Harcèlement en réseau- chantier d'humeur
texte écrit en 2011
Un chantier d’humeur est comme les autres sortes de chantier basé sur un scénario et une complicité.
Le chantier peut être élémentaire et servir de vengeance parallèle à une réaction de la victime qui se défend d’un méfait.
La réaction de la victime n’est pas supportable pour le réseau crapuleux qui l’a commis . Alors, un groupe différent mais associé est alors sollicité pour venger le mécontent qui se croit ou se présente comme victime de la victime .
En urgence .
***
Si je ne me trompe pas , les dégradations faites sur la voiture que je loue actuellement, correspondent à ce type de chantier.
Quelque chose a déplu à quelqu’un qui lit ce blog et qui a organisé depuis l’autre bout du monde , une réponse de représailles .
**
De Blenheim a Kaikoura ( Nelle Zélande) , il n’y a qu’une seule route possible. Je l’avais prise avec d’ autres touristes ou locaux et d’ innombrables camions .
C’était l’heure du déjeuner au moment de traverser SEDDON qui propose un café à gauche et un autre à droite. Un choix facile quand on roule à gauche.
Par habitude , j’avais laissé la voiture une trentaine de mètres avant le café . Au bon endroit . A l’intérieur des bandes blanches qui délimitent le stationnement autorisé.
Il y avait 3 asiatiques sur la terrasse du café . Ils attendaient en bavardant. Deux hommes et une femme.
Dans le café , la serveuse m’avait proposé une table près d’une fenêtre qui donnait sur une rue perpendiculaire et sur une voiture en stationnement.
Pendant mon repas, l’un des asiatiques était venu me regarder par la fenêtre avant de partir avec cette voiture . Il avait l’air réjoui de quelqu’un qui vient de gagner au loto.
Une autre voiture avec à l’intérieur les deux autres asiatiques de la terrasse l’avait remplacé sous ma fenêtre . La femme avait son portable collé à l’oreille, ce qui dans la plupart des cas n’empêche pas le conducteur de conduire. Il n’avait finalement démarré qu’ au moment où je m’ étais levée de ma table pour partir.
Dehors, un camion venait de couper son moteur, juste devant le café. L’homme qui était descendu de la cabine était également asiatique.
Il avait fait quelques pas vers moi au moment où j’atteignais mon véhicule. L’air tout, sauf amène. Puis il s’était brusquement arrêté , et avait tourné les talons pour retourner vers le café.
Je cherchais à comprendre. Cela avait mobilisé mon attention.
Ce n’est que plus loin et plus tard que je m’apercevrai que mon rétroviseur de droite était replié. J’avais fait la manœuvre de départ du véhicule avec le rétroviseur panoramique central.
Il m’avait fallu descendre de la voiture pour décoincer le rétroviseur extérieur .. C’est à ce moment là que je découvrirai une cabosse sur la partie avant droite du véhicule. Toute fraîche.
*
Si ceci est un chantier , ce dont je doute peu, il est soit réussi et c’est seulement une menace , soit raté et là, c’est plus embêtant.
***
A Paris, mes départs avec bagages sont signalés de l’étage et du rez-de-chaussée . Ensuite, il y a des guetteurs à chaque porte du sud de la capitale , au niveau d’une bouche de métro et/ou au niveau de la station service avant les périphériques et l’autoroute.
**
Il y a quelques mois, c’est un autre camion qui avait failli écraser mon véhicule contre le mur d’un tunnel.
Je roulais rapidement sur la file de droite. En entrant dans le tunnel, le camion qui se trouvait derrière moi avait commencé à doubler, mais sans se mettre entièrement dans la file à ma gauche . Puis il s’était rabattu brusquement, ne me laissant aucune chance.
Un concert de klaxons avait ponctué cette manœuvre. Les voitures suivantes avaient immédiatement dégagé sur la file la plus à gauche. J’avais pilé.
La queue du camion s’était rabattue sur ce qui aurait du être la place de ma voiture.
J’avais rattrapé et doublé le camion à la sortie du tunnel qui faisait à peine une centaine de mètres, espérant qu‘il s‘arrêterait un peu plus loin.
Le camion était sorti à la première bretelle suivante.
L’urgence de doubler dans un tunnel, en semblant méconnaître la longueur du véhicule et pour une sortie ensuite aussi rapide avait peu d’explications plausibles .
Par contre, une récente nouvelle plainte auprès du procureur, pouvait avoir beaucoup irrité ceux qui se veulent mes ennemis et qui réussissent tout sans preuves. .
