Harcèlement en réseau - faussaires
Pour mémoie- texte écrit en septembre 2011
Alors que j’habitais DOL de BRETAGNE une lettre d’un président d’association angevine (49) m’avait proposé un rendez-vous pour une semaine plus tard. A Angers.
Ce courrier m’ indiquait par ailleurs qu’il était obligé de faire l’impasse sur ses déplacements à Rennes (35)
Je ne savais même pas qu’il y en avait eu. Pourtant cette lettre à l’écriture pattes de mouches semblait bien celle du président de l'association qui m’avait eu écrit une fois pour un premier entretien.
Au final , j’avais seulement rencontré ce monsieur trois fois lorsque j’habitais à Angers.
Mais le procédé qui consistait à me convoquer et me faire perdre 4 heures de conduite A/R par une nationale avec de nombreuses traversées de ville à 50 km/h et pour un entretien dont l’objet n’était pas mentionné , m’avait semblé cavalier. Cela ne lui ressemblait guère et pouvait indiquer une urgence cachée.
Lorsque j’étais arrivée à son bureau, ce monsieur était en rendez-vous avec deux stagiaires. Il ne m’attendait visiblement pas. L’évocation de ses déplacements à Rennes l’avait laissé perplexe. Il n’allait jamais à Rennes.
Son seul et important souci du jour était le saccage de son bureau constaté le matin même en ouvrant la porte. Toutes les étagères fixées aux murs avec des chevilles en métal avaient été arrachées . Tous les manuels et livres de droit qu’elles avaient supportés gisaient entassés , couvertures arrachées sur le sol.
La lettre que j’avais reçue était un faux. Seul le message d’intimidation inventé par le réseau crapuleux angevin était vrai: pouvoir faire un lien entre ma venue, ma condition de "cible" et ce saccage
Le bureau de ce monsieur était une ancienne boutique avec une grande paroi de verre donnant directement sur un trottoir d’une rue étroite. La confidentialité du bureau était seulement assurée par une tenture.
N’importe qui du réseau angevin doté d’un système d’écoute aussi élémentaire que celui du mécanicien du poste de police de la ville, notre voisin de maison B. Gasnier, pouvait avoir entendu que ce monsieur avait eu essayé de m’aider lors des 3 entretiens précédents et décidé de se venger en concoctant un scénario vicieux .
Les membres de ces réseaux crapuleux français ne pensent qu’à ça, ne font que ça.
Alors que j’habitais DOL de BRETAGNE une lettre d’un président d’association angevine (49) m’avait proposé un rendez-vous pour une semaine plus tard. A Angers.
Ce courrier m’ indiquait par ailleurs qu’il était obligé de faire l’impasse sur ses déplacements à Rennes (35)
Je ne savais même pas qu’il y en avait eu. Pourtant cette lettre à l’écriture pattes de mouches semblait bien celle du président de l'association qui m’avait eu écrit une fois pour un premier entretien.
Au final , j’avais seulement rencontré ce monsieur trois fois lorsque j’habitais à Angers.
Mais le procédé qui consistait à me convoquer et me faire perdre 4 heures de conduite A/R par une nationale avec de nombreuses traversées de ville à 50 km/h et pour un entretien dont l’objet n’était pas mentionné , m’avait semblé cavalier. Cela ne lui ressemblait guère et pouvait indiquer une urgence cachée.
Lorsque j’étais arrivée à son bureau, ce monsieur était en rendez-vous avec deux stagiaires. Il ne m’attendait visiblement pas. L’évocation de ses déplacements à Rennes l’avait laissé perplexe. Il n’allait jamais à Rennes.
Son seul et important souci du jour était le saccage de son bureau constaté le matin même en ouvrant la porte. Toutes les étagères fixées aux murs avec des chevilles en métal avaient été arrachées . Tous les manuels et livres de droit qu’elles avaient supportés gisaient entassés , couvertures arrachées sur le sol.
La lettre que j’avais reçue était un faux. Seul le message d’intimidation inventé par le réseau crapuleux angevin était vrai: pouvoir faire un lien entre ma venue, ma condition de "cible" et ce saccage
Le bureau de ce monsieur était une ancienne boutique avec une grande paroi de verre donnant directement sur un trottoir d’une rue étroite. La confidentialité du bureau était seulement assurée par une tenture.
N’importe qui du réseau angevin doté d’un système d’écoute aussi élémentaire que celui du mécanicien du poste de police de la ville, notre voisin de maison B. Gasnier, pouvait avoir entendu que ce monsieur avait eu essayé de m’aider lors des 3 entretiens précédents et décidé de se venger en concoctant un scénario vicieux .
Les membres de ces réseaux crapuleux français ne pensent qu’à ça, ne font que ça.
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