Harcèlement en réseau à l'international - Adélaïde ( Australie)
Adelaïde, capitale de l’Etat du sud de l‘Australie , revendique fièrement un peuplement de femmes et d’hommes libres, à l'opposé des autres villes peuplées à l'origine par des prisonniers.
A Adélaïde, comme ailleurs, les réseaux crapuleux ont leurs adeptes et leurs correspondants.
*
Je m’étais inscrite le samedi pour un tour organisé du lundi suivant.
Une petite jeune fille m’avait suivie dans l’office du tourisme au moment de mon inscription. Elle s’était appuyée sur le comptoir près de moi, pendant que l’employée donnait les détails de ma future journée de visite. Son portable allumé à la main.
*
Dans ce tour , il y avait deux couples venus de Brisbane pour quelques jours.
Les deux gentlemen d’opérette de ces deux couples étaient à l’affût, d’une photo et d’un mauvais coup. Acte, pour eux, prestigieux.
Ils me suivant parfois seulement à quelques centimètres de distance.
L’un d’eux réussira ainsi, à glisser deux papiers dans la fente de mon sac
*
L’un des papiers venait d’un tiroir, de chez moi, à Paris.
L’autre était un ticket de connexion internet faite dans un cyber espace le 25 novembre 2010 à Paris.
Ce jour là, quelqu’un était donc passé derrière moi dans le cyber espace vérifier ce qu’il pourrait ramasser pour le mettre dans mes affaires , plus tard et ailleurs.
**
Il s’agit ici toujours du même système de base , qui suppose
- violation de domicile et vol pour le premier papier
- espionnage et filature/suivi pour la récupération du deuxième papier dans le cyber espace de Paris en novembre 2010
- connaissance de mon lieu de séjour actuel pour prévoir de déposer ces deux bouts de papier sans intérêt dans mes affaires et de préférence dans mon sac à main .
La surveillance de mes courriers Email ou la fouille de mes bagages donnent ces informations.
- envoi de ces deux papiers sans intérêt ( sauf pour ceux qui participent ) par la poste de France en Australie et dans ce cas à quelqu’un qui a une adresse fixe
Ou
- transport de ce deux papiers (et du complément à venir) par des voyageurs ayant fait le voyage de France en Australie
- et enfin , connaissance d’une activité que j’ai choisi et à laquelle se joindront les adeptes de ce réseau crapuleux local.
Ici, des autochtones d’une province voisine venus passer 3 jours à Adélaïde .
**
A ce niveau là, il s’agit bien d’une organisation .
Les organisateurs doivent voler et faire voler des objets pour les redistribuer au mieux de ce qu’ils veulent faire apparaitre comme des messages pour la victime mais qui n’en sont que pour eux.
Il y a ensuite transport des objets volés ou subtilisés et éventuellement à à l’autre bout du monde. Ce qui est censé prouver la toute puissance et l’absolue domination des organisateurs.
Alors que ce que l’on retient est plutôt une forme de folie collective.
Il faut ensuite y ajouter les acrobaties diverses pour dépôt de ces objets au plus près de l’intimité de la victime et en y ajoutant une marque de passage personnelle . Ce qui permet de ne pas douter.
Cela suppose des intervenants multiples adaptables aux plans de la victime placée sous observation constante :
Employées de ménage comme à Tahunanui (NZ) où elles avaient découpé une trousse à ongles en cuir, terminant leur œuvre par un trou .
Patron de motel , comme à Timaru (NZ) où une pièce de l’appartement loué avait été condamnée et où quelqu’un qui pouvait ouvrir la porte de l’intérieur de la pièce, s’ y était caché pour la nuit.
Jeunes filles désoeuvrées ou machos de toutes couleurs et de tous âges, dont un grand nombre se protègent sous des airs proprets de fonctionnaires ou la présence de leurs épouses.
***
A Adélaïde, comme ailleurs, les réseaux crapuleux ont leurs adeptes et leurs correspondants.
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Je m’étais inscrite le samedi pour un tour organisé du lundi suivant.
Une petite jeune fille m’avait suivie dans l’office du tourisme au moment de mon inscription. Elle s’était appuyée sur le comptoir près de moi, pendant que l’employée donnait les détails de ma future journée de visite. Son portable allumé à la main.
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Dans ce tour , il y avait deux couples venus de Brisbane pour quelques jours.
Les deux gentlemen d’opérette de ces deux couples étaient à l’affût, d’une photo et d’un mauvais coup. Acte, pour eux, prestigieux.
Ils me suivant parfois seulement à quelques centimètres de distance.
L’un d’eux réussira ainsi, à glisser deux papiers dans la fente de mon sac
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L’un des papiers venait d’un tiroir, de chez moi, à Paris.
L’autre était un ticket de connexion internet faite dans un cyber espace le 25 novembre 2010 à Paris.
Ce jour là, quelqu’un était donc passé derrière moi dans le cyber espace vérifier ce qu’il pourrait ramasser pour le mettre dans mes affaires , plus tard et ailleurs.
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Il s’agit ici toujours du même système de base , qui suppose
- violation de domicile et vol pour le premier papier
- espionnage et filature/suivi pour la récupération du deuxième papier dans le cyber espace de Paris en novembre 2010
- connaissance de mon lieu de séjour actuel pour prévoir de déposer ces deux bouts de papier sans intérêt dans mes affaires et de préférence dans mon sac à main .
La surveillance de mes courriers Email ou la fouille de mes bagages donnent ces informations.
- envoi de ces deux papiers sans intérêt ( sauf pour ceux qui participent ) par la poste de France en Australie et dans ce cas à quelqu’un qui a une adresse fixe
Ou
- transport de ce deux papiers (et du complément à venir) par des voyageurs ayant fait le voyage de France en Australie
- et enfin , connaissance d’une activité que j’ai choisi et à laquelle se joindront les adeptes de ce réseau crapuleux local.
Ici, des autochtones d’une province voisine venus passer 3 jours à Adélaïde .
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A ce niveau là, il s’agit bien d’une organisation .
Les organisateurs doivent voler et faire voler des objets pour les redistribuer au mieux de ce qu’ils veulent faire apparaitre comme des messages pour la victime mais qui n’en sont que pour eux.
Il y a ensuite transport des objets volés ou subtilisés et éventuellement à à l’autre bout du monde. Ce qui est censé prouver la toute puissance et l’absolue domination des organisateurs.
Alors que ce que l’on retient est plutôt une forme de folie collective.
Il faut ensuite y ajouter les acrobaties diverses pour dépôt de ces objets au plus près de l’intimité de la victime et en y ajoutant une marque de passage personnelle . Ce qui permet de ne pas douter.
Cela suppose des intervenants multiples adaptables aux plans de la victime placée sous observation constante :
Employées de ménage comme à Tahunanui (NZ) où elles avaient découpé une trousse à ongles en cuir, terminant leur œuvre par un trou .
Patron de motel , comme à Timaru (NZ) où une pièce de l’appartement loué avait été condamnée et où quelqu’un qui pouvait ouvrir la porte de l’intérieur de la pièce, s’ y était caché pour la nuit.
Jeunes filles désoeuvrées ou machos de toutes couleurs et de tous âges, dont un grand nombre se protègent sous des airs proprets de fonctionnaires ou la présence de leurs épouses.
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