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Un chantier d’humeur est comme les autres sortes de chantier basé sur un scénario et une complicité.
Le chantier peut être élémentaire et servir de vengeance parallèle à une réaction de la victime qui se défend d’un méfait.
La réaction de la victime n’est pas supportable pour le réseau crapuleux qui l’a commis . Alors, un groupe différent mais associé est alors sollicité pour venger le mécontent qui se croit ou se présente comme victime de la victime .
En urgence .
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Si je ne me trompe pas , les dégradations faites sur la voiture que je loue actuellement, correspondent à ce type de chantier.
Quelque chose a déplu à quelqu’un qui lit ce blog et qui a organisé depuis l’autre bout du monde , une réponse de représailles .
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De Blenheim a Kaikoura ( Nelle Zélande) , il n’y a qu’une seule route possible. Je l’avais prise avec d’ autres touristes ou locaux et d’ innombrables camions .
C’était l’heure du déjeuner au moment de traverser SEDDON qui propose un café à gauche et un autre à droite. Un choix facile quand on roule à gauche.
Par habitude , j’avais laissé la voiture une trentaine de mètres avant le café . Au bon endroit . A l’intérieur des bandes blanches qui délimitent le stationnement autorisé.
Il y avait 3 asiatiques sur la terrasse du café . Ils attendaient en bavardant. Deux hommes et une femme.
Dans le café , la serveuse m’avait proposé une table près d’une fenêtre qui donnait sur une rue perpendiculaire et sur une voiture en stationnement.
Pendant mon repas, l’un des asiatiques était venu me regarder par la fenêtre avant de partir avec cette voiture . Il avait l’air réjoui de quelqu’un qui vient de gagner au loto.
Une autre voiture avec à l’intérieur les deux autres asiatiques de la terrasse l’avait remplacé sous ma fenêtre . La femme avait son portable collé à l’oreille, ce qui dans la plupart des cas n’empêche pas le conducteur de conduire. Il n’avait finalement démarré qu’ au moment où je m’ étais levée de ma table pour partir.
Dehors, un camion venait de couper son moteur, juste devant le café. L’homme qui était descendu de la cabine était également asiatique.
Il avait fait quelques pas vers moi au moment où j’atteignais mon véhicule. L’air tout, sauf amène. Puis il s’était brusquement arrêté , et avait tourné les talons pour retourner vers le café.
Je cherchais à comprendre. Cela avait mobilisé mon attention.
Ce n’est que plus loin et plus tard que je m’apercevrai que mon rétroviseur de droite était replié. J’avais fait la manœuvre de départ du véhicule avec le rétroviseur panoramique central.
Il m’avait fallu descendre de la voiture pour décoincer le rétroviseur extérieur .. C’est à ce moment là que je découvrirai une cabosse sur la partie avant droite du véhicule. Toute fraîche.
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Si ceci est un chantier , ce dont je doute peu, il est soit réussi et c’est seulement une menace , soit raté et là, c’est plus embêtant.
***
A Paris, mes départs avec bagages sont signalés de l’étage et du rez-de-chaussée . Ensuite, il y a des guetteurs à chaque porte du sud de la capitale , au niveau d’une bouche de métro et/ou au niveau de la station service avant les périphériques et l’autoroute.
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Il y a quelques mois, c’est un autre camion qui avait failli écraser mon véhicule contre le mur d’un tunnel.
Je roulais rapidement sur la file de droite. En entrant dans le tunnel, le camion qui se trouvait derrière moi avait commencé à doubler, mais sans se mettre entièrement dans la file à ma gauche . Puis il s’était rabattu brusquement, ne me laissant aucune chance.
Un concert de klaxons avait ponctué cette manœuvre. Les voitures suivantes avaient immédiatement dégagé sur la file la plus à gauche. J’avais pilé.
La queue du camion s’était rabattue sur ce qui aurait du être la place de ma voiture.
J’avais rattrapé et doublé le camion à la sortie du tunnel qui faisait à peine une centaine de mètres, espérant qu‘il s‘arrêterait un peu plus loin.
Le camion était sorti à la première bretelle suivante.
L’urgence de doubler dans un tunnel, en semblant méconnaître la longueur du véhicule et pour une sortie ensuite aussi rapide avait peu d’explications plausibles .
Par contre, une récente nouvelle plainte auprès du procureur, pouvait avoir beaucoup irrité ceux qui se veulent mes ennemis et qui réussissent tout sans preuves. .
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