaient été  suivies de poussées d’ondes dans la chambre   et de malaises . Elle et moi, seulement . Nous étions côte à côte.
La 2ème fois, elle avait voulu le dire. J’avais réussi à l’en dissuader… pour éviter des doses doublées de risperdal. Mais là, ni son , ni voix.

De nouveaux essais de sons dans le  crâne avaient été faits à Vannes. Une nuit,    une image de fontaine à laquelle  s’était superposée  un bruit d’eau qui coule… m'avait fait foncer  vers les toilettes . A temps. 

A Vannes toujours, Il y avait eu aussi la voix de ma mère , dans le crâne . Facile . Il existait chez moi  une disquette enregistrée avec sa voix . Elle avait donc été encapsulée et projetée  dans du micro-ondage.

A Budapest , en 2013,  un tir d’ondes m’avait réveillée à 4H30 du matin avec un joyeux «  hello »  et VLAN . Ce réveil  par chocs rapides successifs  au cerveau  avait aussi contenu  un « perdone » juste après un tir  particulièrement violent et douloureux.

Récemment à Vannes une onde qui venait d'ailleurs en début de sieste, ne m’avait pas ratée : re VLAN ,  Elle portait un joyeux mais sadique « hou, hou » .

Et la voisine du dessus avait immédiatement  pris le relais pour un matraquage douloureux et épuisant,  avec son matériel qui pulse toutes les quelques minutes.

Mais il faut savoir que certaines  cibles  victimes subissent  des  journées entières de parlotte forcée dans le crâne, avec souvent paraît-il,  des propos  grossiers ou graveleux et qui se superposent à leurs préoccupations en les empêchant de se concentrer ou de travailler .
Les uns s’amusent , les autres souffrent de leur sadisme.

Il y a de nombreux conseils pour essayer de protéger un peu la tête et atténuer les effets et la fatigue entraînés par ce procédé ignoble,  qu’on appelle le V2K ( peace pink, freedomfromchs)   .
Julian McKinney préconisait aussi l’emploi de plusieurs postes de radio émettant  sur des longueurs d’ondes différentes et placés autour du lit.
Certaines personnes notent  une atténuation de cet envahissement cérébral  avec  un casque de musique sur les oreilles . Même ou surtout pour la nuit.

* Menaces Criminelles Contemporaines

                                                                       Complément

Comme souvent dans cette histoire, la réaction  des tortionnaires   avait été immédiate. Et la nuit  suivant la mise en ligne de cet article avait été animée de bruits incessants que j'avais émis  : sons gutturaux et sons nasaux incontrôlables .

Il s'agissait de vibrations des cordes vocales et des parois nasales . Les  divers sons  incohérents n'étaient pas reproductibles par  tentative d'imitation.


L'explication est sans doute dans cette valeur importante d'un faisceau d'ondes très basses fréquences  (ELF) qui ne m'avait pas quittée depuis plusieurs jours , et n'était jamais passé en -dessous de 9000 nT. Les ELF permettaient peut-être  cette manipulation à distance.

On pourrait  penser que ce faisceau d'ELF  soit porté par les tirs d'ondes HF ( hautes fréquences)  dont ma voisine du dessus ne se lasse pas. Elle y passe ses nuits avec une brutalité et un sadisme tout naturel.



 Le passage de 1,5 GHz à 2 GHz détecté à la tête du lit , en exemple ici, est de de la nuit dernière. Ce  n'est pas une valeur d'ambiance générale de présence d'HF  .
 Il s'agit d'une pulsation d'ondes appelée «  tir  »  d'une puissance de 500 MHz ( différence entre 2 GHZ et 1,5 GHz)  et qui traverse le cerveau dans une douleur de cisaillement . C'est peut-être de nature à provoquer une crise cardiaque.
C'est renouvelé toutes les quelques minutes.

L'information µW/m2 aurait du être supprimée et ne peut plus être corrigée . Elle est une référence  d'unité de détection , pour la colonne suivante ( masquée) qui indique la densité de puissance de la fréquence concerné


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